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    Étude de l’équivalence des modalitĂ©s Internet et papier-crayon pour l’évaluation psychomĂ©trique de la personnalitĂ©

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    De nos jours, les conseillĂšres et conseillers d’orientation sont nombreux dans leurs diffĂ©rents secteurs d’emplois Ă  utiliser la psychomĂ©trie comme outil de travail complĂ©mentaire Ă  leurs activitĂ©s de counseling. L’arrivĂ©e d’Internet et de ses nombreuses possibilitĂ©s a considĂ©rablement modifiĂ© l’usage traditionnel de la psychomĂ©trie en format papier-crayon sous supervision d’un administrateur. En effet, Internet a Ă©tĂ© trĂšs rapidement accueilli comme modalitĂ© d’administration par les professionnels de l’orientation en raison de ses multiples avantages Ă©conomiques et pratiques. Des risques sur le plan de la qualitĂ© de la mesure sont cependant associĂ©s Ă  cette pratique, puisque la plupart des tests sont simplement transfĂ©rĂ©s de papier-crayon Ă  Internet, sans validation prĂ©alable. De plus, Internet permet une administration Ă  distance sans supervision ce qui contrevient Ă  plusieurs normes de pratique Ă©tablies afin d’assurer un usage valide des tests. Un nombre important d’études empiriques ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es afin de documenter l’impact d’un changement de modalitĂ© d’administration pour un test psychomĂ©trique. Leur recension a toutefois mis en lumiĂšre des rĂ©sultats contradictoires. De plus, plusieurs d’entre elles prĂ©sentaient des faiblesses mĂ©thodologiques suffisantes pour justifier la rĂ©alisation d’une nouvelle Ă©tude utilisant un devis Ă  mesures rĂ©pĂ©tĂ©es. Dans le cadre d’une recherche source sur l’évaluation de la personnalitĂ© Ă  l’ùre d’Internet, nous avons Ă©tudiĂ© l’équivalence des distributions de scores et de la fidĂ©litĂ©. L’Inventaire de personnalitĂ© Le Corff a Ă©tĂ© administrĂ© Ă  407 personnes Ă©tudiantes de l’UniversitĂ© de Sherbrooke en format Internet et papier-crayon en inversant l’ordre de passation pour la moitiĂ© de l’échantillon. Pour le premier objectif de recherche portant sur l’équivalence des distributions de scores, un test t pour Ă©chantillons appariĂ©s a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© afin de dĂ©tecter la prĂ©sence de diffĂ©rences significatives pour les cinq Ă©chelles de l’inventaire. Quatre Ă©chelles ont obtenu une diffĂ©rence significative, mais toutes ont eu une taille d’effet jugĂ©e « faible ». Les indices d’asymĂ©trie et d’aplatissement n’ont obtenu aucune diffĂ©rence significative. Le deuxiĂšme objectif de recherche sur la fidĂ©litĂ© a Ă©tĂ© complĂ©tĂ© Ă  l’aide du test de Feldt (1980) pour Ă©chantillons dĂ©pendants. Le calcul d’un score t pour chaque paire d’échelles a permis de dĂ©tecter empiriquement des diffĂ©rences significatives pour deux Ă©chelles avec un intervalle de confiance de 95%. Les rĂ©sultats ont permis de rĂ©pondre Ă  l’objectif gĂ©nĂ©ral de recherche sur la vĂ©rification de l’équivalence d’un test, suite Ă  un changement de modalitĂ© d’administration. La prĂ©sence de faibles diffĂ©rences significatives entre les distributions de scores soutient l’utilisation interchangeable des formats papier-crayon ou Internet d’un instrument mesurant la personnalitĂ©. Le devis Ă  mesures rĂ©pĂ©tĂ©es croisĂ© est une force du projet. En contrepartie, l’ñge et la composition de l’échantillon restreignent la gĂ©nĂ©ralisabilitĂ© des rĂ©sultats

