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    Neka pitanja relativne praistorijske hronologije

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    L’ouvrage «Relative Chronology in O ld World Archeology» peut, par son im portance, être classé parm i les publications particulièrem ent précieuses, parues au cours des dernières années (1). Malgré l’existence de problèmes extrêm em ent compliqués dont la solution est recherchée par différents auteurs, on ne rem arque dans cet oeuvre que peu de divergeances de point de vue et d’inégalité dans le traitem ent de certaines questions, ce qui assurém ent est aussi une preuve de la justesse de nombre de solutions proposées. Notons toutefois: 1. L’inégalité du cadre chronologique compris dans les chapitres respectifs, rendant difficile la fixation de synchronismes dans les époques relativem ent récentes. 2. La diversité de point de vue au sujet de l’emploi d’objets en m atière non périssable comme éléments de chronologie relative. Bien qu’une prudence extrême soit assurément de rigeur en ces cas, il me semble que les objets de cette sorte doivent avoir une valeur chronologique, au cas où les données qu’il fournissent peuvent être contrôlées sur des découvertes en m atière plus périssable et d’un emploi plus bref. C’est ainsi que les parures de Troie II, A laça H üyük et Ur, me paraissent pouvoir livrer une date approxim ative, celle-ci pouvant être con[1]trôlée par d’autres observations chronologiques (céramique de K irbet Kerak à Alaça, correspondant au Bronze ancien III de Miss Goldman et à Amuq H-I, donc synchronique selon Mr. Braàdwood de l’époque d’Agade) (8—10). Une indi[1]cation de date plus précise à la base d’objets de cette sorte, telle la date que Miss K antor voudrait préciser à l’aide de la découverte de Tot me p araît diffici[1]lem ent admissible. 3. Les divergeance dans l’attribution chronologique de certaines formes ou certains groupes dans différents chapitres ne sont généralem ent qu’insignifiantes. Il est toutefois naturel que le lecteur trouvera dans un livre englobant un complexe si im portant de problèmes et de m atériaux, outre nom bre de solutions et de conceptions concordant avec ses points de vue personnels, d’autres où ses points de vue et les résultats acquis p ar ses propres recherches ne peuvent se rallier à ceux des auteurs. J’en citerai ici quelques exemples: 1. Les dates fournies p ar les sources historiques en Egypte et Mésopotamie, auraient pu, selon mon opinion, être employées dans l’ouvrage m algré les restric[1]tions faites à ce sujet dans le titre même du livre. Ceci surtout dans les cas où les données des sources historiques paraissent pouvoir être mises en accord avec les dates archéologiques (12, 13). 2. Bien que les problèm es de certaines régions, telles l’A natolie C entrale et O ccidentale, C hypre et ceux de Ras Sliam ra, aient été traités en relation avec ceux de la chronologie relative dans certains chapitres, le lecteur, particulièrem ent celui intéressé au x problèmes de la préhistoire balcano-anatolienne, aurait aimé les voir discutés dans des chapitres respectifs. Je me perm ets également quelques rem arques au sujet des problèm es traités dans certains chapitres à savoir: 3. Tout en m ’accordant en tout point avec Mr. W einberg au sujet de son opinion sur l’origine asiatique du néolithique grec, et en ap p récian t son oppinion sur les origines de la céramique de Dimiini, opinion rom pant avec les considérations usuelles à ce su jet mais que, m allm ereusem ent je ne puis non plus adm ettre ap rès mes recherches (17) je crois devoir rem arquer que la tentative de rattacher cer[1]taines phases du néolithique grec au x phases de la protohistoire mésopotamienne ne me semble pas au dessus de tout doute. Les éléments rattach an t entre eux les deux com plexes en question se tro u v en t presque exclusivem ent à la phase de Hassuna (18), les analogies mésopotamiennes d’époque postérieure (19, 20), pouvant, selon mon opinion s’expliquer p ar leur évolution à la base de la même source commune (Hassuna), qui, toutefois à l’époque où les éléments en question atteigni[1]rent l’Egée, avait probablement cessé de vivre. M éthodiquement ces divergeances chronologiques se laissent expliquer p ar le processus lent