28 research outputs found

    Staroslovanski grobovi na Selah pri Dobovi

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    A nlässlich d er T errain-U ntersuchungsarbeiten in der U m gebung von Dobova w urde von F rance Starè auch eine w eitere altslaw ische G rabstätte entdeckt. Die G rab stätte ist zum grossen Teile bereits v ernichtet (min[1]destens 40 G räber). W ährend der Sondierungsarbeiten entdeckte Starè noch 3 Skelette, von denen nur einem O hrringe als Beigabe m itgegeben w urden. Diese O hrringe sind von Interesse, w eil sie eine Entw icklungsstufe zu späteren Bijelo-B rdo O hrringen bilden. V orläufig kann m an diese G rab[1]stätte in die Ü bergangsgruppe zwischen der avaroslaw ischen und der Bijelo-Brdo G ruppe, beiläufig ins 9. Jah rh u n d ert, setzen. Eine genauere D atierung kann erst durch neue Forschungen erm öglicht w erden

    Miniaturne steklenice v neolitu Jugoslavije

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    Nous les connaissons depuis longtemps de Vinca (fig. 1), Vasié les interprétait comme vases cosmétiques. Dans la part inférieure elles présentent une forme plus ou moins biconique, elles ont un col extraordinairement long, fermé en haut par une petite plate ayant une petite ouverture. Un tuyau étroit est conduit à travers le col. Sur la plus grande périphérie il y a 4 œillets, semblablement aussi sur le bord de la bouche. Il y a plusieurs variantes. P. e. dans la vue du haut sur la plus grande périphérie ils ont la forme d’un quadrangle sphérique (fig. lac) ou bien aussi la forme d’un triangle sphérique. Quelques variantes ne présentent que trois œillets à la bouche (fig. lb ). Les orillons peuvent avoir aussi la forme de têtes d’animaux stylisées (fig. 1 a). L’origine et l’emploi de ces vases ne sont pas encore éclaircis. Les restes de couleur rouge à l’extérieur sont probablement restes de la teinture. Il y a de l’affinité entre ces vases et la vase de Butmir (fig. 2), la comparaison fut faite déjà par Vasic. En tout cas, cette vase résulte de l’influence de la culture de Vinca pénétrée jusqu’à la Slavonie et à la Bosnie. A Tuzla (Bosnie) il y a une vase identique à celles de Vinca (fig. 3), sur un côté elle n’a que deux orillons sur la plus grande périphérie ainsi qu’à la bouche. Elle fut trouvée dans l’encadre[1]ment de la culture de Vinca à l’endroit de fouilles du pays. Par sa forme la petite vase de Kormadin en Syrmie (fig. 4) est complètement différente. Elle présente une forme biconique avec les parties supérieure et infé[1]rieure bombées. Elle appartient déjà à une époque postérieure. A l’ouest de la Yougoslavie aux alentours il y a deux types de telles vases. L’un des deux montre encore bien une affinité avec les vases de Vinca, bien qu’il soit plus grossier (fig. 6 a) et qu’il ait une ouverture à la petite plate plus grande. L’autre type est biconique et décoré dans l’esprit de la culture de l’endroit (fig. 5 m, 6 b). Le même s’applique à la Slovénie (fig. 7, 8). On peut dater déjà bien précisément le lieux de fouilles dans la partie ouest de la Yougoslavie. Ils appartiennent à la fin de l’époque néolithique et se rattachent à la culture du marais de Ljubljana, comme le démontre aussi le fragment de la vase trouvé près Ig au marais de Ljubljana (fig. 9), mais il est bien différent des autres vases. Chronologiquement les plus anciennes sont les vases du groupe de Vinca, suit la petite vase de Butmir et viennent après les vases de la fin du néolithique de l’ouest Yougoslave. La petite vase de Kormadin pourrait être un peu plus ancienne, mais pourrait être datée du même temps que la fin de l’époque néolithique. Comme dernier vient le fragment du marais de Ljubljana

