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CorrespondĂŞncias entre Joachim Le Breton e a corte portuguesa na Europa: o nascimento da MissĂŁo ArtĂstica de 1816
A series of documents kept at the National Archive of Tombo Tower in Lisbon offers us important tools to understand the origin of the 1 81 6 Artistic Mission. Although some Brazilian historians have already explored this field extensively - including Afonso d'Escragnolle Taunay, Mário Barata and Mário Pedrosa in their invaluable publications, not to mention Jean-Baptiste Debret in his writings - it is important to shed new light on this subject so that we may understand how the project of art and industrial education was conceived in Europe byJoachim Le Breton. How did the Mission's project come about? This paper proposes to review certain letters kept at the Tombo Tower and exchanged between Portuguese diplomats and Le Breton in 1815, while the latter was still in Paris, for the ultimate purpose of retracing the first steps of this story.Uma sĂ©rie de documentos conservados no Arquivo Nacional da Torre do Tombo, em Lisboa, oferece-nos ainda instrumentos significativos para a compreensĂŁo da origem da MissĂŁo ArtĂstica de 1816. Embora alguns historiadores brasileiros tenham já explorado intensamente este campo, dentre os quais as preciosas publicações de Afonso d'Escragnolle Taunay, Mário Barata e Mário Pedrosa - destacando-se tambĂ©m os escritos deJean-Baptiste Debret -, convĂ©m buscar novas luzes para entender a concepção do projeto de ensino artĂstico e industrial, ainda na Europa, pelas mĂŁos de Joachim Le Breton. Como surgiu o projeto da MissĂŁo? Este artigo tem como objetivo a análise de algumas correspondĂŞncias conservadas na Torre do Tombo, trocadas entre Le Breton e os diplomatas portugueses em 1815, ainda em Paris, visando Ă recuperação dos primeiros passos desta histĂłria
Versailles Ă Waddesdon Manor
Leben Ernst Ulrich. Versailles à Waddesdon Manor. In: Versalia. Revue de la Société des Amis de Versailles, n°6, 2003. pp. 62-86
Leben. Schreiben: zu Bräkers Autobiographie
Zweitveröffentlichun
Histoire de l'École nationale supérieure des arts décoratifs, 1766-1941
International audienceCet ouvrage, réalisé à partir d’une recherche archivistique et documentaire menée dans le cadre d’un projet collectif coordonné par Thierry Chabanne (ENSAD), s’inscrit dans le renouveau d’intérêt pour l’histoire de l’enseignement et pour les arts appliqués et industriels. Il se propose de cerner l’évolution et les bouleversements dans les modalités d’apprentissage des arts appliqués, depuis la fin de l’Ancien régime à la veille de la Seconde guerre, c'est-à -dire de l’apogée de l’artisanat de luxe aux années marquées par les prémices du design. Les acteurs impliqués – artistes, jeunes élèves, apprentis, pédagogues, personnalités institutionnelles et industriels – donnent corps à un enseignement en phase avec les progrès technique mais aussi attentif aux changements du goût et des esthétiques. S'opposant à l'idée d'une formation strictement professionnelle, les pouvoirs publics envisagent, dans le cas de l’Ecole des arts décoratifs – nommée « Petite école » pour la distinguer de l’Ecole des Beaux-Arts - un enseignement artistique général et diversifié. Loin de la simple transmission de recettes d’atelier, les programmes, les discours, les productions, les débats toujours très riches, témoignent de la centralité du problème de la formation des artisans et des ouvriers d’art dans la France du XIXe et XXe siècles. L’ouvrage se compose de quatre parties : -« La fondation de l’Ecole royale gratuite de dessin de Paris (1767-1815) » (Ulrich Leben)-« De l’Ecole royale gratuite de dessin à l’Ecole nationale des arts décoratifs (1806-1877) » (Renaud d’Enfert)-« L’Ecole à la recherche d’une identité entre art et industrie (1877-1914) » (Rossella Froissart)-« Une école supérieure à l’apogée (1914-1941) » (Sylvie Martin
