29 research outputs found

    Mouvements religieux de liberté et de salut des peuples opprimés. Préface à la deuxième édition (1974), extrait

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    L’œuvre qui a fait connaître Vittorio Lanternari paraît en 1960, chez Feltrinelli, à Milan. Elle sera rapidement traduite en sept langues et suscitera de multiples discussions, évoquées plus haut dans notre présentation et reprises dans les contributions de ce numéro. En 1974, à l’occasion d’une deuxième édition, Lanternari entreprend dans une longue préface de faire le point sur le développement des études afin de mieux situer sa propre position. La démarche lui apparaît d’autant plus nécess..

    Les Black Muslims. Du messianisme populaire Ă  l'institution bourgeoise

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    Lanternari Vittorio. Les Black Muslims. Du messianisme populaire à l'institution bourgeoise. In: Archives de sociologie des religions, n°24, 1967. pp. 105-120

    Syncrétismes, messianismes, néo-traditionalismes en Afrique Noire (II)

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    Lanternari Vittorio. Syncrétismes, messianismes, néo-traditionalismes en Afrique Noire (II). In: Archives de sociologie des religions, n°21, 1966. pp. 101-110

    L'Italia in Africa. Vol. I.

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    La Religion populaire. Prospective historique et anthropologique / Popular Religion. Anthropological and Historical Perspectives

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    Lanternari Vittorio, Letendre Marie-Louise. La Religion populaire. Prospective historique et anthropologique / Popular Religion. Anthropological and Historical Perspectives. In: Archives de sciences sociales des religions, n°53/1, 1982. pp. 121-143

    Messianismes et anthropologie entre France et Italie | Figures et substituts de saints

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    Le premier dossier de ce numéro à deux thématiques opère un retour à plusieurs voix et dans diverses perspectives sur l’œuvre de Vittorio Lanternari (1918-2010), anthropologue italien qui fit connaître dans les années 1960 les mouvements religieux des peuples opprimés par le colonialisme occidental, messianismes du Tiers Monde dont on se demandait alors s’ils étaient révolutionnaires. Les diverses contributions rassemblées ici reviennent sur ce moment trop oublié où des échanges internationaux très denses et un programme comparatif ambitieux tâchaient de penser les relations du religieux et du politique. L’œuvre de Lanternari y est confrontée à son héritage – l’histoire des religions dans ses formes italiennes –, à sa réception – par l’anthropologie française – et à sa mise en débat la plus radicale, par l’ami le plus proche, Ernesto de Martino (1908-1965). Le second dossier réunit plusieurs études anthropologiques récentes ayant en commun de s’interroger sur les figures et substituts du «saint». Il s’agit pour elles de repérer les formes de mises en présence d’entités surnaturelles à travers des éléments sensibles variés – images, reliques ou tombes mais aussi sang sacrificiel, arbre ou marionnette – qui ont été rapprochés par la notion de substitut. Ces supports de la dévotion, inévitables parce qu’ils rendent l’invisible accessible et manipulable, sont saisis dans les contextes d’action rituelle qui leur confèrent cependant l’essentiel de leur pouvoir de conviction. Les substituts finissent par compter plus que les êtres dont ils ne devraient être qu’un équivalent moindre. À travers divers terrains relevant du christianisme (France, Espagne, Pérou), de l’islam (Maroc, Palestine) ou d’une figure théâtrale frontière entre le bouddhisme et le shinto japonais, la réflexion anthropologique porte sur les modes d’action ou l’efficacité des situations et objets rituels

    Messianismes et anthropologie entre France et Italie | Figures et substituts de saints

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    Le premier dossier de ce numéro à deux thématiques opère un retour à plusieurs voix et dans diverses perspectives sur l’œuvre de Vittorio Lanternari (1918-2010), anthropologue italien qui fit connaître dans les années 1960 les mouvements religieux des peuples opprimés par le colonialisme occidental, messianismes du Tiers Monde dont on se demandait alors s’ils étaient révolutionnaires. Les diverses contributions rassemblées ici reviennent sur ce moment trop oublié où des échanges internationaux très denses et un programme comparatif ambitieux tâchaient de penser les relations du religieux et du politique. L’œuvre de Lanternari y est confrontée à son héritage – l’histoire des religions dans ses formes italiennes –, à sa réception – par l’anthropologie française – et à sa mise en débat la plus radicale, par l’ami le plus proche, Ernesto de Martino (1908-1965). Le second dossier réunit plusieurs études anthropologiques récentes ayant en commun de s’interroger sur les figures et substituts du «saint». Il s’agit pour elles de repérer les formes de mises en présence d’entités surnaturelles à travers des éléments sensibles variés – images, reliques ou tombes mais aussi sang sacrificiel, arbre ou marionnette – qui ont été rapprochés par la notion de substitut. Ces supports de la dévotion, inévitables parce qu’ils rendent l’invisible accessible et manipulable, sont saisis dans les contextes d’action rituelle qui leur confèrent cependant l’essentiel de leur pouvoir de conviction. Les substituts finissent par compter plus que les êtres dont ils ne devraient être qu’un équivalent moindre. À travers divers terrains relevant du christianisme (France, Espagne, Pérou), de l’islam (Maroc, Palestine) ou d’une figure théâtrale frontière entre le bouddhisme et le shinto japonais, la réflexion anthropologique porte sur les modes d’action ou l’efficacité des situations et objets rituels
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