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    The European Marine Observation and Data Network (EMODnet): Visions and roles of the gateway to marine data in Europe

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    Marine data are needed for many purposes: for acquiring a better scientific understanding of the marine environment, but also, increasingly, as marine knowledge for decision making as well as developing products and services supporting economic growth. Data must be of sufficient quality to meet the specific users' needs. It must also be accessible in a timely manner. And yet, despite being critical, this timely access to known-quality data proves challenging. Europe's marine data have traditionally been collected by a myriad of entities with the result that much of our data are scattered throughout unconnected databases and repositories. Even when data are available, they are often not compatible, making the sharing of the information and data aggregation particularly challenging. In this paper, we present how the European Marine Observation and Data network (EMODnet) has developed over the last decade to tackle these issues. Today, EMODnet is comprised of more than 150 organizations which gather marine data, metadata, and data products and make them more easily accessible for a wider range of users. EMODnet currently consists of seven sub-portals: bathymetry, geology, physics, chemistry, biology, seabed habitats, and human activities. In addition, Sea-basin Checkpoints have been established to assess the observation capacity in the North Sea, Mediterranean, Atlantic, Baltic, Artic, and Black Sea. The Checkpoints identify whether the observation infrastructure in Europe meets the needs of users by undertaking a number of challenges. To complement this, a Data Ingestion Service has been set up to tackle the problem of the wealth of marine data that remain unavailable, by reaching out to data holders, explaining the benefits of sharing their data and offering a support service to assist them in releasing their data and making them available through EMODnet. The EMODnet Central Portal (www.emodnet.eu) provides a single point of access to these services, which are free to access and use. The strategic vision of EMODnet in the next decade is also presented, together with key focal areas toward a more user-oriented service, including EMODnet for business, internationalization for global users, and stakeholder engagement to connect the diverse communities across the marine knowledge value chain

    What is behind smoker support for new smokefree areas? National survey data

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    BACKGROUND: Some countries have started to extend indoor smokefree laws to cover cars and various outdoor settings. However, policy-modifiable factors around smoker support for these new laws are not well described. METHODS: The New Zealand (NZ) arm of the International Tobacco Control Policy Evaluation Survey (ITC Project) derives its sample from the NZ Health Survey (a national sample). From this sample we surveyed adult smokers (n = 1376). RESULTS: For the six settings considered, 59% of smokers supported at least three new completely smokefree areas. Only 2% favoured smoking being allowed in all the six new settings. Support among Maori, Pacific and Asian smokers relative to European smokers was elevated in multivariate analyses, but confidence intervals often included 1.0.Also in the multivariate analyses, "strong support" by smokers for new smokefree area laws was associated with greater knowledge of the second-hand smoke (SHS) hazard, and with behaviours to reduce SHS exposure towards others. Strong support was also associated with reporting having smokefree cars (aOR = 1.68, 95% CI = 1.21 - 2.34); and support for tobacco control regulatory measures by government (aOR = 1.63, 95% CI = 1.32 - 2.01). There was also stronger support by smokers with a form of financial stress (not spending on household essentials). CONCLUSIONS: Smokers from a range of population groups can show majority support for new outdoor and smokefree car laws. Some of these findings are consistent with the use of public health strategies to support new smokefree laws, such as enhancing public knowledge of the second-hand smoke hazard

    "PIX'ILES 90" : télédétection et milieux insulaires du Pacifique : approches intégrées = Remote sensing and insular environments in the Pacific : integrated approaches

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    Dans le cadre du Fisheries Sector Program (F.S.P.) actuellement mis en oeuvre aux Philippines sous l'égide de la Banque Asiatique de Développement, le Centre de télédétection de la F.A.O. à Rome a l'intention de démontrer l'intérêt des nouvelles méthodes de cartographie apportées par les images de satellite à haute résolution. En général, quand on lance des programmes d'inventaire des ressources ou de gestion du littoral, on se heurte d'emblée à un vide d'information et de documents de base. Sur le premier des sites du R.S.P., à savoir la région de Calauag, Province de Quezon, l'étude pilote montre quel type d'information peut être facilement extrait d'images SPOT. La méthodologie est décrite et quelques recommendations sont données : comment acquérir une bonne image, comment effectuer la mission de terrain de manière efficace, comment organiser le déroulement des documents de qualité. Les coûts sont examinés, non pour cette étude pilote elle-même mais en se plaçant dans l'hypothèse d'une couverture complète des sites du F.S.P. (Résumé d'auteur

    "PIX'ILES 90" : télédétection et milieux insulaires du Pacifique : approches intégrées = Remote sensing and insular environments in the Pacific : integrated approaches

