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    ESRC IAA Workshop: Towards Maximising International PhD Students' Experience: Extended Summary

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    Red deer synchronise their activity with close neighbours

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    Models of collective animal behaviour frequently make assumptions about the effects of neighbours on the behaviour of focal individuals, but these assumptions are rarely tested. One such set of assumptions is that the switch between active and inactive behaviour seen in herding animals is influenced by the activity of close neighbours, where neighbouring animals show a higher degree of behavioural synchrony than would be expected by chance. We tested this assumption by observing the simultaneous behaviour of paired individuals within a herd of red deer Cervus elaphus. Focal individuals were more synchronised with their two closest neighbours than with the third closest or randomly selected individuals from the herd. Our results suggest that the behaviour of individual deer is influenced by immediate neighbours. Even if we assume that there are no social relationships between individuals, this suggests that the assumptions made in models about the influence of neighbours may be appropriate

    Trade Union Power and the Process of Economic Development : The Kenyan Example

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    Tous les gouvernements imposent des restrictions à l'activité des syndicats, mais le degré et la forme en varient d'un pays à l'autre. Un facteur qu'on considère de première importance dans la détermination de ces restrictions repose sur l'étendue du développement économique du pays en cause. Certains soutiennent qu'un mouvement syndical fort est de nature à retarder le progrès des nations en voie de développement ; d'autres estiment que les syndicats peuvent contribuer à la formation d'une main-d'oeuvre stable et efficace. Toutefois, même les tenants de ce dernier point de vue ne rejettent pas toute restriction.Le but du présent article est d'analyser les différentes attitudes que peuvent adopter les gouvernements et les centrales syndicales en regard de cette question et les auteurs, pour y arriver, se sont penchés sur les rapports qui existent entre l'État et le syndicalisme dans un pays africain, le Kenya. Ils ont voulu voir comment le gouvernement de ce pays a cherché à réconcilier ses objectifs de développement économique avec la concession aux syndicats du droit de grève, du droit de négociation collective et du droit d'association. Le Kenya se prêtait d'autant mieux à cette étude que le mouvement syndical y est bien implanté et qu'on y fait de grands efforts pour développer aussi rapidement que possible un secteur industriel moderne. Longtemps colonie britannique, indépendant depuis au-delà de dix ans, le Kenya est aussi politiquement stable.Dans tout État, il s'établit des rapports étroits entre le gouvernement et le mouvement syndical et, dans une large mesure, la nature de ces relations dépendde l'intensité de l'opposition aux politiques gouvernementales. Dans les pays en voie de développement, les syndicats, face à l'État, peuvent adopter trois attitudes : devenir simplement les instruments du gouvernement, s'unir à l'opposition pour combattre le parti au pouvoir, accepter la voie du compromis qui se traduit en pratique par le contrôle des salaires et une législation plus ou moins contraignante. En réalité, la situation oscille entre deux pôles : pour l'État, permettre un certain degré de syndicalisme efficace et sacrifier la croissance économique ou supprimer toute vie démocratique et pousser au maximum le développement de l'industrie ; pour le mouvement syndical : en venir à disparaître à plus ou moins long terme ou tomber entre les mains de groupesradicalisés.Comme la plupart des pays en voie de développement étaient autrefois des colonies, au moment de l'indépendance nationale les gouvernements ont hérité d'une assise industrielle et d'un certain nombre d'institutions déjà établies. On ne peut pas balayer tout cela sans danger. Comment agir alors ? Au Kenya, syndicats et gouvernements ont choisi de s'engager dans la voie du compromis. En acceptant de travailler selon cette formule, les syndicats ont réussi parfois à obtenir certains avantages qui ont favorisé le recrutement des membres.Au Kenya, les syndicats n'ont été reconnus qu'à partir de 1943. Auparavant, la législation était de caractère essentiellement restrictif de telle sorte qu'il n'existait aucun mouvement syndical. Après la guerre, le gouvernement britannique a manifesté un peu d'intérêt pour les problèmes de travailleurs africains tout en s'efforçant de limiter l'activité des syndicats aux questions sociales et économiques. C'était l'époque où le mouvement de l'idée