d’expansion culturelle, dû, selon toute vraisem blance au sem i-nom adism e des néolithiques prim itifs. Je rem arque de même que M. W einberg se base dans sa chronologie relative sur ses considérations antérieures à ce sujet (21), qui, surtout après les résultats des nou[1]velles fouilles en Thessailie (22) m e paraissent devoir être revues sur plusieurs points. La chronologie relative du cycladiqpxe ancien finem ent relevée p ar l’auteur, pose la question de la date de début du groupe de Pelos, surtout au cas, où comme je l’ai supposé récem m ent, on devrait s’atten d re ici a l’existence d’une phase du néolithique récent de ty p e balcano-anatolien (semblable à Larissa[1]Rakham ani, Tigani etc.) (23, 24). 4. En me tournant vers les contributions im portantes de Mr. Ehrich, je souligne d’abord la justesse de ses rem arques typologiques au sujet du caractère de la céramique peinte de Starčevo et de ses relations avec le néolithique grec (Sesklo[1]Dimini). Une chronologie trop brève de la civilisation en question ne me p ara ît toutefois pas justifiée, étant donné les considérations de D. G arasanin sur'les décou[1]vertes des fonds de cabane de Starčevo, sem blant prouver l’existence d’une «strati[1]graphie horizontale» (25), ainsi que les différences dans les m atériaux de certaines stations en Pannonie, ou, outre les stations à céram ique presque uniquem ent rude, nous connaissons aujourd’hui plusieurs localités nouvelles à céram ique peinte (27), ce qui également est en faveur de différences chronologiques. P arm i les synchro[1]nismes fixés p ar Mr. Ehrich, je souligne surtout celui entre B ükk et Theiss, correspondant en tout point à mes observations (28). La tentative de rabaissem ent de la chronologie de Cucuteni me p ara ît de même justifiée, bien que, d’après nom bre d’éléments communs entre Cucuteni et Vinca, je sois enclin à attrib u er les débuts de C ucuteni à l’époque de V inča-Tordoš II (Vinca B de Holste) (31). Le rabaissem ent de la date de la céram ique linéaire ne m e semble toutefois pas justifié, celle-ci étant dûe probablem ent à une évolution locale est devant en partie être synchronique de Starčevo (30). J’attire surtout l’attention sur le fait que les découvertes hongroises paraissent confim er le synchronism e des groupe® de Theiss et de Zseliz, les débuts de Theiss devant d ’autre p a rt être rattachés a Vinča-Tordoš II (29), et Zseliz étant postérieur à la céram ique dite N otenkopf et à celle linéaire ancienne. Au sujet du groupe de Baden les résultats nouveaux obtenus dans mes fouilles de 1954 à Bubanj, et basés uniquem ent su r les décou[1]vertes closes de certains niveaux d’habitations, prouvent la chronologie relative suivante: Bubanj-H um la (Oršič Ha) [Vinča-Pločnik II (Hoste D)] fin de G um elnitza: B ubanj-H um Ib (Oršič lib, c) [Baden-Kostolac; B ubanj-H um II (Oršić III—IV)1postbaden. Le synchronism e proposé p a r Ehrich entre G um elnitza et l’hélladique ancien II—III me p araît justifié. Étant donné toutefois mes observations au sujet du rapport chronologique Vinca-helladique ancien (33), je ne crois pas devoir rabaisser en une mesure trop grande la date de Gum elnitza. Ceci surtout en tenant compte de la parenté étroite de Gumelnitza I (selon Berciu) et Vinča[1]Tordoš (34). C ’est pour la même raison que la chronologie de Boian A doit, selon moi, être également plus élevée, ce qui correspond également à quelques éléments rattachant ce dernier groupe à Starčevo (34a), et que les synchronismes justement fixes p ar Ehrich p ar rapport à l’âge du bronze en Macédoine, ne correspondent qu’à la phase finale du bronze ancien macédonien. 5. U ne date très im portante me sem ble être fourniere p ar le synchronism e Troie I, Bronze ancien III d’Anatolie, Giza. Celle-ci p araît coincider en une cer[1]taine m esure avec mon opinion sur la date des débuts de T roie (37). 6. Notons enfin qu’il existe naturellem ent nombre de problèmes chronologiques où les donnés se trouvant à notre disposition sont encore insuffisantes. L’ouvrage revu ci-dessus représente incontestablem ent une contribution très im portante à la préhistoire eurasienne. Les rem arques émises ne font que prouver la nécessité d’intensifier encore les recherches préhistoriques et la collaboration étroites des préhistorien