    Optimisation du contrÎle glycémique des patients atteints de diabÚte de type 1 : traitement efficace des hypoglycémies, calcul des glucides et pancréas artificiel

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    L’optimisation du contrĂŽle glycĂ©mique est primordiale pour rĂ©duire le risque de complications associĂ©es au diabĂšte. Toutefois, une proportion importante des patients atteints de diabĂšte de type 1 (DT1) n’atteint pas les cibles d’hĂ©moglobine glyquĂ©e (HbA1c) et la frĂ©quence des hypoglycĂ©mies demeure Ă©levĂ©e. Nous pensons qu’une simplification du contrĂŽle glycĂ©mique prandial ainsi qu’un traitement efficace de l’hypoglycĂ©mie permettraient d’amĂ©liorer le contrĂŽle glycĂ©mique global. Nous avons montrĂ© qu’une majoritĂ© de patients se disent confiants relativement Ă  l’utilisation du calcul des glucides pour la dĂ©termination du bolus d’insuline prandial, mais un nombre Ă©levĂ© de difficultĂ©s spĂ©cifiques sont rapportĂ©es. De plus, les outils technologiques pour faciliter le calcul des glucides sont peu utilisĂ©s par les patients malgrĂ© une perception favorable. Le systĂšme en boucle-fermĂ©e de contrĂŽle de la glycĂ©mie communĂ©ment appelĂ© « pancrĂ©as artificiel (PA) » est une technologie par laquelle les taux d’infusion d’insuline par un systĂšme de perfusion sous-cutanĂ©e continue d'insuline (pompe Ă  insuline) sont modifiĂ©s pĂ©riodiquement selon les recommandations gĂ©nĂ©rĂ©es par un ordinateur (algorithme) et dĂ©coulant des lectures du systĂšme de surveillance en continu du glucose. Le PA amĂ©liore considĂ©rablement le contrĂŽle glycĂ©mique chez les patients atteints de DT1, mais le contrĂŽle glycĂ©mique prandial demeure un dĂ©fi important. Nous avons dĂ©veloppĂ© une stratĂ©gie simplifiĂ©e de bolus prandial combinĂ©e au PA. Avec cette stratĂ©gie, les patients choisissent une catĂ©gorie de repas basĂ©e sur une Ă©valuation semi-quantitative du contenu en glucides (ex. repas rĂ©gulier = 30 Ă  60 g de glucides). Dans des conditions contrĂŽlĂ©es avec un PA Ă  double-hormone (insuline et glucagon), cette stratĂ©gie s’est avĂ©rĂ©e efficace pour le contrĂŽle glycĂ©mique postprandial, sauf dans le cas des repas Ă  teneur trĂšs Ă©levĂ©e en glucides (> 90 g). AprĂšs avoir ajoutĂ© une catĂ©gorie de repas, nous avons testĂ© la stratĂ©gie simplifiĂ©e dans des conditions non contrĂŽlĂ©es. Le contrĂŽle glycĂ©mique avec la stratĂ©gie simplifiĂ©e Ă©tait similaire Ă  celui obtenu avec le calcul des glucides classique, avec toutefois une frĂ©quence Ă©levĂ©e d’hypoglycĂ©mies, ce qui a menĂ© Ă  des modifications de l’algorithme. Nous avons finalement dĂ©montrĂ© la sĂ©curitĂ© d’une telle approche simplifiĂ©e de bolus prandial dans un contexte de catĂ©gorisation erronĂ©e du repas. Nous avons Ă©galement observĂ© une faible adhĂ©sion aux recommandations pour le traitement de l’hypoglycĂ©mie lĂ©gĂšre Ă  modĂ©rĂ©e. Les patients atteints de DT1 consomment en moyenne le double de glucides pour le traitement de l’hypoglycĂ©mie comparativement Ă  la recommandation actuelle. D’un autre cĂŽtĂ©, nous avons dĂ©montrĂ© chez des patients avec DT1 traitĂ©s par pompe Ă  insuline que 16 Ă  21 g de glucides, tel que recommandĂ©, Ă©tait insuffisant pour traiter une majoritĂ© des Ă©pisodes d’hypoglycĂ©mie dans un dĂ©lai de 15 minutes. En rĂ©sumĂ©, les patients rapportent plusieurs difficultĂ©s associĂ©es au calcul des glucides et le PA reprĂ©sente une thĂ©rapie prometteuse pour amoindrir ce fardeau. Une