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    Blind deconvolution of sparse pulse sequences under a minimum distance constraint: a partially collapsed Gibbs sampler method

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    For blind deconvolution of an unknown sparse sequence convolved with an unknown pulse, a powerful Bayesian method employs the Gibbs sampler in combination with a Bernoulli–Gaussian prior modeling sparsity. In this paper, we extend this method by introducing a minimum distance constraint for the pulses in the sequence. This is physically relevant in applications including layer detection, medical imaging, seismology, and multipath parameter estimation. We propose a Bayesian method for blind deconvolution that is based on a modified Bernoulli–Gaussian prior including a minimum distance constraint factor. The core of our method is a partially collapsed Gibbs sampler (PCGS) that tolerates and even exploits the strong local dependencies introduced by the minimum distance constraint. Simulation results demonstrate significant performance gains compared to a recently proposed PCGS. The main advantages of the minimum distance constraint are a substantial reduction of computational complexity and of the number of spurious components in the deconvolution result

    Villages lorrains – Au pays de Delme

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    L'avenir de la psycholinguistique de l'enfant

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    A partially collapsed Gibbs sampler for parameters with local constraints

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    International audienceWe consider Bayesian detection/classification of discrete random parameters that are strongly dependent locally due to some deterministic local constraint. Based on the recently introduced partially collapsed Gibbs sampler (PCGS) principle, we develop a Markov chain Monte Carlo method that tolerates and even exploits the challenging probabilistic structure imposed by deterministic local constraints. We study the application of our method to the practically relevant case of nonuniformly spaced binary pulses with a known minimum distance. Simulation results demonstrate significant performance gains of our method compared to a recently proposed PCGS that is not specifically designed for the local constraint

    Enseignements

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    Comment les savoirs se sont-ils historiquement constitués et sont-ils aujourd'hui transmis en Afrique ? Face aux politiques de mondialisation, comment s'expriment l'identité et la spécificité des systèmes éducatifs africains ? À partir d'approches originales et différenciées, sociologues, anthropologues, pédagogues, démographes, historiens et économistes décrivent les changements sociétaux, les transformations économiques et les crises politiques qui influent sur l'évolution de l'École africaine. Si la mondialisation accentue conjointement l'imposition d'un ordre scolaire mondial, les processus d'uniformisation des systèmes éducatifs et la croissance de la démographie scolaire, on constate que la production et la transmission des savoirs demeurent encore très hétérogènes en Afrique. À côté de l'École « officielle » ou « classique », se maintiennent et se transforment d'anciens modes de transmission des savoirs ou se créent de nouvelles écoles qui se dérobent volontiers à l'autorité des États. Née des crises financières ou politiques qui occasionnent le retrait des États de la sphère éducative, la diversification du champ scolaire africain est aussi la conséquence de ces nouvelles modalités d'appropriation de l'École et des savoirs par les sociétés

    Analyses et comptes rendus

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    International audienceAu moment où le philosophe indien Nāgārjuna fait son entrée au programme de Terminale, cet ouvrage se signale par son utilité, pour le chercheur confirmé comme pour un public humaniste mais encore novice en matières orientales, son originalité ainsi que sa puissance d’organisation. Trop longtemps, dans les manuels ou les encyclopédies, la philosophie indienne a été présentée de manière dogmatique, en énumérant des écoles, voire des sectes, qui semblaient enfermées dans leurs propres présupposés. Nos auteurs parviennent à montrer que c’est au contraire à travers un dialogue attentif aux exigences universelles de l’esprit humain, où chaque penseur essaie, pour asseoir sa position, de produire des arguments dont même l’autre, appartient-il à une tradition religieuse différente, puisse reconnaître la validité, qu’une rationalité autonome s’est développée en Inde autour de questions qui intéressent véritablement le philosophe d’Europe ou d’ailleurs. L’ouvrage est ainsi construit comme une suite ordonnée de dissertations, nourries par les penseurs indiens, où sont notamment examinés le degré de réalité et la nature de ce que nous estimons, peut-être à tort, constituer notre personne, le fameux « soi » qu’on voudrait immatériel, substantiel et éternel, voire infini sous tout rapport, et, le cas échéant, la manière dont il se manifeste à chacun de nous, puis l’existence éventuelle d’objets extérieurs en sus des modifications de la conscience qui nous les représentent, puis, plus spécialement, les opérations cognitives qui m’amènent à reconnaître la présence d’un alter ego dans le monde, la liste et la hiérarchie des moyens de connaissance valide ainsi que la cause des erreurs, l’articulation entre raison et autorité scripturaire, le rapport conventionnel ou naturel entre les mots et les choses, le statut ontologique des universaux, l’essence et les opérations de Dieu à l’égard du monde, ainsi que la possibilité de produire une preuve rationnelle de son existence

    Invariants et variabilités dans les sciences cognitives

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    « Comme toutes les sciences, les sciences cognitives sont confrontées à la variabilité des phénomènes qu'elles étudient, et cherchent à dégager de cette variabilité un ensemble de régularités, d'invariants, sur lesquels ancrer les connaissances. Cette quête d'invariance implique des choix quant aux formes de variabilité à prendre en considération. Certaines, jugées pertinentes pour l'objet d'étude, sont utilisées ou manipulées pour en extraire des invariants, tandis que d'autres, jugées sans importance, sont négligées ou neutralisées. Concernant ces choix, les opinions et les pratiques sont changeantes selon les époques, l'état d'avancement des disciplines ou les courants théoriques au sein d'une même discipline. Des formes de variabilité ignorées à une époque peuvent devenir intéressantes un peu plus tard. Il semble précisément que nous soyons à une époque où le regard porté sur la variabilité évolue, notamment dans les sciences cognitives. La recherche d'universaux a souvent conduit à centrer l'analyse sur les tendances moyennes et à attribuer la variabilité observée autour de ces tendances aux erreurs de mesure ou à des bruits parasites sans grande importance. Or, dans beaucoup de disciplines concernées par la cognition, le rôle reconnu à la variabilité dans les mécanismes adaptatifs et, plus particulièrement, dans les processus d'auto-organisation, conduit à reconsidérer son statut. Cette évolution des idées suscite un regain d'intérêt pour l'étude des différentes formes de variabilité - intra-individuelle, interindividuelle, intergroupes, inter-langues, interculturelles, etc. - et conduit souvent à questionner, repenser, les invariants dans le domaine de la cognition. La recherche de nouvelles formes d'articulation entre les variabilités et les invariants apparaît donc comme un des thèmes émergents autour desquels peuvent se nouer - entre les sciences cognitives - des échanges fructueux aux plans épistémologique, théorique et méthodologique.
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