    Jedan primerak monumentalne preistoriske plastike (Glava neolitske figure iz Prištine)

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    Le tête d’une figure néolithique en terre cuite publiée dans cet article, a été découverte à 2 km. au sud de Pristina, région autonome de Kosovo-Metohija, dans une station préhistorique à couche de 0,80 à 1 m d’épaisseur. Après les découvertes de Valač,1 elle représente le second vestige des temps néolithiques dans cette région. La tête en question se distingue par ses grandes dimensions (haut. 17,5 cm). Celles-ci la rapprochent des rares exemplaires de plastique monumentale, connus jusqu’ici en Serbie: des boucrania de Vinca,3 ainsi que des fragments de têtes de figures de Vinca et de Mali Dram,4 disparus au cours de la première guerre mondiale. Ces exemplaires appartiennent à la phase récente de la civilisation de Vinca (phase de Vinca-Plocnik; Vinca 6,5—3 m de profondeur) à laquelle la tête de Priština se rattache également par son carac[1]tère. Etant donné le fait que la proportion entre tête et corps des statuettes de cette phase est en moyenne de 1:3, nous arrivons à une hauteur d’environs 0,50 m pour la figure dont la tête de Priština faisait partie. La tête de Priština trouve ses analogies, les plus rapprochées à Valač et à Pločnik.12 Il est à noter que certains! traits caractéristique de cette tête-menton triangulaire,14 ligne incisée se continuant le long de l’oeil et du nez,18 forme des yeux,17 représentation natura[1]liste de l’oreille,18 representation des cils20 ont leurs analogies à Vinca, en partie encore dans la phase de Vinča-Tordoš. (Vinca 9,1à 6,5 m de profondeur). Les analogies leo plus proches à Vinca, ap[1]partiennent néanmoins à la couche de 4,7 m de profondeur.22 Le rapprochement entre Priština, Valač et Pločnik permet éga[1]lement de fixer une région à plastique néolithique de caractère local comprenant certains traits de conservatisme assez accentués. La for[1]nation de se groupe local est impliquée par les conditions géogra[1]phiques, les régions en question étant plus étroitement liées entre elles par les voies, naturelles de communication suivies plus tard par des routes construites à l’époque romaine (route Naissus-Lis[1]sus25). Le groupe en question s’est formé dans une région périphère de la civilisation néolithique de Serbie, rattachée plus ou moins directement au complexe de Vinca

