44 research outputs found
Comparing sexual risks and patterns of alcohol and drug use between injection drug users (IDUs) and non-IDUs who report sexual partnerships with IDUs in St. Petersburg, Russia
<p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>To date, the great majority of Russian HIV infections have been diagnosed among IDUs and concerns about the potential for a sexual transmission of HIV beyond the IDU population have increased. This study investigated differences in the prevalence of sexual risk behaviors between IDUs and non-IDUs in St. Petersburg, Russia and assessed associations between substance use patterns and sexual risks within and between those two groups.</p> <p>Methods</p> <p>Cross-sectional survey data and biological test results from 331 IDUs and 65 non-IDUs who have IDU sex partners were analyzed. Multivariate regression was employed to calculate measures of associations.</p> <p>Results</p> <p>IDUs were less likely than non-IDUs to report multiple sexual partners and unprotected sex with casual partners. The quantity, frequency and intensity of alcohol use did not differ between IDUs and non-IDUs, but non-IDUs were more likely to engage in alcohol use categorized as risky per the alcohol use disorders identification test (AUDIT-C). Risky sexual practices were independently associated with monthly methamphetamine injection among IDUs and with risky alcohol use among non-IDUs. Having sex when high on alcohol or drugs was associated with unprotected sex only among IDUs.</p> <p>Conclusions</p> <p>Greater prevalence of sexual risk among non-IDUs who have IDU sex partners compared to IDUs suggests the potential for sexual transmission of HIV from the high-prevalence IDU population into the general population. HIV prevention programs among IDUs in St. Petersburg owe special attention to risky alcohol use among non-IDUs who have IDU sex partners and the propensity of IDUs to have sex when high on alcohol or drugs and forgo condoms.</p
Mu-opioid antagonism in the treatment of cannabis use disorder
International audienceno abstrac
Cannabis et grossesse : Actualités et expériences cliniques
International audienceLe cannabis est la substance psycho-active illicite la plus consommĂ©e chez les adolescents, les adultes jeunes et par consĂ©quent chez la femme en Ăąge de procrĂ©er. La survenue d'une grossesse est rarement suivie d'un arrĂȘt total de la consommation. Les composĂ©s cannabinoĂŻdes et issus de la combustion affectent le dĂ©veloppement fĆtal. Nous rapportons, Ă partir d'une revue de littĂ©rature sur Medline de 1995 Ă 2008, les effets de l'exposition cannabique prĂ©coce sur la grossesse et le fĆtus et les complications nĂ©o et postnatales
Trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité et tabagisme en milieu carcéral
International audienceIntroduction :Les personnes souffrant de Trouble du DĂ©ficit de lâAttention avec ou sans HyperactivitĂ© (TDAH) prĂ©sentent un risque accru de consommer du tabac (Lee et al., 2011) et ont gĂ©nĂ©ralement un profil tabagique plus sĂ©vĂšre qu'en population gĂ©nĂ©rale (VanAmsterdam et al., 2018). En population incarcĂ©rĂ©e, on observe une prĂ©valence du TDAH et du tabagisme plus Ă©levĂ©e quâen population gĂ©nĂ©rale(Jacomet et al., 2016 ; Young & Cocallis, 2019). Notre objectif est de vĂ©rifier si la consommation de tabac est plus sĂ©vĂšre chez les dĂ©tenus prĂ©sentant une symptomatologie du TDAH.MĂ©thode :Nous avons Ă©valuĂ© les variables suivantes :Consommation de tabac (auto-rapportĂ©e), dĂ©pendance Ă la nicotine (FTND), intensitĂ© du craving (FTCQ), motivation Ă l'arrĂȘt du tabac (Q-MAT), symptomatologie actuelle du TDAH (ASRS) et dans lâenfance (WURS).Nous avons effectuĂ© des comparaisons statistiques entre les individus probablement atteints d'un TDAH et ceux ne prĂ©sentant probablement pas de TDAH. Pour cela, les participants ont Ă©tĂ© classĂ©s dans le groupe "TDAH" seulement s'ils ont obtenu un score supĂ©rieur aux scores seuils dĂ©finis pour l'ASRS et la WURS.RĂ©sultats :Le groupe TDAH a prĂ©sentĂ© un Ăąge de dĂ©but de consommation rĂ©guliĂšre de tabac significativement plus faible que le groupe sans TDAH (U=275 ; p=0.019). De plus, les individus dĂ©pistĂ©s avec un TDAH ont affichĂ© un score total moyen significativement plus Ă©levĂ© Ă la FTND que le groupe sans TDAH (U=262 ; p=0.012). Cette tendance s'est Ă©galement observĂ©e pour le score total moyen obtenu Ă la FTCQ-12 (U=288 ; p=0.029). Cependant, aucune diffĂ©rence significative n'a Ă©tĂ© constatĂ©e au niveau du score total obtenu Ă la Q-MAT (U=402 ; p=0.400)et au nombre moyen de cigarettes fumĂ©es par jour (U=247 ;p=0.076).RĂ©sultats :Nos rĂ©sultats indiquent une plus grande sĂ©vĂ©ritĂ© de la consommation de tabac chez les dĂ©tenus prĂ©sentant des symptĂŽmes du TDAH. Ces observations soulignent l'importance du dĂ©pistage du TDAH et de l'adaptation des interventions pour la consommation de tabac en milieu carcĂ©ral lorsque des symptĂŽmes du TDAH sont prĂ©sents