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    Gestion des agents antiplaquettaires en cas de procédure invasive non programmée ou d’hémorragie. Propositions du Groupe d’intérêt en hémostase périopératoire (GIHP) et du Groupe français d’études sur l’hémostase et la thrombose (GFHT) en collaboration avec la Société française d’anesthésie et de réanimation (SFAR)

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    Le Groupe d’intérêt en hémostase périopératoire (GIHP) et le Groupe français d’études sur l’hémostase et la thrombose (GFHT), en collaboration avec la Société française d’anesthésie et de réanimation (SFAR) ont fait des propositions de gestion des agents antiplaquettaires (AAP) pour une procédure invasive programmée. Ces propositions ont été discutées et validées par vote ; toutes sauf une ont fait l’objet d’un accord fort. La gestion des AAP dépend de leur indication et de la procédure considérée. Le risque hémorragique lié à la procédure invasive peut être divisé en bas, intermédiaire ou élevé, selon la possibilité ou non de réaliser la procédure sous traitement (sous respectivement bithérapie antiplaquettaire, aspirine en monothérapie ou aucun AAP). Si une interruption des AAP est indiquée avant la procédure, une dernière prise d’aspirine, clopidogrel, ticagrélor et prasugrel 3, 5, 5 et 7 jours avant la procédure est proposée. Le risque thrombotique associé à l’interruption des AAP doit être évalué en fonction de l’indication des AAP. Il est plus élevé chez les patients traités par bithérapie pour un stent coronaire que chez ceux traités par monothérapie pour une prévention cardiovasculaire, un antécédent d’accident vasculaire cérébral ischémique ou une artériopathie oblitérante des membres inférieurs. Ces propositions concernent aussi le rôle potentiel des tests fonctionnels plaquettaires, la gestion des AAP pour l’anesthésie locorégionale, centrale et périphérique, et pour la chirurgie cardiaque coronaire

    Do acquirers manage earnings prior to a share for share bid?

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    Earnings management by acquirers ahead of share for share bids may affect whether a bid succeeds, and hence which management team controls the target's assets, as well as the distribution of gains between target and acquirer shareholders. This paper tests for such earnings management for the UK, the world's second largest takeover market, in the period 1997-2001 when M&A reached record levels and share for share deals came to account for the majority of expenditure. Using a range of approaches originating in Jones' model, the paper finds evidence consistent with earnings management ahead of share-financed bids
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