    Quelques remarques sur la chronologie du groupe de Bubanj-Hum

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    La chronologie relative et absolue des groupes préhistoriques dans l’intérieur de la Péninsule Belcanique, peut en premier lieu être fixée à l’aide d’objets d’importation provenant des régions sud-orientales dont la civilisation fournit des possibilités plus amples de datation précise, par rapport aux hautes civili[1]sations de Bubanj-Hum à l’aide d'aide d’objets d’importation, provenant en premier lieu de la Grèce. Les objets en question ont déjà fait l’objet d’une étude de D. Garašanin (3), dont nous pouvons appuyer aujourd’hui les résultats de quelques arguments noveaux. La coupe fig. 1 appartient à l'helladique ancien, ou plus précisément à la phase finale de cette période, comme semblent le prouver également les résultats des fouilles nouvelles de D. Theoharis à Raphina (4). Le couteau recourbé de Velika Humska Čuka (fig. 5) trouve des analogies très proches dans un objet semblable d’Asine (helladique moyen), de même que dans un exemplaire provenant des fouilles d’Argos (7—8). Une variante plus ancienne du même type est représentée par l’exemplaire helladique ancien de Lerna (fig. 5) (9). La variante de Velika Humska Čuka doit être datée de l’helladique moyen, comme celles d’Asine et d’Eutresis (11—12). La coupe à une anse dépassant le bord a été attribuée avec raison par D. Garašanin à l’helladique moyen (13—16). Une forme semblable est repré[1]sentée du reste dans le Schachtgrab IV de Mycènes (17). Un exemplaire presque identique au nôtre en ce qui concerne sa technique et sa forme a été découvert au cours des fouilles de Theoharis à Iolkos (fig. 3 dûe à l’amabilité de Mr. Theoharis). Le fragment dit mynien de Velika Humska Čuka, me paraît après une étude plus approfondie de cette sorte de céramique en Grèce, pouvoir réellement lui être attribué (fig. 4). Il s’agit d’une sorte de céramique se rattachant étroi[1]tement aux différentes formes du mynien local, accompagnant en Grèce le mynien »classique« (22—23). Il est important de noter que du reste la céramique de la phase Bubanj-Hum II se rattache, elle-aussi, étroitement aux types de céramique souvent plus grossière rattachés à la céramique mynienne (24—28), dont nous reproduisons comme exemple un fragment provenant de Brauron. Les éléments d’importation provenant de Velika Humska Čuka sont donc importants pour la datation de cette station. Malheuresement nous ne possédons pas de données sur leur situation stratigraphique. Les fouilles exécutées récemment par D. Garašanin et moi dans cette importante localité ont démontré du reste que les couches de Velika Humska Čuka étaient en grande partie bouleversées. Nous constatâmes sur le plateau de la localité que la couche inférieure, appar ­ tenant à la phase Bubanj-Hum La, n’a pas été endommagée. La couche super[1]posée comprenait des éléments de civilisation allant de la phase Bubanj-Hum II, jusqu’aux périodes byzantine et slave. Le bouleversement est dû au gliesement des couches, ainsi qu’a l’emploi réitéré de la fortification naturelle de Humska Čuka à différentes époques. Les éléments rattachés à l’helladique moyen doivent néanmoins appartenir à la période Bubanj-Hum II, étant donné que celle-ci. comme nous venons de le montrer comprend également d’autres éléments apparentés étroitement à la céramique mynienne

    Beef Cattle Welfare

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    Dobrobit se odnosi na fizičko i mentalno zdravlje životinje, a očuvana dobrobit, između ostalog, rezultira i njihovom većom proizvodnošću. Stoga je pri intenzivnom tovu junadi potrebno zadovoljiti potrebe životinja osiguranjem izbalansiranog obroka te optimalnih smještajnih i mikroklimatskih uvjeta, uz odgovarajuće postupanje sa životinjama, čime umanjujemo stres i pojavu bolesti na najmanju moguću mjeru. Osim toga, provođenjem higijensko-sanitarnih mjera u intenzivnoj proizvodnji dodatno pridonosimo zaštiti dobrobiti tovne junadiThe welfare refers to physical and mental health of an animal, and good animal welfare among other things results in their higher productivity. Therefore, at intensive beef cattle fattening it is necessary to satisfy animal needs by ensuring balanced meal and optimal housing and microclimate conditions, along with appropriate animal handling, by which stress and disease occurrence are reduced to a minimum. Besides, the beef cattle welfare is additionally protected by performing hygienic-sanitary measures in the intensive production

    The draft

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    Title: Načertanije (The Draft) Originally published: The text, commonly known as the Načertanije, was written in 1844 but for long kept in secrecy; it was first published in 1906, as “Program spoljne politike Ilije Garašanina na koncu 1844. godine,” (The foreign policy program of Ilija Garašanin at the end of 1844), ed. by Milenko Vukićević, in: Delo, vol. 38, No.1, 1906, pp. 321– 336 Language: Serbian The excerpts are from a transcript of the original text published in Radoš Ljušić, Knjiga o..

