9 research outputs found

    Esophageal cancer in the elderly: an analysis of the factors associated with treatment decisions and outcomes

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>Only limited data has been reported so far regarding oesophageal cancer (EC) in elderly patients. The aim of the study is to identify the baseline parameters that influenced therapeutic decision.</p> <p>Methods</p> <p>All consecutive patients 70 years or older being treated for EC were retrospectively analyzed. Patients without visceral metastasis were divided into two groups: treatment with curative intent (chemoradiotherapy, surgery, radiotherapy, mucosectomy or photodynamic therapy) or best supportive care (BSC). Patients with metastasis were divided into two groups: palliative treatment (chemotherapy, chemoradiotherapy or radiotherapy) or BSC.</p> <p>Results</p> <p>Two hundred and eighty-two patients were studied. Mean age was 76.5 ± 5.5 years and 22.4% of patients had visceral metastasis. In patients without visceral metastasis (n = 220) the majority had treatment with curative intent (n = 151) whereas in patients with metastasis (n = 62) the majority had BSC (n = 32). Severe adverse events (≄ grade 3) were observed in only 17% of the patients. Patients without specific carcinologic treatment were older, had more weight loss, worse WHO performance status and Charlson score in multivariate analysis.</p> <p>Discussion</p> <p>Our results suggest that elderly patients with an EC could benefit from cancer treatment without major toxicities. Weight loss, WHO performance status and the Charlson score could be used to select the appropriate treatment in an elderly patient.</p

    État des lieux de la prise en charge de l'interruption volontaire de grossesse à Mayotte

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    L'interruption volontaire de grossesse est une pratique courante dans les pays développés. Elle participe au contrÎle des naissances et protÚge la bonne santé des femmes, quand elle est légalisée. Mayotte jouit d'une place particuliÚre au sein de la République Française du fait de sa nouvelle départementalisation. Comment la mission de service publique garantissant l'accÚs à l'avortement est-elle assurée à Mayotte ? Nous cherchons à rendre compte de l'évolution et de l'état de la prise en charge de l'avortement à Mayotte, par rapport à son contexte global. Au sein de l'Unité Fonctionnelle d'Orthogénie, depuis le premier octobre 1993 jusqu'au trente et un décembre 2011, nous avons observé différents facteurs à Mayotte. En effet, le taux d'avortement a décuplé en prÚs de vingt ans. L'utilisation de la méthode médicamenteuse a été multipliée par 20 aprÚs son introduction sur l'ßle en 2002. La majorité des femmes avortent entre 18 et 25 ans, soit 44% d'entre elles entre 2005 et 2009. Les avortements se font en moyenne au terme de 10 semaines d'aménorrhée et les interruption volontaire de grossesse tardives représentent 5% des avortements en 2007 et 2009. La part des femmes qui utilise l'avortement pour la premiÚre fois augmente plus que celle qui récidive en 2005 et 2007. Le pourcentage d'avortement moyen est plus élevé, à 10% en août, septembre et octobre entre 2003 et 2009. La situation globale de Mayotte, qui est isolée au milieu de la pauvreté environnante, rend difficile le maintien d'un accÚs à l'interruption volontaire de grossesse avec une qualité optimale. L'évolution favorable des indicateurs de santé montre un travail efficace. L'évolution de l'activité au sein de l'Unité Fonctionnelle d'Orthogénie montre une bonne adaptation à la demande croissante, aidée par le secteur médical libéral, malgré la pénurie médicale et l'afflux migratoire qui influence la gestion du systÚme de soins mahorais. Une nouvelle stratégie au niveau de l'organisation des soins est à prévoir pour poursuivre l'effort accompli. Elle implique une plus grande intégration et coopération de Mayotte, et donc de la France, dans la région de l'Océan Indien

    État des lieux de la prise en charge de l'interruption volontaire de grossesse à Mayotte

