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    Comparing sexual risks and patterns of alcohol and drug use between injection drug users (IDUs) and non-IDUs who report sexual partnerships with IDUs in St. Petersburg, Russia

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>To date, the great majority of Russian HIV infections have been diagnosed among IDUs and concerns about the potential for a sexual transmission of HIV beyond the IDU population have increased. This study investigated differences in the prevalence of sexual risk behaviors between IDUs and non-IDUs in St. Petersburg, Russia and assessed associations between substance use patterns and sexual risks within and between those two groups.</p> <p>Methods</p> <p>Cross-sectional survey data and biological test results from 331 IDUs and 65 non-IDUs who have IDU sex partners were analyzed. Multivariate regression was employed to calculate measures of associations.</p> <p>Results</p> <p>IDUs were less likely than non-IDUs to report multiple sexual partners and unprotected sex with casual partners. The quantity, frequency and intensity of alcohol use did not differ between IDUs and non-IDUs, but non-IDUs were more likely to engage in alcohol use categorized as risky per the alcohol use disorders identification test (AUDIT-C). Risky sexual practices were independently associated with monthly methamphetamine injection among IDUs and with risky alcohol use among non-IDUs. Having sex when high on alcohol or drugs was associated with unprotected sex only among IDUs.</p> <p>Conclusions</p> <p>Greater prevalence of sexual risk among non-IDUs who have IDU sex partners compared to IDUs suggests the potential for sexual transmission of HIV from the high-prevalence IDU population into the general population. HIV prevention programs among IDUs in St. Petersburg owe special attention to risky alcohol use among non-IDUs who have IDU sex partners and the propensity of IDUs to have sex when high on alcohol or drugs and forgo condoms.</p

    Alcohol use disorders

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    International audienc

    Bipolar disorder: defining symptoms and comorbidities

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    Mu-opioid antagonism in the treatment of cannabis use disorder

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    International audienceno abstrac

    Trouble du déficit de l'attention avec ou sans hyperactivité et tabagisme en milieu carcéral

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    International audienceIntroduction :Les personnes souffrant de Trouble du DĂ©ficit de l’Attention avec ou sans HyperactivitĂ© (TDAH) prĂ©sentent un risque accru de consommer du tabac (Lee et al., 2011) et ont gĂ©nĂ©ralement un profil tabagique plus sĂ©vĂšre qu'en population gĂ©nĂ©rale (VanAmsterdam et al., 2018). En population incarcĂ©rĂ©e, on observe une prĂ©valence du TDAH et du tabagisme plus Ă©levĂ©e qu’en population gĂ©nĂ©rale(Jacomet et al., 2016 ; Young & Cocallis, 2019). Notre objectif est de vĂ©rifier si la consommation de tabac est plus sĂ©vĂšre chez les dĂ©tenus prĂ©sentant une symptomatologie du TDAH.MĂ©thode :Nous avons Ă©valuĂ© les variables suivantes :Consommation de tabac (auto-rapportĂ©e), dĂ©pendance Ă  la nicotine (FTND), intensitĂ© du craving (FTCQ), motivation Ă  l'arrĂȘt du tabac (Q-MAT), symptomatologie actuelle du TDAH (ASRS) et dans l’enfance (WURS).Nous avons effectuĂ© des comparaisons statistiques entre les individus probablement atteints d'un TDAH et ceux ne prĂ©sentant probablement pas de TDAH. Pour cela, les participants ont Ă©tĂ© classĂ©s dans le groupe "TDAH" seulement s'ils ont obtenu un score supĂ©rieur aux scores seuils dĂ©finis pour l'ASRS et la WURS.RĂ©sultats :Le groupe TDAH a prĂ©sentĂ© un Ăąge de dĂ©but de consommation rĂ©guliĂšre de tabac significativement plus faible que le groupe sans TDAH (U=275 ; p=0.019). De plus, les individus dĂ©pistĂ©s avec un TDAH ont affichĂ© un score total moyen significativement plus Ă©levĂ© Ă  la FTND que le groupe sans TDAH (U=262 ; p=0.012). Cette tendance s'est Ă©galement observĂ©e pour le score total moyen obtenu Ă  la FTCQ-12 (U=288 ; p=0.029). Cependant, aucune diffĂ©rence significative n'a Ă©tĂ© constatĂ©e au niveau du score total obtenu Ă  la Q-MAT (U=402 ; p=0.400)et au nombre moyen de cigarettes fumĂ©es par jour (U=247 ;p=0.076).RĂ©sultats :Nos rĂ©sultats indiquent une plus grande sĂ©vĂ©ritĂ© de la consommation de tabac chez les dĂ©tenus prĂ©sentant des symptĂŽmes du TDAH. Ces observations soulignent l'importance du dĂ©pistage du TDAH et de l'adaptation des interventions pour la consommation de tabac en milieu carcĂ©ral lorsque des symptĂŽmes du TDAH sont prĂ©sents

