16 research outputs found

    Médias sociaux, une autre façon de s'informer pour la nouvelle génération

    Get PDF
    Le monde de l’information s’est métamorphosé durant la dernière décennie. Les médias dit traditionnels que sont la télévision, la radio et les journaux perdent chaque jour des parts de marché au profit de médias issus des nouvelles technologies. Parmi ces derniers, les médias sociaux (Facebook, YouTube, Twitter) se sont fait au fil des années leur place auprès d’un public plutôt jeune. Aujourd’hui, de nombreuses personnes de cette nouvelle génération s’informent sur l’actualité exclusivement sur les réseaux sociaux. Il était donc temps de faire le point sur la place qu’occupent les médias sociaux dans le monde de l’information pour les jeunes. Après avoir effectué des recherches documentées pour poser le cadre de ce travail, j’ai effectué un sondage auprès d’une centaine de jeunes de quinze à vingt-cinq ans. Les principaux résultats qui se sont dégagés de cette enquête est qu’un quart des jeunes ne s’intéresse pas à l’actualité bien qu’ils jugent important de la suivre. Le média le plus utilisé pour s’informer sur l’actualité est internet devant les médias sociaux. Les médias traditionnels arrivent loin derrière. Il ressort un point contradictoire de ce sondage car les jeunes disent rechercher avant tout des contenus de qualité alors qu’ils estiment ne pas pouvoir les trouver sur les médias sociaux. En confrontant mes recherches et les résultats du sondage, j’en suis arrivé à pouvoir émettre des hypothèses sur le futur des médias sociaux. Pour moi, les jeunes se désintéressent de l’actualité, non pas parce qu’elle ne comporte aucun intérêt pour eux mais parce qu’aucun support sur lequel elle est disponible ne leur convient. La télévision ou les journaux sont des médias devenus obsolètes pour cette nouvelle génération et seul internet et les médias sociaux trouvent grâce à leurs yeux. Il faut toutefois rester prudent car si les médias sociaux sont de plus en plus utilisés pour s’informer, c’est selon moi, par défaut. En effet, les jeunes veulent de la qualité et un support adapté à leur mode de vie, à savoir instantané, numérique et rapidement utilisable, mais aucun média ne remplit ces trois conditions, à part les réseaux sociaux dont les jeunes doutent de la qualité du contenu. Il y a donc une place à prendre et comme la nature a horreur du vide, nul ne doute que durant les années à venir, nous serons témoins de l’arrivée d’un média révolutionnaire et mieux adapté aux générations qu’il sera amené à servir

    L'utilité des intervenants externes en entreprise au niveau organisationnel et RH

    Get PDF
    Le nombre d’entreprises spécialisées dans le conseil a fortement augmenté ces vingt dernières années. En effet, que cela soit des PME, des banques, des institutions parapubliques ou publiques, toutes font appel régulièrement à des intervenants externes pour gérer une situation problématique au sein de leur entreprise. Lorsque l’on parle d’interventions externes on peut mentionner l’audit, le consulting ou le coaching. Cependant, peu de personnes connaissent réellement le rôle de ces trois types d’intervenant ni lequel mandater en fonction du problème à résoudre. Ce travail aura pour but d’aider les lecteurs à mieux comprendre l’utilité de chaque intervenant et son rôle au sein des entreprises mandantes grâce, notamment, aux plans d’actions élaborés avec des professionnels pour chaque catégorie d’intervention. Une comparaison détaillée de ces types d’intervenants, avec certains des outils qu’ils utilisent lors de leurs mandats, fera aussi partie de ce travail de recherche. La situation économique suisse actuelle n’étant pas spécialement au beau fixe, notamment, en raison du franc fort (depuis l’abolition du taux planché de l’euro par la BNS), de nombreuses entreprises sont amenées à réduire leurs dépenses. La question est de savoir si cette situation touche aussi les intervenants externes engagés par ces entreprises et si certaines interventions ne pourraient pas être faites à l’interne. Grâce aux interviews réalisées pour ce travail et aux différentes recherches effectuées, ces deux problématiques seront étudiées. Il faut noter qu’il existe des interventions externes dans de nombreux domaines d’expertises différents tels que : la finance, la fiscalité, l’informatique, les ressources humaines et l’organisation. Ce travail de bachelor se concentre principalement sur les deux derniers domaines d’expertises, à savoir les ressources humaines et l’organisation. En effet, de nos jours, le bien-être des collaborateurs est un aspect très important dans notre société. Les entreprises souhaitent donc avoir une bonne gestion de leur personnel et, de ce fait, font appel à des intervenants externes pour atteindre cet objectif

    Integration of a human risk module into a risk management software

    Get PDF
    In the scientific literature and in practice, many questionnaires based on a myriad of measures have been designed and tested to measure and evaluate perceived work stress or employee involvement. The objective of our research is to identify the most significant elements of human risks and to combine them into a single score at the level of teams and departments. Indeed, for companies, what really matters are the stress or dissatisfaction factors that lead to harmful behavior that prevent managers and their teams from achieving their objectives. Based on this research, we are developing a module that will be incorporated into the Oxial software and will also be available as a stand-alone module. This module will collect and analyze the data to calculate a single score measuring the level of human risk. This aspect is very innovative, because no risk management software currently includes a module dedicated to human risks

    Industrie 4.0, l'Homme et le robot: une collaboration possible ?