    Nekaj o stratigrafiji pri arheoloških raziskovanjih

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    To day one atrib u tes special im portance to the vertical stratig rap h y . H ow ever, in m any respect such stratigraphy is g reatly insufficient. In m ost cases one finds various vacua in the research w ork, because one investigates single sectors not the whole locality. Therefore, the lacking culture phases come to light la ter on in o th er localities of th e same cu ltu re group and are often in te r[1]p reted incorrectly. Besides a vertical stratig rap h y there exists a horizontal one too in the places w here life was not restricted in a narrow er sense b u t took a m ore extensive course. In such cases the settlem ent was not renew ed in the old place but moved in one o r other direction so as to be renew ed quite close to the old .settlem ent. W hile, in such cases, in some places, there a re gaps in continuity, we m ay state in some cases that, in the perip h ery of renew ing, cul[1]tu ra l rem ains of an older phase are m ingled w ith rem ains of a la te r phase. D efectivness or gaps in continuity could be cleared aw ay by investigating th e w hole localities both those w ith vertical and those w ith horizontal strati[1]graphy. N evertheless, stratig rap h y w ithout typological and o th er investigations cannot give a clear exposition of facts

    K problematiki slovanske keramike v Jugoslaviji

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    Les recherches concernant la céramique slave du bas moyen âge n’ont que commencé. En dépit du matériel relativement peu nombreux de l ’Europe centrale les schémas (Niederle, Eisner etc.) ne suffisent plus pour la classification, la chro[1]nologie, l ’élaboration technique etc. Les questions suivantes se posent: qu’est-ce que les Slaves ont apporté, qu'est-ce qui y existait de l ’antiquité et finalment qu’est-ce que les conditions nouvelles ont contribué à l ’évolution? Le type céramique de Prague ne pourrait être trouvé qu’à l ’occident extrême de la Yougoslavie, mais il n’y existe pas. La céramique roumaine, semblable au type de Prague est jusqu’à présent inconnu dans la partie orientale de la Yougo[1]slavie, mais cela n’est pas définitif. Pour nous le type céramique danubien aux diverses variantes est le plus important, cependant beaucoup de problèmes s’y trouvent. Nous ne devons pas considérer seulement la céramique primitive. Parmi les produits mieux élaborés (dans les tombes) le pot danubien slave provient sûrement de la céramique (les pots) romaine provinciale de l’époque avancée. Les éléments des variantes ne peuvent pas être compris chronologiquement. La tech[1]nique de rotation rapide et celle de rotation manuelle existaient évidemment dans le même temps. Ce n’est que dans un degrés minime qu’on peut conclure à la chronologie par la technique de brûlement de la céramique, par les marques pla[1]stiques et les impressions au fond des vases, causées par la rotation du rouet, et par les signes au fond des vases. Il faut distinguer entre le développement plus rapide dans les villes et celui plus conservatif dans les villages. En général il est pro[1]bable que les recherches futures diminueront l’hiatus entre la céramique provin[1]ciale romaine et la céramique slave, si cet hiatus ne va pas disparaître entièrement

    Zanimive upodobitve na keramičnih fragmentih iz »Grapčeve spilje« na Hvaru

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    Nel gruppo culturale Hvar I, cioè nella grotta «Grapčeva spilja» ci furono scoperti alcuni frammenti ceramici, sui quali si trovarono frammenti di orna[1]menti denotati da Grga Novak come presentazioni di navi. Relativamente al materiale da Danilo recentemente conosciuto c’è possibile di interpretare alcuni ornamenti come bande a zigzag, che non sono sconosciuti nemmeno a Hvar (Fig. 1—4). Quantunque, relativamente a Danilo, questi ornamenti sono abba[1]stanza degenerati. Essi non presentano che una continuazione degli ornamenti passati di Danilo, che non si sono acclimatati nella cultura di Hvar. Ci sono scarsi punti di contatto tra le culture di Hvar e di Danilo. C’è un ornamento che, per l’occhio almeno, rappresenta, benché in parentela con ornamenti precedenti, un motivo originale e sussistente per sè (Fig. 5, 6). Novak lo denota come barca a vele (per questa interpretazione le figure devono essere voltate di 180°). Poiché il frammento è magagnato così che non si può costatare quale delle parti sia superiore o inferiore, si può supporre un’interpre[1]tazione completamente differente da quella di Novak, voltando il frammento di 180°. In questo caso il frammento potrebbe rappresentare sommariamente un animale stilizzato e volto verso la destra. Quantlunque la supposizione di Novak finora non può essere esclusa

