18 research outputs found
Verlängerung des kongenital kurzen Femurs (PFFD) mittels Hybridfixateur unter Einbeziehung des Kniegelenks
Zusammenfassung: Hintergrund: Kontrakturen und Luxationen in Knie- und Hüftgelenk sind bekannte Komplikationen bei der Verlängerung des proximalen fokalen Femurdefekts (PFFD). Insbesondere ist das Kniegelenk wegen der fehlenden oder insuffizienten Kreuzbänder beim PFFD gefährdet. Achsenabweichungen muss ebenfalls besondere Beachtung geschenkt werden. Patienten und Methoden: Bei 4Patienten (Alter 2,5-11Jahre) mit PFFD (Pappas-KlasseIII (1Patient), KlasseVII (3Patienten)) wurden 5Verlängerungen mit Achsenkorrektur durchgeführt. Es wurde ein kniegelenküberbrückender Fixateur externe (Monotube, Triax®) verwendet, der Tibia und Femur mit einem Scharniergelenk verbindet und das Kniegelenk vor Kontraktur oder Luxation schützt. Die Verlängerungen lagen zwischen 3 und 11cm. Resultate: Alle Patienten erreichten nach Verlängerung die vorherige Knie- und Hüftbeweglichkeit. Eine Hüftgelenkkontraktur kann während der Verlängerung die Einbeziehung des Hüftgelenks in das Fixateursystem notwendig machen. Dies war bei den in diesem Beitrag beschriebenen 4Patienten nicht erforderlich. Schlussfolgerung: Vier konsekutive Verlängerungen bei angeborenem longitudinalem Femurdefekt erfolgten unter Luxationsschutz des Kniegelenks durch ein kniegelenküberbrückendes Flexionsbewegungen erlaubendes Fixateursystem. Bei diesen Patienten konnte eine Kontraktur bzw. Luxation vermieden werden. Wir denken, dass ein solches System bei entsprechenden Verlängerungen in Betracht gezogen werden sollt
Esthetic and functional improvement in proximal femoral focal deficiency with lacking hip joint by rotation plasty Winkelmann type BIII
Lengthening of proximal femoral focal deficiency using a hybrid fixation with inclusion of the knee joint
Hintergrund: Kontrakturen und Luxationen in Knie- und Hüftgelenk sind bekannte Komplikationen bei der Verlängerung des proximalen fokalen Femurdefekts (PFFD). Insbesondere ist das Kniegelenk wegen der fehlenden oder insuffizienten Kreuzbänder beim PFFD gefährdet. Achsenabweichungen muss ebenfalls besondere Beachtung geschenkt werden. Patienten und Methoden: Bei 4Patienten (Alter 2,5-11Jahre) mit PFFD (Pappas-KlasseIII (1Patient), KlasseVII (3Patienten)) wurden 5Verlängerungen mit Achsenkorrektur durchgeführt. Es wurde ein kniegelenküberbrückender Fixateur externe (Monotube, Triax®) verwendet, der Tibia und Femur mit einem Scharniergelenk verbindet und das Kniegelenk vor Kontraktur oder Luxation schützt. Die Verlängerungen lagen zwischen 3 und 11cm. Resultate: Alle Patienten erreichten nach Verlängerung die vorherige Knie- und Hüftbeweglichkeit. Eine Hüftgelenkkontraktur kann während der Verlängerung die Einbeziehung des Hüftgelenks in das Fixateursystem notwendig machen. Dies war bei den in diesem Beitrag beschriebenen 4Patienten nicht erforderlich. Schlussfolgerung: Vier konsekutive Verlängerungen bei angeborenem longitudinalem Femurdefekt erfolgten unter Luxationsschutz des Kniegelenks durch ein kniegelenküberbrückendes Flexionsbewegungen erlaubendes Fixateursystem. Bei diesen Patienten konnte eine Kontraktur bzw. Luxation vermieden werden. Wir denken, dass ein solches System bei entsprechenden Verlängerungen in Betracht gezogen werden sollt
Dynamik von Spongiosaverlust und -erholung im distalen Radius nach Immobilisation der oberen Extremit�t bei Kindern
Magnetic Resonance Imaging in the Treatment of Congenital Dislocation of the Hip in Infants
Un trou dans l'os - que faire? : aide à l'analyse des ostéolyses
- Cet article est le premier d'une petite série à venir, ayant trait essentiellement
aux ostéolyses découvertes fortuitement et n'ayant pas, ou que rarement,
besoin d'un traitement.
