279 research outputs found
Richard Gauthier, Le devenir de lâart dâĂ©glise dans les paroisses catholiques du QuĂ©bec. Architecture, arts, pratiques, patrimoine (1965-2002), QuĂ©bec, Les Presses de lâUniversitĂ© Laval, 2005, 183 p.
Les effets du miel sur la cicatrice de césarienne: Travail de Bachelor
Cadre de rĂ©fĂ©rence : lâincidence des complications associĂ©es Ă la cĂ©sarienne est une prĂ©occupation importante dans le mĂ©tier de sage-femme. Dâautant plus que le pourcentage de cet acte a nettement augmentĂ© dans les derniĂšres annĂ©es. Bien quâune prise de conscience gĂ©nĂ©rale soit advenue et que le taux de cĂ©sariennes ait certainement atteint son maximum, ce geste demeure une pratique courante en obstĂ©trique permettant de sauver des vies. Câest pour cela et afin de limiter lâimpact de cette opĂ©ration sur la pĂ©riode du post-Âpartum, quâil est important de trouver le meilleur traitement cicatrisant possible Ă offrir aux femmes. Le miel, parce quâil est un produit naturel, doux et a priori sans effet secondaire, reprĂ©sente un bon candidat. Objectif : le but de ce travail est dâexplorer lâefficacitĂ© de lâapplication de miel sur des cicatrices de cĂ©sariennes. MĂ©thode : les cinq articles qui constituent cette revue de littĂ©rature ont Ă©tĂ© cherchĂ©s sur les moteurs de recherche suivants, dâaprĂšs leur annĂ©e de publication et le type de plaie Ă©tudiĂ© : Medline via Pubmed, CINAHL, Google Scholar et MIDIRS. Quatre dâentre eux sont des essais cliniques randomisĂ©s en double ou triple aveugle. Le dernier est une Ă©tude observationnelle avec comparaison temporelle. Tous ont Ă©tĂ© analysĂ©s, critiquĂ©s et discutĂ©s. RĂ©sultats : quatre Ă©tudes sur cinq arrivent Ă la conclusion que le miel est bĂ©nĂ©fique pour la cicatrisation. En effet, il rĂ©duirait les complications telles que lâinflammation, lâinfection et la douleur. De plus, il amĂ©liorerait aussi lâissue esthĂ©tique de la plaie. Il semblerait Ă©galement que le miel nâait pas dâeffet secondaire, exceptĂ© un cas dâirritation passagĂšre dans une des Ă©tudes. La derniĂšre Ă©tude nâobserve pas de diffĂ©rence significative avec lâutilisation du miel. Conclusion : lâutilisation du miel semble ĂȘtre une approche intĂ©ressante pour promouvoir la cicatrisation des plaies de cĂ©sariennes. Bien que ces rĂ©sultats soient encourageants, ils comportent toutefois quelques divergences. Pour cette raison, il serait nĂ©cessaire de procĂ©der Ă de plus amples Ă©tudes afin dâĂ©valuer lâefficacitĂ© des diffĂ©rents types de miels. Toutefois, de part le fait que le miel nâait pas dâeffet secondaire majeur, il est possible de le proposer comme soin
Aspects personnels et interpersonnels associés aux préoccupations alimentaires
Nous constatons que de plus en plus de gens prĂ©sentent, de façon Ă©pisodique ou chronique, des symptĂŽmes de lâordre des troubles des conduites alimentaires sans toutefois que cela soit cliniquement significatif. Nous remarquons Ă©galement que cette population a Ă©tĂ© peu Ă©tudiĂ©e. Une recension de la documentation indique que lâĂ©mergence et lâintensitĂ© des troubles des conduites alimentaires peuvent ĂȘtre influencĂ©es par la qualitĂ© dâattachement dĂ©veloppĂ©e Ă lâenfance, le style dâattachement adulte, les stratĂ©gies de rĂ©gulation Ă©motionnelle, ainsi que lâexposition Ă des Ă©vĂ©nements de vie difficiles. De plus, la documentation permet de constater que les troubles des conduites alimentaires sont souvent accompagnĂ©s dâun plus bas niveau de satisfaction Ă lâĂ©gard de sa vie ainsi que de difficultĂ©s relationnelles. Enfin, ces Ă©lĂ©ments auraient notamment pour effet dâexacerber et de maintenir les symptĂŽmes. La prĂ©sente Ă©tude sâintĂ©resse Ă une population sous-clinique aux prises avec des prĂ©occupations alimentaires. Son objectif est dâapprofondir les connaissances sur les caractĂ©ristiques psychologiques qui leur sont associĂ©es, et ce dans une population gĂ©nĂ©rale. Un autre objectif est de vĂ©rifier sâil existe des similaritĂ©s entre le portrait de la population clinique et celui de la population sous-clinique. Pour ce faire, 164 participantes ĂągĂ©es de 18 Ă 40 ans ont rempli une batterie de questionnaires qui a permis dâĂ©valuer les diffĂ©rents liens entre nos variables indĂ©pendantes et dĂ©pendantes. Un devis quantitatif corrĂ©lationnel a Ă©tĂ© utilisĂ©, et des analyses de rĂ©gressions multiples ont permis dâĂ©tablir les liens entre les diffĂ©rentes variables Ă lâĂ©tude. Les principales retombĂ©es sont en lien avec la comprĂ©hension des diffĂ©rents Ă©lĂ©ments qui influencent lâapparition, lâintensitĂ© et le maintien des symptĂŽmes. Les rĂ©sultats montrent Ă©galement une pertinence sur le plan de la prĂ©vention