    Bestimmung und Zuordnung des archäologischen Materials

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    Bei der Bestimmung und Zuordnung des archäologischen Materials ist am schwierigsten das Problem der ethnischen Bestimmung, während man kulturell und chronologisch das Material viel leichter oder mindestens ohne zuviel Wider[1]sinnigkeiten bestimmen kann. Bezüglich des ganzen archäologischen Materials kann man heute einerseits mit Rücksicht auf die kulturelle und anderseits auf die ethnische Bestimmung und Zuordnung einige Grundsätze festsetzen. Bei kultureller Bestimmung kann man unterscheiden: 1. Bestimmung einer Kulturgruppe als eines Ganzen, 2. Bestimmung fremder Elemente in einer der sonst homogener Kulturgruppe, 5. Bestimmung eines einzelnen geschlossenen Fundes einer Kulturgruppe und 4. Zuordnung eines einzelnen zufälligen Fundes zu einer Kulturgruppe. Bei ethnischer Bestimmung kann man unterscheiden: 1. Bestimmung der ethnischen Zugehörigkeit einer Kulturgruppe, 2. Bestimmung der ethnischen Zugehörigkeit fremder Elemente in einer Kulturgruppe, 5. Bestimmung der ethnischen Zugehörigkeit eines ge[1]schlossenen Fundes einer Kulturgruppe und 4. Bestimmung der ethnischen Zu[1]gehörigkeit eines zufälligen Fundes einer Kulturgruppe. Besonders die ethnische Bestimmung erheischt eine ausserordentliche Vor[1]sicht. Bezüglich der älteren Perioden der Vorgeschichte müssen wir von der Absicht einer ethnischen Bestimmung abstehen. Erst etwa für die Eisenzeit kommen wir auf etwas festeren Boden, aber auch hier nur hinsichtilich einzelner Gebiete. Sogar nach u. Z. gibt es etliche Kulturen, die noch heute keinem Volke mit Sicherheit zugeordnet werden können. Auch hinsichtlich der Slawen ge[1]langen wir zu wirklichen Beweisen und zur Bestimmungsmöglichkeit erst im IX. Jahrhundert, da und dort aber auch schon etwas früher. Es ist grundfalsch «heute von einer hohen slawischen Kultur am Anfang uscrer Zeitrechung zu reden. Auch die Lausitzer Kultur und ihr folgende Kulturen der Brandgrnb[1]stätten in Russland können nicht zur Lösung dieser Frage verhelfen. Bei der ethnischen Analyse der Gegenstände muss man aber noch einige Grundsätze beachten: 1. die Ursprungsfrage des Gegenstandes, 2. die Frage des Verfertigers und 5. die Frage des Trägers des Gegenstandes. Bezüglich des Endschlusses muss man gestehen, dass es nicht immer möglich ist, ein Grab mit Kulturresten einer ethnischen Gruppe in Wirklichkeit auch dieser Gruppe zuzuordnen, denn es fanden sowohl verschiedene Kultur-aLs auch verschiedene ethnische Mischungen statt. Es wäre auch falsch zu schliessen, dass das Eigentum einer ethnischen Gruppe nur das wäre, was diese selbst geschaffen hat, denn schliesslich gibt es keine urwüchsigen Kulturen. Als Eigentum einer ethnischen Gruppe muss man dieser auch alle von ihr angeeigneten Gegenstände zuordnen, ohne Rücksicht auf ihren Ursprung