    Get PDF
    L’ère du sur-mesure est arrivée : les robots sont partout et permettent de perfectionner des produits et de les rendre uniques. Depuis leur création, les robots sont développés dans l’optique d’assister les humains, comme une extension de leurs propriétés. Toutefois, la place de l’Homme devient une importante réflexion, car l’intégration des robots dans la société est inévitable. Dans cette industrie 4.0, la disruption qu’elle engendre bouleverse les modèles organisationnels existants et la systémie des entreprises, les poussant à se transformer et à se digitaliser. Les robots apportent aux entreprises des performances accrues, tout en octroyant aux collaborateurs des tâches plus épanouissantes. Néanmoins, un robot ne possédera jamais une intelligence identique à celle d’un humain, car il leur manque une chose : la créativité. C’est pourquoi, une entreprise doit opter pour une mixité dans ses équipes, où robots et humains seront en totale synergie. Selon certaines entreprises à Genève, une collaboration est totalement envisageable puisqu’elle n’est pas dans une optique de remplacement des collaborateurs, mais de soutien dans ses différentes activités. Les entreprises commencent à s’intéresser aux robots collaboratifs, car les collaborateurs possèdent des capacités uniques, ce qui les rendront irremplaçables au sein des industries. Au contraire, leur place est encore plus importante aujourd’hui, contribuant de ce fait à ce que beaucoup d’entreprises aient des outils comme le Lean Management et aient modifié leur stratégie pour une approche sociologique, redonnant une place importante aux collaborateurs dans un système participatif. Dans les recommandations, j’explique que le marché de la robotique industrielle va énormément progresser et que les robots vont continuer à s’installer dans la plupart des métiers. En effet, ils continueront leur évolution au niveau de leur technique. La robotique collaborative amènera de nouvelles possibilités pour un humain d’évoluer et de s’adapter. Concernant l’investissement dans la robotique, elle est abordable, mais il ne faut pas négliger tous les coûts indirects causés par les robots. Toutefois, la politique devra tôt ou tard s’en mêler afin de limiter une probable distorsion sur le marché du travail. Concernant les grandes entreprises, elles ne sont pas totalement dans une optique de transformation 4.0, mais la standardisation des processus et des partages de données entre les services pourront potentiellement améliorer l’exploitation optimale des ressources et amener une réelle transversalité

    La lourdeur des processus d'affaires et leurs impacts sur le capital humain

    Get PDF
    Depuis quelques années, les entreprises ont recours à des processus et des procédures de plus en plus compliqués pour gérer leurs risques. Il arrive, parfois, qu’ils provoquent des effets indésirables sur les employés qui les subissent. Le présent travail est une synthèse de témoignages opérationnels qui subissent les situations les plus absurdes dans le cadre de leur travail. Toutes ses situations sont liées à une volonté de gérer le risque opérationnel et fournir des données aux actionnaires afin de les rassurer. Malheureusement, pour les entreprises concernées, la complexification des processus provoque chez les employés des situations de frustration, incivilités, maladies et freine la conclusion des affaires avec les clients. En gérant leurs risques opérationnels, elles génèrent des risques pour leurs Ressources Humaines. Aujourd’hui, les risques opérationnels sont gérés de manière réactive, c'est-à-dire, que des mesures sont prises lorsque le mal est déjà fait. Le sentiment que de telles mesures provoquent sur les employés est qu’ils se sentent « persécutés » et qu’ils paient « les erreurs des autres ». L’objectif de cette recherche est de permettre un changement dans le domaine de la gestion du risque en la rendant proactive. Il est possible d’anticiper certains comportements et certains risques liés à l’humain en incluant aux processus et aux procédures des points de contrôle. La gestion du risque devrait être évolutive, tout comme l’humain l’est. Le présent travail de master tente d’apporter des solutions innovantes destinées à diminuer les risques humains et à mieux gérer les risques opérationnels par le biais d’indicateurs et des recommandations extraites des interviews d’employés qui gèrent, tous les jours, les risques auxquels ils sont confrontés

    Detecting Customer Queue “at-risk” Behaviors Based on Ethograms to Minimize Overall Service Dissatisfaction

