15 research outputs found

    Mineralogical Application of the Ion Microscope Elementary Analysis

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    The ion microscope is an instrument which allows the study in-situ of polished solid surfaces by means of analysis of secondary ions emitted by the sample, this one being bombarded with neutral or ionized particles. This instrument is a mass spectrometer and an ion microscope. It is then possible to study elements and their isotopes (mass spectra, counting, isotope abundances...) and to know the distribution of these elements in an area of around one hundred micrometers. Molecular and multicharged ions can be superimposed to elementary ions. Two methods can be used to suppress them but, in any case, it results in a lowering of secondary current. In spite of this disadvantage, the detection limit is at a level of a few ppm for cation elements. Matrix effect is studied in silicates where the influence of each element on the ionization probabilities has been determined. We propose a method for quantitative elementary analysis in silicates taking the matrix effect into account

    TECHNIQUES D'ANALYSE QUANTITATIVE PAR ÉMISSION IONIQUE SECONDAIRE : APPLICATION AUX MESURES ET AUX MICROGRAPHIES IONIQUES EN PÉTROLOGIE

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    Nous présentons une méthode d'analyse quantitative par émission ionique secondaire qui est nouvelle, précise et peut s'appliquer à tous les silicates. Pour les mesures, cette méthode est utilisée directement mais, jointe à une analyse par microdensitométrie, elle s'applique aussi aux micrographies ioniques sur lesquelles on étudie la distribution des éléments majeurs ou en faible concentration.A new and reliable method of quantitative analysis using secondary ion emission is presented which is applicable to all silicate minerals. This method is directly applied to spot sample analysis, or to the coding of ion images with the help of microdensitometry techniques for the study of major or trace element distribution

    Matrix effects in secondary ion emission : quantitative analysis of silicates

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    In this paper we establish that the yield of secondary positive monoatomic ions of silicate targets is a linear function of the cationic concentrations. This law can be applied for quantitative analysis of silicates, minerals and glasses, in situations which were practically out of scope until now : small phases (down to 0.5 μm) or trace concentrations (5 x 10-3 to 10-6). It represents a linear approximation which can be qualitatively understood by a bond breaking model.On montre que le rendement en ions secondaires positifs monoatomiques des minéraux silicatés est une fonction linéaire des concentrations cationiques. Cette loi ouvre la possibilité d'analyser quantitativement les minéraux et les verres silicatés dans des domaines pratiquement inaccessibles jusqu'ici : phases de petites dimensions (jusqu'à 0,5 μm) ou faibles concentrations (5 x 10-3 à 10 -6). Un modèle de rupture de liaison permet de comprendre l'origine de cette loi

    Isotopic effect on the ionization probabilities in secondary ion emission

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    It is shown that there are slight differences in the ionization yields of isotopes. The correlations observed between the shape of the energy distribution curves, the magnitude of ionization yields and the elemental composition of the sample are explained within the framework of a bond breaking model.On montre que les rendements d'ionisation sont légèrement différents d'un isotope à l'autre. Les corrélations observées entre la forme des distributions énergétiques, la valeur des rendements d'ionisation et la composition élémentaire de la cible sont expliquées à l'aide d'un modèle de rupture de liaison

    Facteurs associés au maintien dans le poste de travail après un épisode d’absence : résultats de l’étude MAPOST des médecins du travail du groupe La Poste