    RELJEF KAIROSA IZ PTUJSKOG LAPIDARIJA

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    U prilogu je obrađen reljef iz Povodenova muzeja sub divo, danas ugrađen na stepeništu gradskog tornja u Ptuju. Dio je rimskog nadgrobnog spomenika s prikazom ženskog lika s kosarom i ogledalom u lijevom polju, dok se u srednjem kvadratu nalazi muški lik. Odlike profila, dinamičnog kontraposta i detalji , kao sto je čuperak kose na čelu, bliske su Kairosu, grčkom božanstvu sretnog trenutka. Temeljni je izvor za ovu tvrdnju sličnost s reljefom Kairosa iz ženskog benediktinskog samostana u Trogiru.Inventaru lapidarija na otvorenom, sto ga je povjesničar i ljubitelj antičke umjetnosti Simon Povoden prikupio i 1830. godine dao uzidati na pročelje gradskog tornja u Ptuju, pripadaju ulomci rimskog nadgrobnog spomenika sa slabo sačuvanim reljefima u pravokutnim poljima. Reljef je opisao, prepoznavši motive na njemu, Mihovil Abramić u knjižici "Poetovio- Führer durch die Dankmaler der ròmischen Stadt" godine 1925. Kompozicija je izrađena u pohorskom mramoru, metamorfnom kamenu od kojeg je klesan veći broj spomenika u dijelu Norika i Pannonije superior. U praksi je to bio građevni i kiparski materijal, koji se koristio i kasnije u srednjem i novom vijeku, a vadio se iz kamenoloma na jugozapadnom dijelu Pohorja. Prema obliku sačuvanog kamena i proporcijama postojećeg okvira oba reljefna polja, nadgrobni se spomenik sastojao od dva pravokutnika sa strana i kvadrata u sredini. Izbor motiva je sukladan s funkcijom nadgrobnog spomenika: na lijevoj je strani oštećeni ženski lik rađen po dosta korištenom likovnom predlošku. Posebice je zanimljiva figura u srednjem polju. Precizno je postavljena u okvir tako da su silueta i ritam pokreta muškog tijela u skladu s kvadratom . Analiza pokazuje da su ta dva lika, zajedno s uništenim trećim likom, činili ikonografsku cjelinu. Geometrijska podloga kompozicije povezala je likove u dramatični scenografsko organizirani događaj. Lik u profilu imao je plitko isklesana krila, a u rukama instrumente koji su danas zbog ostećenosti neprepoznatljivi atributi . Pramen kose sto pada na čelo s razmjerno velikog tjemena glave i dinamični kontraposto prema helenističkim uzorima pripisuje se Kairosu, personifikaciji božanstva sretnog trenutka. Predložak po kojem nastaje ptujski reljef vjerojatno je jedna od starijih replika kipa sikionskog kipara Lizipa. Najbolji dokaz za takvo mišljenje, različito od Abramićeva, reljef je Kairosa iz ženskog benediktinskog samostana u Trogiru. Zasigurno je skica za izradu figure nastala prema pečatnom otisku neke geme ili ukrasa terre sigilate, iako božanstvo pokazuje neka odstupanja. Ono je zrcalna slika trogirskog reljefa koji je kvalitetom, sadržajno i oblikovno najbliži Lizipovu djelu. Pri tome se ne razmatraju najraniji produkti ili oni sto su nastali kao posljedica neposrednog prijenosa znanja, stilskih odlika ili radioničkih utjecaja. U pluralističkom okružju zrelog carskog doba Kairos iz Ptuja pripada medu djela rimske interpretacije grčkog i helenističkog likovnog naslijeđa, u kojih su izrada i kvaliteta proizvoda bile različite. Zbog eklektičkog pristupa umjetnosti, u dostignutim je rezultatima, prisutno dionizijsko shvaćanje života i uloge smrti, na koje se nadovezuju stoička, mistička i neopitagorejska filozofska polazišta. Na likovnoj i povijesnoumjetničkoj analizi temeljena je rasprava o pretpostavljenom liku Kairosa n a reljefu iz Povodenovog muzeja u Ptuju te je prepoznat ova vrst antičke kulturne baštine