d'indépendance commençait à se répandre et, au cours de cette période, il est devenu difficile de différencier l'activité économique des syndicats de leur combat en faveur de la libération. Dans bien des cas, les chefs du mouvement syndical et du mouvement d'indépendance se concentraient dans les mêmes personnes. Pour contrecarrer l'action des syndicats, le gouvernement colonial favorisa l'établissement de comités de travailleurs, institua un mécanisme de fixation des salaires, s'efforça de contrôler l'activité interne des syndicats et généralisa l'arbitrage obligatoire des conflits.Peu avant l'accession à l'indépendance, un gouvernement de coalition fut formé au sein duquel le Secrétaire général de la Fédération du travail du Kenya devint ministre du travail. Celui-ci institua un comité tripartite qui mit au point une charte industrielle par laquelle les employeurs s'engageaient à reconnaître les syndicats et à négocier collectivement et les syndicats, à diminuer le nombre des conflits du travail.À l'indépendance, comme les conflits étaient surtout attribuables à la rivalité entre les deux centrales syndicales existantes, le gouvernement fusionna les deux organisations et défendit aux syndicats de s'affilier aux mouvements syndicaux étrangers. Les statuts de la nouvelle centrale furent rédigés par le Procureur général du pays et imposèrent la surveillance du gouvernement sur ses affaires internes. À cette époque, la centrale et ses dirigeants prêtèrent allégeance au gouvernement et accordèrent leur appui au parti au pouvoir. Depuis lors, les syndicats se sont développés, mais on ne peut pas en dire autant de la centrale elle-même. Les syndicats,qui sont au nombre de trente, conduisent leurs propres affaires. Ils remplissent la triple fonction de recruter des membres, de négocier collectivement et de régler les griefs. D'une façon générale, le pouvoir au sein de chaque syndicat est centralisé entre les mains du secrétaire général, qui est habituellement élu pour cinq ans. Les syndicats comptent beaucoup de membres inscrits mais beaucoup moins de membres cotisants de telle sorte que la plupart des secrétaires généraux se plaignent que leur situation financière est faible.Les auteurs, après avoir analysé la législation du travail actuelle et examiné le dossier des grèves, font porter leurs observations sur les trois choix cités au début : devenir les instruments du gouvernement, combattre les politiques gouvernementales ou accepter une politique des salaires et d'autres contraintes.Le premier choix entraîne un déclin de l'indépendance politique et économique des syndicats et le deuxième exige une force dont ils ne disposent pas encore dans les pays en voie de développement. En se portant sur le troisième choix, un mouvement syndical peut survivre et accroître graduellement sa puissance jusqu'à ce que les conditions politiques et économiques lui permettent de montrer plus d'indépendance. Au Kenya, le mouvement syndical s'est engagé dans cette troisième voie et, de l'expérience qui s'en dégage, on peut déduire que les restrictions imposées aux syndicats visaient à stabiliser l'économie, à attirer les capitaux étrangers, à maximiser les objectifs de développement recherchés par l'État et à minimiser l'engagement politique des syndicats. Ce sont les raisons fondamentales pour lesquelles le gouvernement a voulu exercer une influence constante sur les affaires internes du mouvement syndical, notamment en se donnant le pouvoir de désigner lui-même ses principaux dirigeants et d'imposer la présence d'un représentant du gouvernement au consetil exécutif.Les auteurs concluent enfin de l'expérience kénienne que les syndicats n'ont qu'un seul choix dans les pays en voie de développement : accepter une politique de restriction en matière de salaires. Les gouvernements ne peuvent pas permettre et ne permettent pas aux syndicats d'exercer un « pouvoir » qui entraverait la poursuite de leurs objectifs économiques. Le contrôle de l'État sur le syndicalisme est considérable et celui-ci est forcé d'accepter certaines restrictions sous peine de disparaître ou de devenir un simple appareil du gouvernement.In this paper, the authors discuss some of the policy alternatives available to a Government and a union movement and consider in detail the alternative chosen by one African country, Kenya. Moreover they examine how the Government has sought to reconcile its economic development objectives with granting unions such traditional freedoms as the right to strike, the right to bargain collectively and the right of free association. In doing so they discuss the development of labour legislation in Kenya and examine its effects upon the strike weapon as a source of union power and the effect of strikes on the Kenya economy. Finally they offer some speculations on futur trends of industrial relations in Kenya