stratĂ©gie de bolus prandial basĂ©e sur une catĂ©gorisation du repas permettrait de simplifier le calcul des glucides tout en prĂ©servant un contrĂŽle glycĂ©mique adĂ©quat. Par ailleurs, une majoritĂ© de patients atteints de DT1 n’adhĂšre pas aux recommandations pour le traitement de l’hypoglycĂ©mie, ce qui pourrait en partie s’expliquer par le manque d’efficacitĂ© de cette recommandation chez un large sous-groupe de patients.Optimal glucose control is essential to reduce the risk of diabetes-related complications. Yet, a large proportion of patients with type 1 diabetes (T1D) struggles to achieve glycated hemoglobin (A1c) targets and a high frequency of hypoglycemia events is still observed. We believe simplification of meal glucose control as well as efficient treatment of hypoglycemia have the potential to improve glucose control in T1D. We showed that a large proportion of patients report being confident in applying carbohydrate counting for meal bolus calculation; yet, many specific difficulties were encountered by patients. The use of available technologies for carbohydrate counting by participants appears to be uncommon despite a favorable perception and interest towards such technology. Closed-loop automated insulin delivery systems, also called “artificial pancreas (AP)”, is a technology by which insulin infusion rates from the continuous subcutaneous insulin infusion (CSII; insulin pump) are regulated based on algorithm-generated recommendations relying on continuous glucose monitoring systems readings. The AP improves glucose control considerably in patients with T1D, but prandial glucose control remains a significant challenge. We have developed a simplified meal bolus strategy combined with the AP. In this strategy, patients choose a meal category based on a semi-quantitative carbohydrate assessment (e.g. a regular meal = 30 to 60 g of carbohydrates). In controlled conditions using a dual-hormone AP (insulin and glucagon), this strategy yielded adequate postprandial glucose control, except for very large carbohydrate content meals (> 90 g). After adding a meal category, this strategy was tested in uncontrolled conditions. Glucose control with the simplified strategy was comparable to what was seen with precise carbohydrate counting. However, a higher frequency of hypoglycemia events was observed which led to modifications to the algorithm. We finally showed the safety of this simplified strategy in the context of misclassification of the meals. We also found a low adherence to guidelines for self-treatment of mild to moderate hypoglycemia. The average treatment observed for hypoglycemia was twice the recommended quantity of carbohydrates. On the other hand, we showed that 16 to 21 grams of carbohydrates is insufficient to treat, in a 15-min delay, a significant proportion of hypoglycemia episodes in T1D patients treated with insulin pump. In conclusion, patients encounter several difficulties associated with carbohydrate counting and the AP represents a promising therapy to alleviate some of the carbohydrate counting burden. A simplified prandial bolus based on meal categorization could simplify carbohydrate counting while preserving adequate glycemic control. In addition, a large proportion of patients with T1D do not follow recommendations for treatment of hypoglycemia episodes, which could be partly explained by the lack of efficacy of this treatment in a large subgroup of patients