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    International audienceObjective. Identify job factors associated to return to work, especially age, among postal workers after a work absence due to health reasons. Methods. In 2015, 32 La Poste occupational physicians conducted a cross-sectional descriptive epidemiological study within 477 postmen over 49 years and 339 of postmen aged between 40 and 49 years old. The main variable of interest is how to stay in work after a sickness absence for more than 30 days. The explanatory variables are personal, medical and occupational factors. Perceived health, perceived physical constraints and relational factors were scored. Multivariate statistical analysis was done by multinomial logistic regression. Results. At the time of medical visit, half of the workers can return to work on their job, 40% can return to work with a reorganized job, 6% reclassified to another job and 4% cannot return to work. The mean total duration of the absence episode is 120 days. In multivariate analysis, the variables significantly associated with a higher risk of having a job arrangement are: age; a cause of absence workrelated; a period of sick leave of more than 90 days; a disability situation; a perceived poor health. Variables significantly associated with a higher risk of reclassification are: more than 90 days of sick leave; a cause of absence work-related; a disability situation; a poor psychosocial score; a perceived poor health. Conclusion. It is possible to identify the predictive factors of return to work after a sickness absence through simple questions and therefore to find solutions to favor the return to work on the medical as well as on the professional levels. (C) 2018 Elsevier Masson SAS. All rights reserved.Objectif. Identifier les facteurs de maintien dans l’emploi, notamment en lien avec l’âge, chez les postiers reprenant le travail après un arrêt de travail pour raison de santé.Méthodes. En 2015, 32 médecins du travail du groupe La Poste ont réalisé une étude épidémiologique descriptive transversale chez 477 de postiers de plus de 49 ans et 339 postiers âgés de 40 à 49 ans ayant subi un arrêt de travail pour raison de santé. La variable principale d’intérêt est les modalités du maintien dans le poste de travail après un arrêt de plus de 30 jours. Les variables explicatives sont les facteurs personnels, médicaux et professionnels. La santé perçue, les contraintes physiques ressenties et les facteurs relationnels ont fait l’objet de scores. L’analyse statistique multivariée a été faite par une régression logistique multinomiale.Résultats. Au moment de la visite de reprise du travail, la moitié des agents peuvent reprendre le travail sur leur poste, 40 % peuvent reprendre leur poste avec un aménagement, 6 % en étant reclassés sur un autre poste et 4 % ne peuvent pas reprendre le travail. En moyenne, la durée totale du dernier arrêt de travail est de 120 jours. En analyse multivariée, les variables significativement associées à un risque plus élevé de nécessiter un aménagement de poste sont : l’âge ; une cause d’arrêt dû au travail ; une durée d’arrêt de travail supérieure à 90 jours ; le fait d’être en situation de handicap ; avoir une santé perçue dégradée. Les variables significativement associées à un risque plus élevé de nécessité de reclassement sont : une durée d’arrêt de travail supérieure à 90 jours ; une cause d’arrêt dû au travail ; le fait d’être en situation de handicap ; avoir un mauvais score psychosocial ; avoir une santé perçue dégradée.Conclusion. Il est possible d’identifier les facteurs prédictifs d’un aménagement de poste ou d’un reclassement à partir de questions simples ce qui permet de réfléchir à des solutions pour favoriser le maintien dans leur poste de travail sur le plan médical comme sur le plan professionnel

    Emergency protocol in occupational or isolated setting. Generalities and update

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    National audienceLe protocole d’urgence doit être adapté au contexte. Il doit être simple, court, exhaustif et facile à mémoriser. Il résume la conduite à tenir en cas d’urgence.Le protocole d’urgence est établi par le médecin du travail et validé par l’équipe notamment l’infirmier(ère) en santé au travail sous la responsabilité du médecin du travail. Il sera régulièrement actualisé en fonction de nouvelles connaissances et/ou de la situation locale.Deux types de protocoles sont à établir en fonction de la présence ou de l’absence de professionnel de Santé.Le protocole de gestion d’une urgence médicale en l’absence de professionnel de Santé est une procédure d’appel aux secouristes disponibles. L’objectif étant de déclencher les services d’urgence médicale en agissant de façon rationnelle.Le protocole d’urgences destiné au professionnel de Santé est basé sur le symptôme. Il permet de hiérarchiser l’urgence. Il se doit d’être ergonomique, adapté, traçable et (ré)évaluable.Cette mise au point est une mise à jour après la période COVID-19 à partir des généralités de l’ouvrage « Mémento et Protocoles » [1] et de l’article « six principes des protocoles de prise en charge des urgences en milieu de travail » [2]. L’objectif est de proposer un récapitulatif des principes permettant d’élaborer et d’appliquer un protocole pour l’équipe de santé au travail, en l’ouvrant à toute situation où le professionnel de santé en milieu isolé doit gérer les premières urgences avec peu de moyens. La principale différence entre le milieu de travail en France et un milieu isolé est le recours à la structure qui poursuivra la prise en charge, qui ne sera pas le SAMU mais une structure d’urgence et/ou d’évacuation.Après une brève introduction, nous rappellerons les bases du raisonnement de gestion des urgences en milieu de travail ou isolé, afin de poser les bases des protocoles dans ce cadre
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