    Enhancing the Experience of International Doctoral Researchers - Key Messages

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    Effects of magnesium treatment in a model of internal capsule lesion in spontaneously hypertensive rats

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    <p><b>Background and Purpose:</b> The study aim was to assess the effects of magnesium sulfate (MgSO4) administration on white matter damage in vivo in spontaneously hypertensive rats.</p> <p><b>Methods:</b> The left internal capsule was lesioned by a local injection of endothelin-1 (ET-1; 200 pmol) in adult spontaneously hypertensive rats. MgSO4 was administered (300 mg/kg SC) 30 minutes before injection of ET-1, plus 200 mg/kg every hour thereafter for 4 hours. Infarct size was measured by T2-weighted magnetic resonance imaging (day 2) and histology (day 11), and functional recovery was assessed on days 3 and 10 by the cylinder and walking-ladder tests.</p> <p><b>Results:</b> ET-1 application induced a small, localized lesion within the internal capsule. Despite reducing blood pressure, MgSO4 did not significantly influence infarct volume (by magnetic resonance imaging: median, 2.1 mm3; interquartile range, 1.3 to 3.8, vs 1.6 mm3 and 1.2 to 2.1, for the vehicle-treated group; by histology: 0.3 mm3 and 0.2 to 0.9 vs 0.3 mm3 and 0.2 to 0.5, respectively). Significant forelimb and hindlimb motor deficits were evident in the vehicle-treated group as late as day 10. These impairments were significantly ameliorated by MgSO4 in both cylinder (left forelimb use, P<0.01 and both-forelimb use, P<0.03 vs vehicle) and walking-ladder (right hindlimb score, P<0.02 vs vehicle) tests.</p> <p><b>Conclusions:</b> ET-1–induced internal capsule ischemia in spontaneously hypertensive rats represents a good model of lacunar infarct with small lesion size, minimal adverse effects, and a measurable motor deficit. Despite inducing mild hypotension, MgSO4 did not significantly influence infarct size but reduced motor deficits, supporting its potential utility for the treatment of lacunar infarct.</p&gt

    Can the ischemic penumbra be identified on noncontrast CT of acute stroke?

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    <p><b>Background and Purpose:</b> Early ischemic changes on noncontrast CT in acute stroke include both hypoattenuation and brain swelling, which may have different pathophysiological significance.</p> <p><b>Methods:</b> Noncontrast CT and CT perfusion brain scans from patients with suspected acute stroke <6 hours after onset were reviewed. Five raters independently scored noncontrast CTs blind to clinical data using the Alberta Stroke Program Early CT Score (ASPECTS). Each ASPECTS region was scored as hypodense or swollen. A separate reviewer measured time to peak and cerebral blood volume in each ASPECTS region on CT perfusion. Time to peak and cerebral blood volume were compared for each region categorized as normal, hypodense, or isodense and swollen.</p> <p><b>Results:</b> Scans of 32 subjects a median 155 minutes after onset yielded 228 regions with both CT perfusion and noncontrast CT data. Isodense swelling was associated with significantly higher cerebral blood volume (P=0.016) and with penumbral perfusion (posttest:pretest likelihood ratio 1.44 [95% CI: 0.68 to 2.90]), whereas hypodensity was associated with more severe time to peak delay and with core perfusion (likelihood ratio 3.47 [95% CI: 1.87 to 6.34]). Neither isodense swelling nor hypodensity was sensitive for prediction of perfusion pattern, but appearances were highly specific (87.2% and 91.0% for penumbra and core, respectively). Intrarater agreement was good or excellent, but interrater agreement for both hypodensity and swelling was poor.</p> <p><b>Conclusions:</b> Regions exhibiting hypoattenuation are likely to represent the infarct core, whereas regions that are isodense and swollen have increased cerebral blood volume and are more likely to signify penumbral perfusion. Although noncontrast CT is not sensitive for detection of core and penumbra, appearances are specific. Some information on tissue viability can therefore be obtained from noncontrast CT.</p&gt