    Non-severe hypoglycemia in type 1 diabetes: a randomized crossover trial comparing two quantities of oral carbohydrates at different insulin-induced hypoglycemia ranges

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    AimsNon-severe hypoglycemia (NS-H) is challenging for people living with type 1 diabetes (PWT1D) and often results from relative iatrogenic hyper-insulinemia. Current guidelines recommend a one-size-fits-all approach of 15–20 g of simple carbohydrates (CHO) every 15 min regardless of the triggering conditions of the NS-H event. We aimed to test different amounts of CHO to treat insulin-induced NS-H at various glucose ranges.MethodsThis is a randomized, four-way, crossover study involving PWT1D, testing NS-H treatment outcomes with 16 g vs. 32 g CHO at two plasma glucose (PG) ranges: A: 3.0–3.5 mmol/L and B: <3.0 mmol/L. Across all study arms, participants consumed an additional 16 g of CHO if PG was still <3.0 mmol/L at 15 min and <4.0 mmol/L at 45 min post-initial treatment. Subcutaneous insulin was used in a fasting state to induce NS-H. Participants had frequent venous sampling of PG, insulin, and glucagon levels.ResultsParticipants (n = 32; 56% female participants) had a mean (SD) age of 46.1 (17.1) years, had HbA1c at 54.0 (6.8 mmol/mol) [7.1% (0.9%)], and had a diabetes duration of 27.5 (17.0) years; 56% were insulin pump users. We compared NS-H correction parameters between 16 g and 32 g of CHO for range A, 3.0–3.5 mmol/L (n = 32), and range B, <3.0 mmol/L (n = 29). Change in PG at 15 min for A: 0.1 (0.8) mmol/L vs. 0.6 (0.9) mmol/L, p = 0.02; and for B: 0.8 (0.9) mmol/L vs. 0.8 (1.0) mmol/L, p = 1.0. Percentage of participants with corrected episodes at 15 min: (A) 19% vs. 47%, p = 0.09; (B) 21% vs. 24%, p = 1.0. A second treatment was necessary in (A) 50% vs. 15% of participants, p = 0.001; (B) 45% vs. 34% of participants, p = 0.37. No statistically significant differences in insulin and glucagon parameters were observed.ConclusionsNS-H, in the context of hyper-insulinemia, is difficult to treat in PWT1D. Initial consumption of 32 g of CHO revealed some advantages at the 3.0–3.5 mmol/L range. This was not reproduced at lower PG ranges since participants needed additional CHO regardless of the amount of initial consumption.Clinical trial registrationClinicalTrials.gov, identifier NCT03489967

    Precision gestational diabetes treatment: a systematic review and meta-analyses

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    Genotype-stratified treatment for monogenic insulin resistance: a systematic review

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    CongrÚs de La Société américaine de nutrition

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    Prévention du diabÚte de type 2 chez les femmes avec un antécédent de diabÚte gestationnel : étude d'outils de dépistage et de mesures préventives

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    Tableau d’honneur de la FacultĂ© des Ă©tudes supĂ©rieures et postdoctorales, 2012-2013.Les femmes avec un antĂ©cĂ©dent de diabĂšte gestationnel (DbG) prĂ©sentent un risque accru de diabĂšte de type 2 (DbT2). Cependant, aprĂšs leur grossesse, une proportion importante de ces femmes n'adopte pas un mode de vie sain et leur suivi mĂ©dical est inadĂ©quat. L'objectif de ce mĂ©moire visait d'une part Ă  identifier un outil de dĂ©pistage postgrossesse efficace pour dĂ©tecter les anomalies du mĂ©tabolisme du glucose chez ces femmes et d'autre part Ă  qualifier leur mode de vie en pĂ©riode postgrossesse et la relation avec les complications mĂ©taboliques associĂ©es au DbT2. Les rĂ©sultats dĂ©montrent qu'en pĂ©riode postgrossesse, la combinaison de l'hĂ©moglobine A1C et de la circonfĂ©rence de la taille reprĂ©sente un test sensible pour dĂ©pister les anomalies du mĂ©tabolisme du glucose chez ces femmes. De plus, la majoritĂ© de ces femmes n'adopte pas les mesures prĂ©ventives recommandĂ©es et prĂ©sentent des profils anthropomĂ©triques et mĂ©taboliques altĂ©rĂ©s comparativement Ă  celles qui les adoptent