    Preistoriski nalazi iz Crnobuki kod Bitolj

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    Der von Fewkes gelegentlich einer Aufklärungsreise festgestellte Wohn[1]hügel (Tumbe) von Crnobuki, gehört der Zeit des ausgehenden Neolithi[1]kums und der frühen Bronzezeit (1—2), was durch eine genauere typo[1]logische Durchsicht der Funde schon zweifellos erkannt werden kann. Ein einziger, von einem plumpen massiven Fuss stammender Scherben zeigt Entsprechungen zu älteren Funden vom Starcevo-Typus (Abb. 1), reicht aber als Einzelfund zu weitgehenden Schlüssen nicht aus. Dem jüngeren Neolithikum gehören hauptsächlich Scherben einer mit schwarzem, grauem, selten auch hellem Überzug versehenen, geglätteten Keramik, aus gut gereinigtem Ton, ungleich gut gebrannt, im Bruch grau bis weisslich. Bei einigen Scherben ist die Innenseite mit rotem farbigem Überzug versehen. Es handelt sich um die »black polished wäre« Make[1]doniens, die Glal (»donauländische«) Gattung Thessaliens, dieselbe Ware die auch im Subneolithikum Tigani’s und in der kretischen Jungsteinzeit erscheint, und deren Entsprechungen über Thermi auch nach Kleinasien zu verfolgen zu sein scheinen (5—10). Als Formen erscheinen Näpfe und flache Teller mit verdicktem Rand, erstere in folgenden Spielformen: a) mit «ingezogenem Rand und scharfem oder abgerundetem Profil (Abb. 2 a, b, d); b) mit stärker gegliedertem Profil (Abb. 2 f, g); c) mit betontem Mundsaum und abgerundeter Schulter (Abb. 2 c) und d) konische Näpfe (oder Füsse von »Fruchtständern«) (Abb. 3). Diese Formen werden in verschiedenen Weisen verziert und zwar: 1. durch weisse Bemalung auf schwarzem Untergrund, an Gefässen der Formen a, b, d (Abb. 3—5). Die Malbarbe ist matt und enthält keinen Graphitzusatz. Es ist die »white on black wäre« Heurtley’s, mit ihren verwandten Gattungen (12), die G lal Keramik Thessaliens (13). Weitere Entsprechungen sind gleichfalls aus Orchomenos, Korinth, Tigani und Thermi samt Kleinasien bekannt (14—18), wovon wir allerdings die »light on dark« Keramik der frühhelladischen Kultur aus stilistisch-chronologi[1]schen Gründen trennen möchten. Im Gegenteil sind die innerbalkanischen Erscheinungen der Bubanj-Hum I und ihrer verwandten Gruppen, obwohl chronologisch jünger von dieser Gruppe nicht zu trennen (20); 2. durch crusted-Bemalung, mit weisser und roter pastoser Malfarbe (Abb. 6), deren beste Entsprechungen in der »crusted wäre« Thessaliens, in Kaputsedes und der zwar jüngeren Unterstufe II von Bubanj (Bubanj-Hum I Kultur) vorhanden sind (21—23); 3. durch Rillen und Rippen, wie dies auch ßonst aus makedonischen Fundstellen, wenn auch verhältnismässig selten be[1]kannt ist (24). Diese Gattung hat mehr Entsprechungen weiter im Osten und im Rahmen der Vinča-Kultur (25—26); 4. durch eingetiefte Verzierung doba, nije poznato iz Crnobuki. Jasno je da ipak treba voditi računa o mogućnosti slučaja, makar ova bila i slabo verovatna.(Abb. 7a), deren Motive jenem der Gattung 1. und 3. völlig entsprechen, wobei scheinbar durch Eintiefung bis zum weisslichen Kern der Gefäss[1]wand, derselbe Verzierungskontrast von hell und dunkel wie bei jener angestrebt wurde. Viel mehr als in Makedonien scheint diese Ware im Osten verbreitet zu sein (27—29); 5. durch Ritzung und Punktierung (Abb. 7 c) wie sonst auch auf anderen Fundstellen in Makedonien (30, 31). Es ist hervorzuheben, dass die Verzierungsart 2 bisweilen nur von einem Teller mit verdicktem Rand bekannt ist. Als Henkel wurden ausschliesslich. Ösen, zum Teil durchbohrt, angewandt. Die Idolplastik (Abb. 8—13) erscheint in zwei Grundtypen: A. stehende und B. sitzende Idole. Letztere Gruppe zerfällt wieder in einen groben und einen etwas feineren Typ, bei dem anscheinend die Darstellung einer auf einem Sessel sitzenden Figur angestrebt wurde. Bei den Idolen vom Typ A und der primitiven Gruppe von B (Abb. 8, 12) ist auch das zum Ansetzen eines abgesonderten Kopfes bestimmte Loch besonders