Histoire de l'École nationale supérieure des arts décoratifs, 1766-1941
International audienceCet ouvrage, réalisé à partir d’une recherche archivistique et documentaire menée dans le cadre d’un projet collectif coordonné par Thierry Chabanne (ENSAD), s’inscrit dans le renouveau d’intérêt pour l’histoire de l’enseignement et pour les arts appliqués et industriels. Il se propose de cerner l’évolution et les bouleversements dans les modalités d’apprentissage des arts appliqués, depuis la fin de l’Ancien régime à la veille de la Seconde guerre, c'est-à -dire de l’apogée de l’artisanat de luxe aux années marquées par les prémices du design. Les acteurs impliqués – artistes, jeunes élèves, apprentis, pédagogues, personnalités institutionnelles et industriels – donnent corps à un enseignement en phase avec les progrès technique mais aussi attentif aux changements du goût et des esthétiques. S'opposant à l'idée d'une formation strictement professionnelle, les pouvoirs publics envisagent, dans le cas de l’Ecole des arts décoratifs – nommée « Petite école » pour la distinguer de l’Ecole des Beaux-Arts - un enseignement artistique général et diversifié. Loin de la simple transmission de recettes d’atelier, les programmes, les discours, les productions, les débats toujours très riches, témoignent de la centralité du problème de la formation des artisans et des ouvriers d’art dans la France du XIXe et XXe siècles. L’ouvrage se compose de quatre parties : -« La fondation de l’Ecole royale gratuite de dessin de Paris (1767-1815) » (Ulrich Leben)-« De l’Ecole royale gratuite de dessin à l’Ecole nationale des arts décoratifs (1806-1877) » (Renaud d’Enfert)-« L’Ecole à la recherche d’une identité entre art et industrie (1877-1914) » (Rossella Froissart)-« Une école supérieure à l’apogée (1914-1941) » (Sylvie Martin
Histoire de l'École nationale supérieure des arts décoratifs, 1766-1941
International audienceCet ouvrage, réalisé à partir d’une recherche archivistique et documentaire menée dans le cadre d’un projet collectif coordonné par Thierry Chabanne (ENSAD), s’inscrit dans le renouveau d’intérêt pour l’histoire de l’enseignement et pour les arts appliqués et industriels. Il se propose de cerner l’évolution et les bouleversements dans les modalités d’apprentissage des arts appliqués, depuis la fin de l’Ancien régime à la veille de la Seconde guerre, c'est-à -dire de l’apogée de l’artisanat de luxe aux années marquées par les prémices du design. Les acteurs impliqués – artistes, jeunes élèves, apprentis, pédagogues, personnalités institutionnelles et industriels – donnent corps à un enseignement en phase avec les progrès technique mais aussi attentif aux changements du goût et des esthétiques. S'opposant à l'idée d'une formation strictement professionnelle, les pouvoirs publics envisagent, dans le cas de l’Ecole des arts décoratifs – nommée « Petite école » pour la distinguer de l’Ecole des Beaux-Arts - un enseignement artistique général et diversifié. Loin de la simple transmission de recettes d’atelier, les programmes, les discours, les productions, les débats toujours très riches, témoignent de la centralité du problème de la formation des artisans et des ouvriers d’art dans la France du XIXe et XXe siècles. L’ouvrage se compose de quatre parties : -« La fondation de l’Ecole royale gratuite de dessin de Paris (1767-1815) » (Ulrich Leben)-« De l’Ecole royale gratuite de dessin à l’Ecole nationale des arts décoratifs (1806-1877) » (Renaud d’Enfert)-« L’Ecole à la recherche d’une identité entre art et industrie (1877-1914) » (Rossella Froissart)-« Une école supérieure à l’apogée (1914-1941) » (Sylvie Martin
Soziale Notlagen bei Menschen mit HIV und Aids
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