    Get PDF
    Every service encounter corresponds to a “queue network” in which a system of waiting lines is connected to servers. We posit that each production service type (e.g., restaurant, airport) requires an adapted queue design in order to maximize attributes salient to customers (i.e., their primary elements of perceived value) in today’s globalized service environment. While the queues have been studied from many angles, a scientific contribution based on a human ethology approach proposing the early identification of “at-risk” behaviors to regulate queue dynamics seems to be novel. To remedy this shortcoming, the large-scale food distribution sector has been chosen for the application of a naturalistic observation approach to describe in detail the behavior of customer queues. Sixteen immersion episodes were conducted in the months between May and June 2016. Using RQDA, we analyzed the immersion transcripts and identified typical customer queue behavioral patterns. Then, we developed an ethogram containing what we considered to be “at-risk” queue behaviors. This ethogram can ultimately be used as an anticipatory indicator in the context of feedforward management controls. Feedforward control, as opposed to classical feedback controls, is based on the early detection of risks and the implementation of mitigation before damage occurs. While this approach requires human attention and expertise (which can be labor-intensive), there is also potential for human ethology to assist managers with supportive or complementary automation. Indeed, the factual description of behaviors contained in our ethogram can easily be coded with modern technology like facial expression and body recognition technologies.</p

    Les enjeux de la préférence indigène

    No full text
    En tant qu’étudiant, j’ai rédigé ce travail en respectant la forme et effectué l’analyse théorique du sujet. Ensuite, en tant que Spécialiste en Ressources Humaines en entreprise, et régulièrement confronté aux situations d’engagement dans les secteurs concernés par la préférence indigène, j’ai tenté de me poser les questions inhérentes aux RH. J’ai, par la suite, orienté mon axe de réflexion sur la Gestion de Projet, afin de voir le sujet sous un autre angle et définir les recommandations. J’ai donc joué trois rôles pour développer ce sujet et l’ai fait en plusieurs parties bien distinctes : La première partie est l’introduction au sujet, incluant la méthodologie appliquée pour la recherche. Ensuite, j’ai effectué une analyse théorique du sujet, relevant toute donnée utile à l’analyse. Cette partie est rédigée par l’étudiant. Les parties 3 à 5 sont rédigées par le spécialiste en ressources humaines, elles traitent de la mise en application de la procédure et de la structure allouée à celle-ci. La sixième partie est celle du Business Analyst (en herbe), dans laquelle j’effectue une analyse des besoins et des parties prenantes. Je mélange alors toutes les fonctions au point 7 en me permettant une analyse personnelle (subjective). Et je continue à me projeter sous ces trois casquettes pour la problématique 2020, thème qui clôt mon travail de Bachelor

    Opportunités dans le négoce international d'ammoniac

    Get PDF
    Depuis 2007, la situation économique mondiale tend à s’inscrire dans une phase de récession. Les prix des matières premières ne cessent d’atteindre des records, les financiers sont soumis à rude épreuve avec les dettes américaines et les consommateurs voient leur pouvoir d’achat diminuer. Comme le prix du maïs a doublé durant l’année 2007, le risque d’une crise alimentaire des pays pauvres augmente. Les nouvelles réglementations et exigences mentionnées dans l’accord de Kyoto poussent les gouvernements à développer les biocarburants et à utiliser des matières fossiles moins polluantes. Cette tendance se traduit par l’exploitation des ressources agraires pour développer de l’éthanol, sans pour autant augmenter les surfaces cultivables. C’est principalement cette contradiction qui crée la crise actuelle sur le marché de l’ammoniac et des engrais et qui se conclut par une offre insuffisante. L’augmentation de la population et l’évolution de la consommation alimentaire promettent un avenir plutôt intéressant pour le marché de l’ammoniac. En plus de cela, le prix estimé pour 2009 par les professionnels est de 1000 usd la tonne, alors qu’elle se vendait entre 200 et 300 usd en 2003. Cette perspective a attiré les investisseurs à construire des usines d’ammoniac et d’engrais dans les pays possédant un coût de production le plus compétitif tel qu’au Moyen Orient. Cette région a le privilège de disposer de grandes ressources en gaz naturel (principale matière première pour la production d’ammoniac). Il faut tout de même noter que ces investissements coûtent beaucoup d’argent et sont basés sur du long terme. Aujourd’hui, les usines d’ammoniac vendent leurs produits essentiellement sur le marché local. Il s’agit donc d’une industrie qui répond à un besoin proche. Mon travail va consister à évaluer les opportunités présentent sur le marché pour les acteurs actuels et à comprendre les types de stratégies que ceux-ci vont pouvoir adapter et mettre en place. J’introduirai également les risques liés au négoce international d’ammoniac et à sa production. Mon étude doit permettre aux dirigeants de saisir facilement comment fonctionne ce marché, ainsi que d’identifier les facteurs qui peuvent avoir un impact sur l’évolution de l’offre et de la demande
    corecore