14 research outputs found

    Des chiots et des nourrissons à Cantilia

    No full text
    International audienc

    Chasse et élevage au Premier âge du Fer dans le nord-est de la France

    No full text
    International audienc

    Les restes animaux dans les habitats hallstattiens

    No full text

    Chasse et élevage au premier âge du Fer dans le nord-est de la France (800-450 av. J.-C.)

    Get PDF
    National audienc

    Sépultures de chevaux devant Gergovie: Archéozoologie des rituels gaulois.

    No full text
    International audienceHuit hommes et huit chevaux inhumés, tous installés dans des positions similaires, allongés sur le flanc droit, les défunts reliés par le bras gauche tendu sur le visage. Des fouilles archéologiques mettent au jour à l’automne 2002 une sépulture multiple sur le site de Gondole, l’un des trois plus importants oppida d’Auvergne. Ces recherches révèlent alors une pratique d’inhumation aussi spectaculaire qu’inédite.Cinq autres fosses sont découvertes peu après à proximité, au pied de Gergovie, chacune exclusivement comblée de squelettes de chevaux déposés avec soin, selon des agencements complexes. L’analyse de ces tombes équines montre rapidement de nombreux points communs avec la sépulture de Gondole, et amène les chercheurs à réfléchir à l’hypothèse d’une seule et même pratique rituelle, consistant à inhumer des chevaux par dizaines, au cœur de la cité des Arvernes et sur le lieu même de la bataille de Gergovie.Quelles interprétations peut-on tirer de la disposition des squelettes équins ? À quelles fins étaient ensevelis ces chevaux ? Quels sens donner à ces pratiques d’inhumation ? L’examen des fosses et des squelettes exhumés retracé dans cet ouvrage vous livre les plus récentes hypothèses émises quant à ces énigmatiques pratiques, témoignant de la complexité des rituels perpétrés en Gaule entre la fin du second âge du Fer et le début de la période romaine

    Villards‐d’Héria (39) « Champ des Tras » : sondage entre le sanctuaire du Pont des Arches et les hospitalia. Rapport d’opération de sondage, deuxième année de triennale du PCR Villards‐d’Héria ‐ 2021

    No full text
    La première campagne de sondage sur le site du Champ des Tras, a concerné une fenêtre de 88 m² seulement, entre le sanctuaire gallo-romain de Villards-d’Héria et les « hospitalia », des bâtiments annexes plus au nord fouillés entre 1969 et 1973 par J.-L. Odouze. Elle nous a révélé la présence de deux bâtiments maçonnés dont l’organisation et l’extension avaient pu être déterminées par des campagnes préalables de prospections géophysiques. Le premier édifice n’a été repéré que par un tronçon de mur mais il semble former un grand bâtiment rectangulaire s’étalant vers l’ouest. Sur son flanc oriental, il apparaît limité par une série de colonnes disposées en enfilade sur de gros blocs de calcaire. Le second bâtiment, de plus petitetaille, a pu être exploré de façon plus complète. De forme quadrangulaire, les quatre murs en grande partie récupérés délimitent une simple pièce d’à peine 10 m². Son plan et son emprise spatiale ne sont pas sans rappeler les structures identifiées comme des chapelles à simple cella, aménagées dans certains sanctuaires gallo-romains ou aux bords des voies romaines. La découverte le long de l’un des murs du bâtiment d’un dépôt monétaire et de céramiques, daté a priori du milieu du IIe siècle, mais bouleversé par les récupérations postérieures, pourrait permettre de soutenir cette hypothèse. Si l’emprise limitée de la fouille n’a pas permis de saisir la fonction précise du bâtiment principal (publique ? domestique ? cultuel ?), cette opération apporte des informations précieuses concernant l’aménagement et l’occupation des espaces périphériques en relation avec le sanctuaire du Pont des Arches. Elle a aussi permis de préciser la chronologie d’édification et d’occupation des deux édifices dégagés, concentrées sur un temps relativement court aux alentours du milieu du Ier siècle après J.-C. et d’appréhender les modalités de leur abandon définitif, probablement dans la première moitié du IIe siècle pour le premier et un peu plus tardivement pour le second, au milieu du IIIe siècl

    Villards‐d’Héria (39) « Champ des Tras » : sondage entre le sanctuaire du Pont des Arches et les hospitalia. Rapport d’opération de sondage, deuxième année de triennale du PCR Villards‐d’Héria ‐ 2021

    No full text
    La première campagne de sondage sur le site du Champ des Tras, a concerné une fenêtre de 88 m² seulement, entre le sanctuaire gallo-romain de Villards-d’Héria et les « hospitalia », des bâtiments annexes plus au nord fouillés entre 1969 et 1973 par J.-L. Odouze. Elle nous a révélé la présence de deux bâtiments maçonnés dont l’organisation et l’extension avaient pu être déterminées par des campagnes préalables de prospections géophysiques. Le premier édifice n’a été repéré que par un tronçon de mur mais il semble former un grand bâtiment rectangulaire s’étalant vers l’ouest. Sur son flanc oriental, il apparaît limité par une série de colonnes disposées en enfilade sur de gros blocs de calcaire. Le second bâtiment, de plus petitetaille, a pu être exploré de façon plus complète. De forme quadrangulaire, les quatre murs en grande partie récupérés délimitent une simple pièce d’à peine 10 m². Son plan et son emprise spatiale ne sont pas sans rappeler les structures identifiées comme des chapelles à simple cella, aménagées dans certains sanctuaires gallo-romains ou aux bords des voies romaines. La découverte le long de l’un des murs du bâtiment d’un dépôt monétaire et de céramiques, daté a priori du milieu du IIe siècle, mais bouleversé par les récupérations postérieures, pourrait permettre de soutenir cette hypothèse. Si l’emprise limitée de la fouille n’a pas permis de saisir la fonction précise du bâtiment principal (publique ? domestique ? cultuel ?), cette opération apporte des informations précieuses concernant l’aménagement et l’occupation des espaces périphériques en relation avec le sanctuaire du Pont des Arches. Elle a aussi permis de préciser la chronologie d’édification et d’occupation des deux édifices dégagés, concentrées sur un temps relativement court aux alentours du milieu du Ier siècle après J.-C. et d’appréhender les modalités de leur abandon définitif, probablement dans la première moitié du IIe siècle pour le premier et un peu plus tardivement pour le second, au milieu du IIIe siècl
    corecore