    NeolitiÄŤna naselbina v Drulovki pri Kranju

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    D urch Zufall w urde die erste neolitische Siedlung in K rain und zw ar in der Nähe der Stadt K ranj im D orfe D rulovka entdeckt. Die Siedlungsstätte iliegt am rechten Saveufer auf einem verhältnism ässig hohen, heute bewaldeten, Plateau. Systematische Forschungen wurden bisher noch nicht durchgeführt. W ir verfügen nur über einiges bei G rabung einer Zisterne gefundenes M aterial. Die bei dieser Gelegenheit entdeckte Schicht ist kaum 30—50 cm dick. D ifferenzierungen w urden darin bisher noch keine festgestellt. D as erhaltene M aterial um fasst einen Silexschaber und eine grössere Anzahl keram ischer Fragm ente. D ie Keram ik ist einerseits aus reiner Tonerde verfertigt, andererseits aber auch m it Körnern von Q uarzitsand verm ischt. Die meisten Gegenstände sind rotgebrannt, in einer geringeren Anzahl sind sie grau bis dunkel[1]graufärbig. D ie Gefässe w urden sehr o ft m it einem roten Ü berzug oder sogar m it roter F arbe überputzt. Farbige Motive w urden bisher nicht festgestellt. Einige Gefässe w urden aber auch schwarz überzogen. G länzend geglättete Vasenfrag[1]mente sind selten. Auf G rund von ziemlich spärlichen Fragm enten kann m an die Gefässform sehr schwer feststellen. Es w aren halbkugelige Schalen im G ebrauch, die allem An[1]schein nach einen ebenen Boden besassen. Im G ebrauch w aren ebenfalls halb[1]kugelige Schüsselchen, deren oberer Teil jedoch in geringem Masse profiliert war. Zu den schönsten Beispielen gehört ein halbkugeliges Schüsselchen m it profiliertem Munde, das zum Henkel einen Tierkopf — W idder oder O chs — besitzt. Eine besondere G ruppe wird von Gefässen gebildet, deren Oberteil mehr halbkugelig geform t ist, während der U nterteil sich gegen den Boden zu konkav verengt. H öchstw ahrscheinlich und m it Bezugnahme auf Ajdovska jam a und einige Fragm ente aus unserer F undstätte w ar der U nterteil solcher Gefässe ausser[1]ordentlich tief, so dass diese Gefässe keine Terrinen, sondern Töpfe darstellen. Vorläufig w erden sie jedoch als terrinenähnliche Gefässe bezeichnet, d a ihre Form m it Sicherheit noch nicht festgestellt ist. Den oberen verw andt w aren Gefässe m it einem regelmässigeren und schärferen Profil und von einer m ehr bikonischen Form. Bei diesen Gefässen w ar der obere Teil nur einigemassen gegen das Innere zu gebogen und sie besassen keinen Hals. Eine ebenfalls besondere G ruppe bilden die Vasen, die in ihrem Oberteil halbkugelig w aren, jedoch einen m ehr oder w eniger zylindrischen Hals besassen. W eiter w urden auch Schöpflöffel und Fragm ente von Gefässen gefunden, die einen hohlen zylindrischen Fuss besassen, dieser Fuss konnte gegen den Boden zu auch konisch etwas breiter sein Leider ist uns die Form der Vase selbst unbekannt. Die Henkel, insofern sie erhalten sind, sind immer Bandhenkel und relativ ziemlich breit. Verschiedene plastische Buckeln auf dem Bauch sind jedoch selten. Die Ornamentik auf unseren Gefässen ist sehr bescheiden. Es wurden einge[1]schnittene Ornamente angebracht, die mit breiten und relativ tiefen, oft kanne[1]lürenartig ausschauenden Einschnitten