- Les ostéolyses découvertes sur une radiographie standard peuvent être l'expression
d'une croissance tumorale aux conséquences extrêmement variables.
- Le bon aiguillage après la découverte d'une ostéolyse est très important.
- La très grande majorité des ostéolyses sont des découvertes bénignes,
n'imposant aucun traitement. D'autres tumeurs par contre sont douloureuses
et actives, mais bénignes.
- En principe, un traitement ne s'impose que pour les tumeurs malignes primitives
de l'os, de même que pour les métastases.
- Si le premier thérapeute apprécie correctement la situation, de nombreux
frais et de nombreuses souffrances inutiles pourront être économisés. En général,
la radiographie conventionnelle donne déjà les informations décisives.
Il s'agit surtout de bien observer le type de destruction.
- Sont également importants une anamnèse approfondie et l'examen clinique.
L'ostéolyse et la douleur sont-elles associées ou non?
- Les lésions bien délimitées et entourées d'une sclérose, ne pénétrant pas
l'os compact et n'occasionnant aucune douleur, ne nécessitent que rarement
des examens complémentaires, voire un traitement
Les tumeurs cartilagineuses (enchondrome, chondrosarcome)
- Les enchondromes sont les tumeurs osseuses les plus fréquentes de l'adulte.
Ils se voient surtout dans les petits os longs mais peuvent aussi être présents
dans d'autres os.
- L'ostéolyse est pratiquement invisible sur les radiographies standards, mais
souvent ces tumeurs contiennent des concrétions calciques blanches nettement
délimitées.
- Les tumeurs en activité érodent la corticale et les formes expansives présentent
un risque relativement grand de dégénérescence maligne (surtout chondrosarcome).
- Il peut être extrêmement difficile de déterminer si la tumeur est encore
bénigne ou déjà maligne. L'histologie à elle seule ne peut généralement pas
faire la distinction entre bénigne et faiblement maligne. Les critères ne sont pas
sélectifs dans la zone limite et la tumeur est souvent très inhomogène. Le risque
est donc grand que la biopsie ne soit pas représentative. Les résultats histologiques
doivent toujours être interprétés en parallèle à l'imagerie diagnostique et à la
clinique. Il faut donc renoncer à la biopsie à visée uniquement diagnostique.
- Il est absolument évident que les enchondromes bénins ne doivent être ni
biopsiés ni traités, sauf si leur taille dépasse 7 cm - auquel cas un curetage peut
être indiqué. Ce dernier peut également être envisagé sur des tumeurs juxtaarticulaires
actives.
- Les tumeurs présentant des signes de malignité (par ex. envahissement cortical)
doivent généralement être traitées par résection large et reconstruction
Supplementary Material for: Resection of Renal Cell and Prostate Carcinoma Sternum Metastases with Long-Term Follow-Up: A Report of 2 Cases
Introduction: Rarely solitary sternum metastases are addressed by resection. Two additional cases are presented as they are interesting because of their long-term follow-up. Case Presentation: Case 1: A renal cell carcinoma was treated by transabdominal nephrectomy at age 64. Right iliac bone and sternum metastases were diagnosed 7 months later and treated by internal hemipelvectomy followed by sternum metastasectomy 6 weeks after the internal hemipelvectomy. At 12-year follow-up, the patient appears disease free. Case 2: Prostate cancer was treated by prostatectomy at age 67. A subsequent solitary sternum metastasis was resected 10 years later for persistent PSA-activity despite repeated radiotherapy. The patient remains asymptomatic for 3 years now. Conclusion: Resection of sternum metastases may have curative potential and should be considered in tumours known to be rather resistant to chemo- and/or radiotherapy