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    L'interruption volontaire de grossesse est une pratique courante dans les pays développés. Elle participe au contrÎle des naissances et protÚge la bonne santé des femmes, quand elle est légalisée. Mayotte jouit d'une place particuliÚre au sein de la République Française du fait de sa nouvelle départementalisation. Comment la mission de service publique garantissant l'accÚs à l'avortement est-elle assurée à Mayotte ? Nous cherchons à rendre compte de l'évolution et de l'état de la prise en charge de l'avortement à Mayotte, par rapport à son contexte global. Au sein de l'Unité Fonctionnelle d'Orthogénie, depuis le premier octobre 1993 jusqu'au trente et un décembre 2011, nous avons observé différents facteurs à Mayotte. En effet, le taux d'avortement a décuplé en prÚs de vingt ans. L'utilisation de la méthode médicamenteuse a été multipliée par 20 aprÚs son introduction sur l'ßle en 2002. La majorité des femmes avortent entre 18 et 25 ans, soit 44% d'entre elles entre 2005 et 2009. Les avortements se font en moyenne au terme de 10 semaines d'aménorrhée et les interruption volontaire de grossesse tardives représentent 5% des avortements en 2007 et 2009. La part des femmes qui utilise l'avortement pour la premiÚre fois augmente plus que celle qui récidive en 2005 et 2007. Le pourcentage d'avortement moyen est plus élevé, à 10% en août, septembre et octobre entre 2003 et 2009. La situation globale de Mayotte, qui est isolée au milieu de la pauvreté environnante, rend difficile le maintien d'un accÚs à l'interruption volontaire de grossesse avec une qualité optimale. L'évolution favorable des indicateurs de santé montre un travail efficace. L'évolution de l'activité au sein de l'Unité Fonctionnelle d'Orthogénie montre une bonne adaptation à la demande croissante, aidée par le secteur médical libéral, malgré la pénurie médicale et l'afflux migratoire qui influence la gestion du systÚme de soins mahorais. Une nouvelle stratégie au niveau de l'organisation des soins est à prévoir pour poursuivre l'effort accompli. Elle implique une plus grande intégration et coopération de Mayotte, et donc de la France, dans la région de l'Océan Indien.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Apport de l’IRM dans la prise en charge des compressions mĂ©dullaires lentes non traumatiques

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    Les compressions mĂ©dullaires lentes sont dues au dĂ©veloppement dans le canal mĂ©dullaire d’une lĂ©sion expansive. C’est une pathologie trĂšs frĂ©quente dont le diagnostic est essentiellement clinique. L’imagerie par rĂ©sonnance magnĂ©tique occupe une place incontournable dans le diagnostic de localisation et la recherche Ă©tiologique. En Europe l’étiologie tumorale est prĂ©pondĂ©rante. Le but de cette Ă©tude Ă©tait de dĂ©crire les aspects IRM des compressions mĂ©dullaires lentes et de dĂ©terminer le profil Ă©tiologique. Il s’agit d’une Ă©tude rĂ©trospective portant sur 97 observations colligĂ©es au service de radiologie du CHUN de Fann sur une pĂ©riode de 30 mois (du 08/03/10 au 29/09/12). On Ă©tĂ© inclus dans l’étude, tous les patients adressĂ©s pour un tableau de compression mĂ©dullaire lente survenu dans un contexte non traumatique. L’ñge moyen des patients Ă©tait de 42,6 ans avec des extrĂȘmes compris entre 04 mois et 85 ans. Nous avons Ă©tudiĂ© la topographie des lĂ©sions (Ă©tage rachidien, compartiments canalaires) leur rehaussement et les critĂšres d’orientation Ă©tiologique. Le protocole d’examen permettait la rĂ©alisation de sĂ©quence pondĂ©rĂ©es T1 sans avec injection de gado, T2, STIR et T2 DRIVE centrĂ©es sur les niveaux lĂ©sionnels ou les zones suspectes. L’IRM a permis de prĂ©ciser le siĂšge exact et l’étendue des lĂ©sions. L’atteinte du rachis dorsal reprĂ©sentait 42% des cas, suivi du rachis cervical avec 32% des cas. Les atteintes lombo-sacrĂ©es et pluri-Ă©tagĂ©es reprĂ©sentaient respectivement 18% et 08% des cas. Les lĂ©sions extradurales reprĂ©sentaient 87% des cas, suivi des lĂ©sions intradurales extramĂ©dullaires avec 08% des cas et des lĂ©sions intramĂ©dullaires dans 05% des cas. La particularitĂ© du profil Ă©tiologique de notre Ă©tude est la prĂ©dominance des Ă©pidurites infectieuses et la frĂ©quence relative des Ă©pidurites mĂ©tastatiques comparĂ©e aux sĂ©ries occidentales. L’IRM vertĂ©bro-mĂ©dullaire occupe une place capitale dans le diagnostic positif, topographique et Ă©tiologique des compressions mĂ©dullaires.Pan African Medical Journal 2016; 2