durehgefürt. Weiter besitzen wir einige Ornamente, die in Wirklichkeit auch seichtere Kannelüren, Stiche und kleine Einbuchtungen aufweisen. Ebenso arm sind die Motive, hauptsächlich verschiedene Parallellinnien in horizontaler, vertikaler oder schiefer Richtung. Hie und da trifft man auch auf Dreiecke aus Parallellinien bzw. aus einer Art Zick-zackbändem. Einstiche und Einbuchtungen erscheinen nur im Zusammenhänge mit den übrigen Ornamenten. Die neuen Funde von Drulovka sind dem Materiale nach mit jenen, die uns von Ajdovska jama bei Nemška vas bei Krško bekannt sind, vollkommen identisch. In neuerer Zeit wurden in dem Dravinja-Tale neue Funde entdeckt und zwar: in Zbelovo bei Loče, in Zreče, in Brezje ob Zreče und in dem vor[1]geschichtlichen Grabhügel unter Brinjeva gora. Es mag sein, dass einige zufälliger[1]weise gefundenen Gegenstände aus Slovenske gorice auch hieher gehören werden. Die neue Kulturgruppe, die mit Recht die slowenische neolitische Gruppe genannt werden dürfte, umfasst, soweit wir heute beurteilen können, einen grösseren Teil von Slowenien und zwar Dravinja-Tal und weiter die Täler von Krka und von Sava. Es ist noch nicht geklärt, in welchem Zusammenhang unsere Funde mit den neolitischen Funden in der Umlgebung von Varaždin stehen. Wir wissen auch nicht, ob sich unsere Kultur nach Kroatien verbreitet hat, was jedoch mehr als wahrscheinlich sein dürfte. Die Funde aus unseren Karsthöhlen gehören jedoch einem anderen (dem adriatischen) Kulturkreise an. Auf dem Gebiete von Österreich trifft man auf einige Berührungspunkte zwischen unserer Kultur und den Funden vom Kanzianberg bei Villach. Drulovka sowohl als auch Ajdovska jama und die übrigen Fundstätten dieser Art in Slowenien gehören zeitlich gegen das Ende des Neolithikums. Man kann sie mit der, von Pittioni zwar negierten, jedoch trotzdem bestehenden, Lengyel[1]kultur in Verbindung bringen. Neben den Schöpflöffeln, dem roten Überzug und der charakteristischen konkaven Verengung des Unterteils sind dies die Haupt[1]berührungspunkte mit Lengyel. In dieser Hinsicht dürften auch die verwandten Funde vom Kanzianberg, die von Pittioni mit der Badenergruppe in Verbindung gebracht werden, eher mit unseren Fundstätten und indirekt mit der Lengyel[1]gruppc im Zusammenhang stehen. Insofern jedoch auch eine Verbindung mit der Badener Kultur, sowohl hin[1]sichtlich des Kanzianbergs, als auch unserer Fundstätten, in Betracht zu ziehen wäre, wird die Annahme Pittioni’s betreffend einen nordischen Ursprung der Badener Kultur in diesem Sinne geändert werden müssen, dass diese Kultur südöstlichen Ursprungs ist. Die neue Fundstätte zeugt dafür, dass gegen das Ende des Neolithikums fast ganz Slowenien von einer Kulturgruppe umfasst wurde, die mit der Lengyel Kultur im Zusammenhang stand. Diese Kultur breitete sich jedoch nicht in der Richtung gegen das Meer aus, ebensowenig wie wir heute noch über keine rich[1]tigen Beweise verfügen, dass sie auch auf anderer Seite nördlich von Karavanken und Alpen sich ausgebreitet hätte. Der Kanzianberg wird vielleicht nur unter einem stärkeren Einflüsse unserer Kulturgruppe gestanden haben, ohne jedoch ein Teil ihrer selbst zu sein