kennzeichnend. Bei der besseren Gattung erscheinen nach unten gebogene Arme und ein stili[1]sierter Kopf (Abb. 9—1). Beide Gattungen finden ihre nächsten Entspre[1]chungen im ausgehenden Neolithikum Thessaliens (32, 33). In der frühen Bronzezeit entspricht die bessere Keramik in ihrer Machart noch immer der jungsteinzeitlichen, wobei ein Bruchstück sogar Spuren der weiss auf schwarz Bemalung trägt. Allerdings ist durch weniger sorgfältigen Brand eine Farbenverschiedenheit entstanden, die oft auf ein und demselben Gefässe vorhanden ist, was übrigens auch von anderen Fundstellen Makedoniens bekannt ist (34). Das Scherbenmaterial weisst: einhenkelige (vielleicht zweihenkelige) Gefässe auf, wie diese auch im Neolithikum gelegentlich erscheinen (Abb. 14b, c, 15) (33), jedoch stammen die besten Entsprechungen aus der Bronzezeit (36—39). Die grobe Haus[1]keramik ist viel reicher vertreten. Leider ist der Formenschatz dieser Gruppe aus dem Scherbenmaterial nicht einwandfrei zu ermitteln. Aller[1]dings sind konische Näpfe mit Griff lappen (Abb. 14 f), eine konische Deckel[1]form (Abb. 17 b), Miniaturgefässe (Abb. 17 a) und grössere mit verschie[1]denen Henkelarten versehene Gefässe vorhanden. Gewisse Erscheinungen (Deckel und Miniaturgefässe) haben mehr oder weniger nahe Entsprechun[1]gen in anderen Fundstellen und Fundgebieten (40). Als Henkel- und Griff[1]formen seien angeführt: a) breite Bandhenkel, »tubulär lugs«, deren Form die Weiterentwicklung der ersten Erscheinungen dieser Art aus Kritsana 1—2 darstellen (Abb. 18) und auch im frühhelladischen und kleiinasiatischen Kreis erscheint (42—43); b) gewöhnliche Bandhenkel; c) eine Art wish-bone Henkel (Abb. 14 a) ; d) Grifflappen, deren folgende Variante e) mit seitlichen Hornansätzen versehen ist (Abb. 14, d—f). Auch diese Formen sind mit Entsprechungen in den öfters erwogenen Gebieten in Beziehung zu bringen (44). Dies gilt auch von den plastischen Handhaben (Abb. 16 b) (45) und der Form (Abb. 16 a), während Netzbeschwerer und Spinnwirtel die für die makedonische frühe Bronzezeit typische Formen annehmen (Abb. 17c) (47). Der in Crnobuki bestehende Mangel an stratigraphischen Beobachtun[1]gen gestattet keine völlig sichere feinere chronologische Einteilung. Wir müssen uns also mit Vermutungen und Angabe verschiedener diesbezüg[1]lichen Möglichkeiten zufrieden erklären. Ausser der Möglichkeit einer Ausscheidung einer älterneolithischen Phase, die vorläufig nur angedeutet werden kann, ist die Wahrscheinlichkeit des Bestehens einer jüngstneo[1]lithischen, in Makedonien bisweilen fast unbekannten Phase, die durch crusted-Bemalung und die Idolplastik vertreten ist, besonders hervor­zuheben (49). Dabei sind folgende drei Möglichkeiten zu erwähnen: 1. das Vorhandensein von drei (white on black-gradlinig, white on black kurvo[1]linear, crusted mit Idolplastik), zwei (Gleichsetzung der beiden white on black Gattungen, crusted mit Idolplastik) oder einer Phase (Gleichsetzung aller angeführten Gruppen), wobei natürlich bei den zwei ersterwähnten (Möglichkeiten auch ein Weiterleben der ursprünglich älteren, unabhängig erscheinenden Gattungen in späterer Zeit in Betracht kommen muss. Für die frühe Bronzezeit in Crnobuki würde auf Grund der Bandhenkelformen die Zeit des Beginns von Kritsana und Saratse (Early Bronze) als terminus ante quem non in Betracht kommen. Die Spätstufe von Armenochori scheint uns Crnobuki nicht erreicht zu haben (54), dies natürlich unter Voraus[1]setzung, dass die bisweilen vorhandenen Funde zur chronologischen. Aus[1]wertung ausreichen. Auf Grund der Schätzungen Milojčić’s würden wir ein Datum um 2400—2300 für den Beginn der frühen Bronzezeit in Crnobuki vorschlagen (51—53). Dadurch wäre auch nun im Crnagebiet eine Armeno[1]chori vorangehende frühbronzezeitliche Phase erwiesen. Es ist jedoch selbstverständlich, dass eine sichere Lösung der hier gestreiften Probleme nur durch systematische Grabungen endgültig erreicht werden kan