    Sévérité de la consommation de tabac et symptÎmes anxieux et dépressifs en milieu carcéral

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    International audienceIntroduction : Les troubles anxieux et dĂ©pressifs sont des comorbiditĂ©s frĂ©quentes du trouble de l’usage du tabac (Himle, Thyer &Fischer, 1988 ; Breslau et al., 1911). Ces troubles impactent l’initiation, le maintien et l’arrĂȘt du tabagisme. De plus, leur sĂ©vĂ©ritĂ© est positivement corrĂ©lĂ©e avec le niveau de dĂ©pendance (Morrell & Cohen, 2006).En milieu carcĂ©ral, la prĂ©valence du tabagisme et des troubles anxieux et dĂ©pressifs est beaucoup plus Ă©levĂ©e qu’en population gĂ©nĂ©rale (Fovet et al., 2020 ; Jacomet el al., 2016). L’objectif de cette Ă©tude est de vĂ©rifier si la sĂ©vĂ©ritĂ© des symptĂŽmes anxieux et dĂ©pressifs est associĂ©e Ă  l’intensitĂ© de la consommation de tabac chez une population incarcĂ©rĂ©e.MĂ©thode : 91 hommes consommateurs de tabac ont Ă©tĂ© Ă©valuĂ©s Ă  leur arrivĂ©e Ă  la maison d’arrĂȘt Paris-La SantĂ©. Nombre de cigarettes consommĂ©es par jour (auto-rapportĂ©es). Nous avons Ă©valuĂ© les variables suivantes : - DĂ©pendance Ă  la nicotine : Fagerström Test for Nicotine Dependence (FTND),- IntensitĂ© du craving : French Tobacco Craving Questionnaire(FTCQ-12),- Motivation Ă  l'arrĂȘt du tabac : Questionnaire de Motivation Ă  l'ArrĂȘt du Tabac (Q-MAT),- Symptomatologie anxieuse et dĂ©pressive actuelle : Hospital and Anxiety and Depression Scale, HADS).RĂ©sultats : Les participants ont obtenu un score moyen Ă  l’HAD-anxiĂ©tĂ© de 7,75 (σ =5,01) et Ă  l’HAD-dĂ©pression de 4,67 (σ = 3,89). 28 individus ont dĂ©passĂ© le score seuil de l’HAD (score ≄ 11 : symptomatologie certaine) pour la dimension anxiĂ©tĂ© (30,77%), et 6 l’ont Ă©galement dĂ©passĂ© pour la dimension dĂ©pression (6,59%). Nous avons observĂ© une corrĂ©lation positive significative entre le score total obtenu Ă  l’HAD-anxiĂ©tĂ© et le score total obtenu Ă  la FTND (r = 0,29 ; p < 0,001) ainsi qu’avec le score total Ă  la FTCQ (r = 0,35 ; p < 0,001). Nous avons Ă©galement constatĂ© une corrĂ©lation positive significative entre le score total obtenu Ă  l’HAD-dĂ©pression et le score total obtenu Ă  la FTCQ (r = 0,30 ; p = 0,004). Cependant, aucune corrĂ©lation significative n’a Ă©tĂ© trouvĂ©e entre l’HAD-dĂ©pression et le score obtenu Ă  la FTND (r = 0,06 ; p = 0,61). Concernant le nombre de cigarette consommĂ©es par jour, aucune corrĂ©lation n’a Ă©tĂ© retrouvĂ©e avec le score obtenu Ă  la dimension dĂ©pression (r = 0,12 ; p = 0,33) et Ă  la dimension anxiĂ©tĂ© (r = 0,20 ; p = 0.94).Discussion : Les rĂ©sultats ont permis de mettre en Ă©vidence l’intensitĂ© Ă©levĂ©e dessymptĂŽmes anxieux et dĂ©pressifs Ă  l’arrivĂ©e en incarcĂ©ration. Comme nous l’attendions, des corrĂ©lations ont Ă©tĂ© constatĂ©es entre l’intensitĂ© des symptĂŽmes anxieux et la sĂ©vĂ©ritĂ© de la dĂ©pendance au tabac ainsi qu’entre l’intensitĂ© des symptĂŽmes anxieux et dĂ©pressifs et l’intensitĂ© du craving. L'importance de dĂ©velopper et d'Ă©valuer des interventions spĂ©cifiquement adaptĂ©es Ă  la population incarcĂ©rĂ©e pour favoriser le sevrage tabagique apparait donc comme un enjeu important. Cette nĂ©cessitĂ© est d’autant plus urgente en raison de la vulnĂ©rabilitĂ© particuliĂšre de cette population face aux problĂ©matiques psychiatriques et addictologiques
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