    Sv. Jurij in sv. Martin na Svetih gorah na Bizeljskem v predromanski dobi

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    Sur la base des recherches effectuées dans les années 1967 et 1968, l’au[1]teur essaie de résoudre le problème de l’origine de deux chapelles consacrées à St. Georges et à St. Martin. Ces deux chapelles se trouvent au sud de la principale église basilicale consacrée à Marie. La chapelle de St. Georges, qui se trouve plus au nord, est orientée dans l’axe NNE —- SSW, tandis qu’à cause du nivellement de l’extrémité sud de ce plateau, pour lequel l’auteur présume qu’il a été fait artificiellement, la chapelle de St. Martin a la direc[1]tion E—W. Comme les deux bâtiments ont été plusieurs fois remaniés, l’au teur essaie de dissocier les activités particulières et, ce faisant, il a réussi à séparer dans la chapelle de St. Georges quatre, et dans la chapelle de St. Martin trois phase de construction principales. Mais il nexclut pas la pos[1]sibilité que tous les éléments d'une phase ne se seraient pas déroulés en même temps. Certaines des phases déterminées présentent dans les deux chapelles les mêmes éléments. Mais ici aussi, l’auteur admet la possibilité que de ce fait la simultanéité et l'oeuvre d'un même maître ne sont pas attestées. Comme les bâtiments avec leurs phases de construction plus récentes se relient à cer[1]taines phases des trois autres églises de cette colline et que celles-ci seront traitées dans une publication commune, l’auteur se limite au seul traitement de leurs éléments plus anciens. Parmi ceux-ci se rangent les Ie et IIe pério[1]des de construction des chapelles mentionnées. Les recherches, les sondages et les diverses traces dans les murs et le sol ont montré que la Ie phase de construction se limite en essence seulement aux nefs des deux chapelles, en tant qu’ouvragé quadrangulaire (grandeur 3,65 X 2,87 et 4,05 X 3,18 m, épaisseur des murs 0,75 — 0,85 m) sans aucun pres[1]byterium et avec une petite porte d’entrée, qui se termine en demi-cercle à la partie supérieure. Les deux bâtiments avaient à l’intérieur une hauteur d'environ 2,40 m et un plafond droit en bois. Ses traces sont conservées dans les restes des troncs horizontaux dans le mur septentrional de la chapelle de St. Martin et dans les inégalités des murs de la chapelle de St. Georges. Plusieurs traces sur les murs montrent que les bâtiments précisément à cette place ont deux superstructures. Dans la première superstructure on a ouvert deux fenêtres dans la chapelle de St. Georges et peut-être une dans la chapelle de St. Martin, qui a cependant dû être détruite lors de l’ouver[1]ture de la fenêtre quadrangulaire plus récente. L’auteur attribue ces change[1]ments à la IIe phase de construction de ces bâtiments. Le sondage du pres[1]byterium de la chapelle de St. Georges a découvert les fondements du pres[1]byterium quadrangulaire. Sous le revêtement de ciment d’aujourd’hui on a découvert dans le presbyterium seulement une couche plus ancienne du sol, tandis que celle-ci était double dans la nef. Le sol intact de la nef n’a été découvert que sur un tiers de la surface, tandis que dans le reste de l’em[1]placement il était dispersé. Au milieu de la nef se trouvait une plus grande excavation, qui était comblée de terre noire. D’après les éléments conservés dans le mur de la nef, on a découvert que les presbyteriums avaient la même hauteur que le mur avec la première su[1]perstructure. Selon l’auteur, dans cette phase on a aussi ouvert les arcs. D’après les morceaux de bois conservés dans le mortier des murs, il estime que cette phase de construction a connu le plafond droit en bois. D’après ces éléments et quelques autres, l’auteur conclut que dans la Ie et la IIe phase de la construction les deux chapelles appartiennent à la même période. Etant donné ce moment, on a aussi analysé ensemble la facture des murs des deux nefs, le mode d’exécution des portails et des fenêtres et l’orientation des chapelles. Selon l'auteur, beaucoup d’éléments convergents de la construction de culte de la période antique avancée servent de comparaison, à savoir les découvertes, où apparaissent deux constructions de culte simul[1]tanées, l’une à côté de l’autre, comme par ex. sur le territoire de la Carin[1]thie; ou bien en Bosnie et Herzégovine, où entre autre de telles églises se di-stinguent par une orientation différente, comme dans les cas des chapelles traitées. Il est significatif qu’ici pour l’église d’orientation E—W, on présume qu’elle est orthodoxe, alors que la seconde, d’orientation vers le nord, est arienne. Dans ces bâtiments précoces, l’auteur voit aussi les analogies les plus fidèles pour le plan de base irrégulier de la nef, pour la structure de con[1]struction disproportionnée des murs et particulièrement pour le mode d’exé[1]cution des angles de construction. En ce qui concerne les portails, il présume que leur partie supérieure, qui est en essence un bloc de pierre quadrangula[1]ire, allongé, coupé en demi-cercle à la partie inférieure, a sans doute son origine dans les éléments à arcades antiques similaires ou les portails ana[1]logues des aedicules antiques. A la différence de ces éléments, la construction des murs et la forme de la surface au sol sont, selon l’auteur, la tradition des cultures plus anciennes, qui dans le cercle culturel villageois a vécu aussi à l’époque romaine et jusqu’au haut moyen âge. L’auteur compare les fenêtres de la chapelle de St. Georges avec la fenê[1]tre découverte du mur septentrional de l’église de St. Primož au-dessus de Kamnik, avec laquelle s’accorde ausi le presbyterium quadrangulaire. Ici, l’auteur se demande si, pour cette église aussi, étant donné le plan de base donné, la forme primitive n’est pas limitée seulement à la partie de la nef, ce qui serait attesté par le banc taillé dans la roche vive. A la fin, l’auteur conclut qu’en raison de la nécropole découverte à cette place, les deux chapelles avaient dès les débuts mêmes le caractère de cime[1]tière et que leur origine est liée à la tradition de culte plus ancienne du lieu même. A cet égard, elles se relient au territoire de la Carinthie, avec une influence sensible aussi du sud et du sud-est. Etant donné tous les moments primitifs traités, selon l’auteur, les deux chapelles sont le reflet de la popula[1]tion autochtone et des immigrants ariens, tandis que la IIe phase de construc[1]tion est le reflet de la volonté de style de son temp
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