    Les tombes tumulaires préhistoriques de la Péninsule balkanique et leur attribution ethnique et chronologique

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    Garašanin Draga. Les tombes tumulaires préhistoriques de la Péninsule balkanique et leur attribution ethnique et chronologique. In: Iliria, vol. 4, 1976. Premier colloque des Etudes Illyriennes (Tirana 15-20 septembre 1972) – 1. pp. 249-252

    Beef Cattle Welfare

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    Dobrobit se odnosi na fizičko i mentalno zdravlje životinje, a očuvana dobrobit, između ostalog, rezultira i njihovom većom proizvodnošću. Stoga je pri intenzivnom tovu junadi potrebno zadovoljiti potrebe životinja osiguranjem izbalansiranog obroka te optimalnih smještajnih i mikroklimatskih uvjeta, uz odgovarajuće postupanje sa životinjama, čime umanjujemo stres i pojavu bolesti na najmanju moguću mjeru. Osim toga, provođenjem higijensko-sanitarnih mjera u intenzivnoj proizvodnji dodatno pridonosimo zaštiti dobrobiti tovne junadiThe welfare refers to physical and mental health of an animal, and good animal welfare among other things results in their higher productivity. Therefore, at intensive beef cattle fattening it is necessary to satisfy animal needs by ensuring balanced meal and optimal housing and microclimate conditions, along with appropriate animal handling, by which stress and disease occurrence are reduced to a minimum. Besides, the beef cattle welfare is additionally protected by performing hygienic-sanitary measures in the intensive production
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