    Mapping Ice Sheet Grounding Lines With CryoSat-2

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    The boundary between grounded and floating ice is an important glaciological parameter, because it delineates the lateral extent of an ice sheet and it marks the optimal location for computing ice discharge. We present a method for detecting the grounding line as the break in ice sheet surface slope, computed from CryoSat-2 elevation measurements using a plane-fitting solution. We apply this technique to map the break in surface slope in four topographically diverse sectors of Antarctica - Filchner-Ronne Ice Shelf, Ekström Ice Shelf, Amundsen Sea sector, and the Larsen-C Ice Shelf - using CryoSat-2 observations acquired between July 2010 and May 2014. An inter-comparison of the CryoSat-2 break in surface slope with independent measurements of the hinge line determined from quadruple-difference SAR interferometry (QDInSAR) shows good overall agreement between techniques, with a mean separation of 4.5 km. In the Amundsen Sea sector, where in places over 35 km of hinge line retreat has occurred since 1992, the CryoSat-2 break in surface slope coincides with the most recent hinge line position, recorded in 2011. The technique we have developed is automatic, is computationally-efficient, can be repeated given further data, and offers a complementary tool for monitoring changes in the lateral extent of grounded ice

    Exploring the role of pain as an early predictor of category 2 pressure ulcers: a prospective cohort study

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    Objective To explore pressure area related pain as a predictor of category ≥2 pressure ulcer (PU) development. Design Multicentre prospective cohort study. Setting UK hospital and community settings. Participants inclusion Consenting acutely ill patients aged ≥18 years, defined as high risk (Braden bedfast/chairfast AND completely immobile/very limited mobility; pressure area related pain or; category 1 PU). Exclusion Patients too unwell, unable to report pain, 2 or more category ≥2 PUs. Follow-up Twice weekly for 30 days. Primary and secondary outcome measures Development and time to development of one or more category ≥2 PUs. Results Of 3819 screened, 1266 were eligible, 634 patients were recruited, 32 lost to follow-up, providing a 602 analysis population. 152 (25.2%) developed one or more category ≥2 PUs. 464 (77.1%) patients reported pressure area related pain on a healthy, altered or category 1 skin site of whom 130 (28.0%) developed a category ≥2 PU compared with 22 (15.9%) of those without pain. Full stepwise variable selection was used throughout the analyses. (1) Multivariable logistic regression model to assess 9 a priori factors: presence of category 1 PU (OR=3.25, 95% CI (2.17 to 4.86), p<0.0001), alterations to intact skin (OR=1.98, 95% CI (1.30 to 3.00), p=0.0014), pressure area related pain (OR=1.56, 95% CI (0.93 to 2.63), p=0.0931). (2) Multivariable logistic regression model to account for overdispersion: presence of category 1 PU (OR=3.20, 95% CI (2.11 to 4.85), p<0.0001), alterations to intact skin (OR=1.90, 95% CI (1.24 to 2.91), p=0.0032), pressure area related pain (OR=1.85, 95% CI (1.07 to 3.20), p=0.0271), pre-existing category 2 PU (OR=2.09, 95% CI (1.35 to 3.23), p=0.0009), presence of chronic wound (OR=1.66, 95% CI (1.06 to 2.62), p=0.0277), Braden activity (p=0.0476). (3) Accelerated failure time model: presence of category 1 PU (AF=2.32, 95% CI (1.73 to 3.12), p<0.0001), pressure area related pain (AF=2.28, 95% CI (1.59 to 3.27), p<0.0001). (4) 2-level random-intercept logistic regression model: skin status which comprised 2 levels (versus healthy skin); alterations to intact skin (OR=4.65, 95% CI (3.01 to 7.18), p<0.0001), presence of category 1 PU (OR=17.30, 95% CI (11.09 to 27.00), p<0.0001) and pressure area related pain (OR=2.25, 95% CI (1.53 to 3.29), p<0.0001). Conclusions This is the first study to assess pain as a predictor of category ≥2 PU development. In all 4 models, pain emerged as a risk factor associated with an increased probability of category ≥2 PU development

    Business Meal Etiquette: A Survey Of Student Awareness And Preferences

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    The business meal is a popular activity in the workplace and is often included as part of the interview process. Sometimes it is used as a screening mechanism to determine if a candidate possesses certain social (soft) skills suited for a company. Thus, it is fitting that college students understand business meal etiquette as they embark on their careers. This article reports the findings of a survey of students’ awareness of business meal etiquette and their preferences for possible training and development
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