Biomimetic nanocrystalline apatites: Emerging perspectives in cancer diagnosis and treatment
Nanocrystalline calcium phosphate apatites constitute the mineral part of hard tissues, and the synthesis of biomimetic analogs is now wellmastered at the labscale. Recent advances in the fine physicochemical characterization of these phases enable one to envision original applications in the medical field along with a better understanding of the underlying chemistry and related pharmacological features. In this contribution, we specifically focused on applications of biomimetic apatites in the field of cancer diagnosis or treatment. We first report on the production and first biological evaluations (cytotoxicity, proinflammatory potential, internalization by ZR751 breast cancer cells) of individualized luminescent nanoparticles based on Eudoped apatites, eventually associated with folic acid, for medical imaging purposes. We then detail, in a first approach, the preparation of tridimensional constructs associating nanocrystalline apatite aqueous gels and drugloaded pectin microspheres. Sustained releases of a fluorescein analog (erythrosin) used as model molecule were obtained over 7 days, in comparison with the ceramic or microsphere reference compounds. Such systems could constitute original bonefilling materials for in situ delivery of anticancer drug
Potential energetic return on investment positively correlated with overall soil microbial activity
Microbial communities are a critical component of the soil carbon (C) cycle as they are responsible for the decomposition of both organic inputs from plants and of soil organic C. However, there is still no consensus about how to explicitly represent their role in terrestrial C cycling. The objective of the study was to determine how the molecular and energetic properties of readily available organic matter affect the metabolic activity of the resident microbial communities in soils. This was achieved by cross-amending six soils, taken from woodland and grassland sites along an urban pressure gradient, with organic matter extracted from the same six soils and measuring heat dissipated due to the increase in microbial metabolic activity. The energetic properties of the organic matter were used to estimate a potential energetic return on investment (ROI) that microbial communities could obtain from the transformation of the organic matter. Specifically, the ROI was calculated as the ratio between the total net energy available (ÎE) and the weighted average standard state Gibbs energies of oxidation half reactions of organic C (ÎG°Cox). ÎE was measured as the heat of combustion using bomb calorimetry. ÎG°Cox was estimated using the average nominal oxidation state of C (NOSC) of the molecular species in the organic matter. The overall metabolic activity of microbial communities was positively related to the potential energetic return on investment but no significant relationship was found with the molecular diversity of organic matter. The temporal differences in metabolism across soils indicate that bacterial communities do not exploit the potential energetic return on investment in the same way: the suburban grassland communities responded more rapidly and the suburban woodland communities more slowly to the organic matter additions than the other communities. The urban gradient did not affect the properties of the molecular or energetic properties of the organic matter nor the response of the microbial communities to the organic matter additions. However, the organic matter from the grassland soils caused soils to dissipate 36.4% more heat than organic matter from the woodland soils. The metabolic response was also more rapid after the addition of grassland organic matter: the time taken for half the heat to be dissipated was 6.4 h after the addition of grassland organic matter and 6.1 h after the addition of woodland organic matter. Overall, our results suggest that microbial communities preferentially use organic matter with a high potential energetic return on investment, i.e. organic molecules that do not require high cost associated with catalysis whilst yielding a high net energetic benefit
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