13 research outputs found

    L'Écho : grand quotidien d'information du Centre Ouest

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    08 juillet 19311931/07/08 (A60).Appartient à l’ensemble documentaire : PoitouCh

    Kinship Between Judith Butler and Anthropology? A Review Essay

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    This essay critically evaluates Judith Butler’s recent writings on kinship. In this work, Butler challenges the universalist assumptions of psychoanalysis, hoping to lay the analytical groundwork for imagining new forms of familial relationship. Butler examines the way that anthropology and psychoanalysis have constructed the incest taboo as necessitating heteronormative forms of kinship. Butler’s critique of kinship, which draws on her theories of subjection, belies her own attachment to a vision of social life occupied primarily by normative institutions, in particular the state. I suggest that new forms of kinship must be understood on their own terms, whether or not they are accorded legitimacy in law or accepted by psychoanalysis. Anthropology’s ethnographic practice can emendate an account of subjection and recognition that obsessively looks to institutions and norms even as it criticizes them

    Soft law and sanctions: economic policy co-ordination and reform of the stability and growth pact

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    The highly formalized Stability and Growth Pact gives ECOFIN power to impose sanctions on states that breach the Pact's budgetary targets. As the ECOFIN meeting in November 2003 showed, it has considerable but not unlimited discretion. The Commission has called for a more flexible interpretation of the Pact, the strengthening of sanctions against non-compliant member states and successfully litigated the legality of the ECOFIN decision. We argue that the predominance of soft law in EMU's fiscal framework is functionally suited to the uncertainty that surrounds economic co-ordination over the medium term. This suggests an inherent tension in the Commission's proposals: although a more flexible interpretation of the Pact gives more room for fiscal manoeuvre to states that start from healthy budgetary positions, it also makes it more difficult for ECOFIN to measure compliance. This uncertainty re-emphasizes the soft law elements of the Pact, rather than bolstering the efficacy of its sanction mechanisms

    La valorisation et la reconnaissance des savoirs collectifs locaux : un outil de transformation sociale pour les petites communautés?

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    La recherche porte sur les savoirs collectifs locaux, plus précisément sur la question de leur reconnaissance et de leur valorisation envisagée comme une voie de développement pour les petites communautés. Existe t-il des savoirs collectifs locaux qui s'inscrivent dans une approche de développement territorial? Si oui, quel en est le processus de construction ? Notre postulat de départ était que les savoirs collectifs locaux peuvent être un outil de développement pour les petites communautés dans la mesure où ils sont reconnus et valorisés, par les acteurs locaux eux-mêmes, comme par les acteurs supra-locaux. Notre démarche méthodologique s'appuie sur une approche compréhensive et qualitative, traduite dans une recherche-action auprès d'une communauté rurale de moins de 1000 habitants. Nous avons accompagné les acteurs d'un comité de revitalisation des terres agricoles en friche sur une période de 18 mois. Notre méthodologie favorise l'expression, par les acteurs locaux, de leurs spécificités tout en expérimentant le changement avec eux. Nous avons voulu réunir les conditions pour que les acteurs locaux se réapproprient leur démarche, leurs savoirs construits et ce, dans le temps réel. Sur le plan théorique, et pour nous conduire vers une définition des savoirs collectifs locaux, nous avons dégagé trois (3) approches et stratégies de développement applicables au niveau local : le « territoire entrepreneur », le développement économique communautaire et celle des mouvements sociaux territoriaux. Notre conception des savoirs collectifs locaux chevauche les deux dernières approches et exclut une vision néo-libérale. Nous avons défini les savoirs collectifs locaux en empruntant à plusieurs disciplines; l'éducation, l'anthropologie, la foresterie, l'urbanisme, etc. D'autres notions ont été développées : la communauté, la ruralité, la praxis, la réflexivité et le capital socio-territorial. De la recherche-action, nous avons cerné la mémoire collective et observé cinq logiques en interrelation dans la communauté. Ce sont la logique territoriale, technocratique, sectorielle, économique et consensuelle. Chacune était porteuse de stratégies d'action spécifiques. Sur le « terrain », les acteurs locaux ont posé un éclairage nouveau de leur situation, modifiant alors leurs stratégies. Outre certaines observations généralisables, tel par exemple l'absence d'homogénéité dans la communauté, des questionnements se sont ajoutés qui demandent à être approfondis. Nous pensons à la possibilité et à la capacité pour les acteurs locaux de trouver un espace d'expression des conflits et de débattre collectivement pour être en mesure de trouver des solutions. La tendance démontrée réfère à l'arbitrage par les représentants élus plutôt que par les acteurs directement impliqués dans le projet. La démocratie participative locale constitue t-elle un savoir-faire collectif encore à développer dans les communautés? Nous avons aussi identifié trois dimensions du processus de construction des savoirs collectifs locaux, les dernières étant tributaires de la première. Ce sont : la recomposition des liens sociaux, la production d'un modèle de gestion agricole et la présence d'un savoir collectif d'expérimentation. Pour terminer, un pouvoir d'agir accru passe davantage par l'appropriation du processus, le savoir-faire construit étant situé à ce niveau
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