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    Le projet ALIAS Calédonie, sélectionné dans le cadre du programme d'études préliminaires SPOT a permis la conception et l'élaboration de produits dérivés de SPOT destinés à étudier et inventorier le potentiel en sites aquacoles (bassins à terre en vue d'élevage de crevettes tropicales) des côtes Ouest et Nord de la Nouvelle Calédonie. Après une présentation du problème posé, on explicite la forme des produits cartographiques d'inventaire retenus. On expose les résultats globaux du projet exprimés en termes de surfaces naturelles propices à un aménagement, et on hiérarchise des classes de priorité permettant de jeter les bases d'un plan d'aménagement aquacole global du Territoire. Plus de 6 000 hectares de terrains côtiers potentiellement aménageables ont été mis en évidence et cartographiés, dont environ le quart (1 290 hectares) facilement aménageables et situés dans la partie centre Ouest et Nord de la Nouvelle Calédonie. On évalue l'économie réalisée en matière d'information géographique et on conclut sur l'intérêt de la mise à disposition rapide et efficace grâce à l'image spatiale d'outil d'aide à la planification de projet de développement économique également utilisable pour le contrôle et le suivi. (Résumé d'auteur

    LiDAR "hydrographique" : principes physiques et applications

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    L'application de levés laser aéroportés de type « range finder » sur des surfaces imergées, marines ou continentales s'effectue suivant une technique LiDAR, appelée hydrographique ou bathymétrique. Cette technique est mobilisée essentiellement dans le cadre de levés bathymétriques des zones littorales et quequefois dans le cadre de levés bathymétriques et topographiques d'eaux continentales: lacs et rivières. Plus rarement, cette technique est utilisée pour caractériser le fonds marin (reflectance du laser par le fond), la surface de l'eau (caractérisation des vagues, altimétrie du niveau de l'eau) ou la colonne d'eau (algues, composition de la colonne d'eau). Cette présentation est réalisée en deux temps: dans un premier temps on présente les principes physiques de la mesure du LiDAR hydrographique, notamment ses différences par rapport au LiDAR « terrestre » puis les ordres de grandeurs sur le précisions, résolutions et limites de ces mesures pour les 4 systèmes existants. On présente ensuite une application de cette technique dans le cadre de campagnes bathymétriques de zones littorales bretonnes réalisées pour l'IFREMER en 2005 et 2006. On dicutera alors des conidérations pratiques pour la planification de ce type de levé. La technique LiDAR hydrographique s'appuie sur un laser vert (532 nm), longueur d'onde qui a le plus grand pouvoir de pénetration de l'eau dans le visible. Dans le cadre de levés bathymétriques, le principe des mesures des hauteurs d'eau (bathymétrie) est le suivant : le pulse laser vert émis depuis le vecteur (avion, hélicoptère) est pour partie réfléchi par la surface de l'eau et, lorsqu'il n'est pas complétement diffusé par la colonne d'eau, réléchi par le fond de l'eau. La mesure de hauteur d'eau est alors déduite du temps entre les deux echos marquant la surface et le fond de l'eau sur le train d'ondes retour du pulse laser. Ici, la particularité est de tenir compte pour les calculs de distances via les durées séparant les échos laser des différences de vitesses de la lumière dans l'air et dans l'eau. Géométriquement, les phénomènes de réfraction à l'interface air/eau interviennent. De ce fait, le positionnement dans le signal de la surface de l'eau est une composante importante de la qualité des estimations topographiques (surface de l'eau, côte du fonds) ou bathymétriqe (hauteur d'eau). Pour améliorer ces estimations et la positionnement altimétrique de la surface de l'eau, un laser PIR (1064 nm) est généralement couplé au laser vert, pulse laser réfléchi par la surface. Sur un des quatre systèmes LiDAR hydrographiques à ce jour, on utilise également pour positionner la surface de l'eau le rayonnement de Raman, phénomène crée par le laser vert à l'interface air-eau. Cette technique présente cependant des limites fortes: elle n'est pas applicable à des eaux chargées (profondeur maximale atteinte de l'ordre de 3 fois la distance de Secchi), des eaux profondes (supérieure à 60 m) et a contrario ne peut permettre de détecter des eaux peu profondes (inférieures à 50 cm). Elles permettent de réaliser des mesures bathymétriques à des densités importantes (2 * 2m) et relativement précises (0.25 m). En 2005 et 2006, trois sites littoraux bretons ont été levés pour l'IFREMER suivant cette technique par le capteur européen HawkeyeII. Ce sont respectivement, les Abers, les Glénans et le Trègor. Ils présentent chacun des caractéristiques géomorphologiques, hydrodynamiques et biologiques différentes les unes des autres, telles que le rapport entre la terre et l'estran, la nature du fond, la turbidité, la présence des algues. Ces caractéristiques et les conditions météorologiques (brouillard, vent...) influent généralement sur la stratégie de levé, le plan de vol et bien sûr, sur la qualité des données. En conclusion, l'application de cette technique LiDAR pose plusieurs questions méthodologiques: 1- Pour le transfert de cette technique en rivière, quelle est la limite de mesure, suivant le système, des hauteurs d'eau très faibles ? Quelles sont les influences sur cette limite des caractéristiques du milieu, notamment pour les rivières, la nature de la surface de l'eau (pente, rugosité) ? Quelles sont pour les eaux littorales, les influences de la composition de la colonne d'eau, des algues, de la nature du fond ? Enfin, pour les applications littorales comme en rivière, quelles sont les influences surla qualité des mesures des conditions d'acquisition des levés (humidité, vent) et la complémentarité aux autre techniques de levés topographiques et/ou bathymétriques

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