    [Diagnosis and treatment of soft-tissue tumors]

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    International audienceThe diagnostic and therapeutic management of patients with soft-tissue tumors would be similar to the approach used for bone tumors if it were not for one crucial factor: the absolute necessity to recognize a sarcoma. The predominant features are the size of the tumor and its superficial or deep localization. If the tumor is small and superficial, biopsy can be associated with immediate resection without risk of dissemination to the deep tissues: this is the biopsy-resection approach. If the tumor is deep or superficial but large sized, search for locoregional spread with MRI is necessary before undertaking any surgical procedure. MRI can help guide the biopsy and plan resection if the tumor is a sarcoma. A first biopsy is necessary to establish the histological diagnosis and elaborate the therapeutic strategy. Samples should be sent immediately to the pathology lab which should examine sterile fresh tissue. Experience has demonstrated that proper rules for diagnosis and treatment are not necessarily applied initially in approximately one-fourth of all subjects with a malignant soft-tissue tumor. Besides the medical problems caused by this situation, the patient loses a chance for cure. When the tumor is a sarcoma, surgery is the basis of treatment. Complementary radiation therapy may be necessary, particularly for high-grade tumors or if the surgical margin was insufficient. Systemic or locoregional chemotherapy can also be used for high-grade or non-resectable tumors

    Prognostic Impact of Pretherapeutic FDG-PET in Localized Anal Cancer

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    International audienceDue to the heterogeneity of tumour mass segmentation methods and lack of consensus, our study evaluated the prognostic value of pretherapeutic positron emission tomography with fluorodeoxyglucose (FDG-PET) metabolic parameters using different segmentation methods in patients with localized anal squamous cell carcinoma (SCC). Eighty-one patients with FDG-PET before radiochemotherapy were retrospectively analyzed. Semiquantitative data were measured with three fixed thresholds (35%, 41% and 50% of Maximum Standardized Uptake Value (SUVmax)) and four segmentation methods based on iterative approaches (Black, Adaptive, Nestle and Fitting). Metabolic volumes of primary anal tumour (P-MTV) and total tumour load (T-MTV: P-MTV+ lymph node MTV) were calculated. The primary endpoint was event-free survival (EFS). Seven multivariate models were created to compare FDG-PET tumour volumes prognostic impact. For all segmentation thresholds, PET metabolic volume parameters were independent prognostic factor and T-MTV variable was consistently better associated with EFS than P-MTV. Patient's sex was an independent variable and significantly correlated with EFS. With fixed threshold segmentation methods, 35% of SUVmax threshold seemed better correlated with EFS and the best cutoff for discrimination between a low and high risk of event occurrence was 40 cm 3. Determination of T-MTV by FDG-PET using fixed threshold segmentation is useful for predicting EFS for primary anal SCC. If these data are confirmed in larger studies, FDG-PET could contribute to individualized patient therapies

    Brain radiotherapy in patients treated for a newly diagnosed primary central nervous system lymphoma: professional practice evaluation in 19 French centers

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    International audienceIntroduction: The objective of this study was a multicentric evaluation of professional practices, analyzing the irradiation technique itself and its impact on survival and recurrence sites, in primary central nervous system lymphomas (PCNSLs).Methods: We retrospectively analyzed the technical and clinical records of 79 PCNSL patients included in the database of the national expert network for oculocerebral lymphoma ('LOC') who were treated with brain radiotherapy as first-line treatment for newly diagnosed primary central nervous system lymphoma between 2011 and 2018.Results: The number of patients treated with brain radiotherapy gradually decreased over time. The heterogeneity of radiotherapy prescriptions was significant, and 55% of them did not comply with published recommendations in terms of irradiation dose and/or volume. The proportion of complete responders to induction chemotherapy treated with reduced-dose radiotherapy increased over time. Partial brain radiotherapy was associated with significantly lower overall survival in univariate analysis. In partial responders to induction chemotherapy, increasing the total dose to the brain >30 Gy and adding a boost to the WBRT induced a trend toward improved progression-free and overall survival. Five recurrences (13%) occurred exclusively in the eyes, all in patients whose eyes had been excluded from the irradiation target volume and including 2 patients without ocular involvement at diagnosis.Conclusion: The visibility of recommendations for prescribing brain radiotherapy for the treatment of newly diagnosed primary central nervous system lymphoma needs to be improved to harmonize practices and improve their quality. We propose an update of the recommendations
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