    Étude de l’équivalence des modalitĂ©s Internet et papier-crayon pour l’évaluation psychomĂ©trique de la personnalitĂ©

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    De nos jours, les conseillĂšres et conseillers d’orientation sont nombreux dans leurs diffĂ©rents secteurs d’emplois Ă  utiliser la psychomĂ©trie comme outil de travail complĂ©mentaire Ă  leurs activitĂ©s de counseling. L’arrivĂ©e d’Internet et de ses nombreuses possibilitĂ©s a considĂ©rablement modifiĂ© l’usage traditionnel de la psychomĂ©trie en format papier-crayon sous supervision d’un administrateur. En effet, Internet a Ă©tĂ© trĂšs rapidement accueilli comme modalitĂ© d’administration par les professionnels de l’orientation en raison de ses multiples avantages Ă©conomiques et pratiques. Des risques sur le plan de la qualitĂ© de la mesure sont cependant associĂ©s Ă  cette pratique, puisque la plupart des tests sont simplement transfĂ©rĂ©s de papier-crayon Ă  Internet, sans validation prĂ©alable. De plus, Internet permet une administration Ă  distance sans supervision ce qui contrevient Ă  plusieurs normes de pratique Ă©tablies afin d’assurer un usage valide des tests. Un nombre important d’études empiriques ont Ă©tĂ© rĂ©alisĂ©es afin de documenter l’impact d’un changement de modalitĂ© d’administration pour un test psychomĂ©trique. Leur recension a toutefois mis en lumiĂšre des rĂ©sultats contradictoires. De plus, plusieurs d’entre elles prĂ©sentaient des faiblesses mĂ©thodologiques suffisantes pour justifier la rĂ©alisation d’une nouvelle Ă©tude utilisant un devis Ă  mesures rĂ©pĂ©tĂ©es. Dans le cadre d’une recherche source sur l’évaluation de la personnalitĂ© Ă  l’ùre d’Internet, nous avons Ă©tudiĂ© l’équivalence des distributions de scores et de la fidĂ©litĂ©. L’Inventaire de personnalitĂ© Le Corff a Ă©tĂ© administrĂ© Ă  407 personnes Ă©tudiantes de l’UniversitĂ© de Sherbrooke en format Internet et papier-crayon en inversant l’ordre de passation pour la moitiĂ© de l’échantillon. Pour le premier objectif de recherche portant sur l’équivalence des distributions de scores, un test t pour Ă©chantillons appariĂ©s a Ă©tĂ© rĂ©alisĂ© afin de dĂ©tecter la prĂ©sence de diffĂ©rences significatives pour les cinq Ă©chelles de l’inventaire. Quatre Ă©chelles ont obtenu une diffĂ©rence significative, mais toutes ont eu une taille d’effet jugĂ©e « faible ». Les indices d’asymĂ©trie et d’aplatissement n’ont obtenu aucune diffĂ©rence significative. Le deuxiĂšme objectif de recherche sur la fidĂ©litĂ© a Ă©tĂ© complĂ©tĂ© Ă  l’aide du test de Feldt (1980) pour Ă©chantillons dĂ©pendants. Le calcul d’un score t pour chaque paire d’échelles a permis de dĂ©tecter empiriquement des diffĂ©rences significatives pour deux Ă©chelles avec un intervalle de confiance de 95%. Les rĂ©sultats ont permis de rĂ©pondre Ă  l’objectif gĂ©nĂ©ral de recherche sur la vĂ©rification de l’équivalence d’un test, suite Ă  un changement de modalitĂ© d’administration. La prĂ©sence de faibles diffĂ©rences significatives entre les distributions de scores soutient l’utilisation interchangeable des formats papier-crayon ou Internet d’un instrument mesurant la personnalitĂ©. Le devis Ă  mesures rĂ©pĂ©tĂ©es croisĂ© est une force du projet. En contrepartie, l’ñge et la composition de l’échantillon restreignent la gĂ©nĂ©ralisabilitĂ© des rĂ©sultats
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