Laboratory evaluation of toxicity of Bacillus thuringiensis, neem oil and methamidophos against Plutella xylostella L. (Lepidoptera: Plutellidae) larvae

Diamondback moth (DBM), Plutella xylostella (L.), remains a major pest of brassica crops worldwide. Chemical control of this pest remains difficult due to the rapid development of resistance to insecticides and to their effect on natural enemies. The objective of this study was to assess the toxicity of Bacillus thuringiensis (Bt), neem oil and methamidophos on larvae of P. xylostella under laboratory conditions. Leaf-dip bioassay for DBM larvae was used to assess mortality. For each treatment, three doses (low, medium and high) were applied on cabbage leaves and presented to third instar larvae. Larval mortality was performed every 24 hours for a period of eight days. The application of the three dosages of Biobit was more effective against P. xylostella larvae when compared to the other treatments. However, there was no significant difference in larval mortality when all three doses of Biobit were tested compared to the control. Methamidophos was the least toxic treatments with high dosage recording the lowest mortality rate of 52.5%. These results showed that Btbased biopesticides and neem extracts could be of help, but their deployment should be part of an integrated pest management package, which recognizes the constraints of farmers while addressing the requirement to control of P. xylostella populations.Keywords: Diamondback moth, biopesticide, Azadirachta indica, cabbage, bioassay

La lutte contre les schistosomoses en Afrique de l'Ouest

Deuxième endémie parasitaire du Mali, les schistosomoses sont irrégulièrement réparties dans le pays. #Schistosoma haematobium atteint 2 millions et demi de sujets et est assez largement répandu. #S. mansoni est focalisé dans les régions rizicoles du centre du pays, le pays dogon et la région de Kayes. La lutte contre les schistosomoses a commencé dans les années soixante-dix par des programmes localisés. Ces programmes ont été réunis en un programme national de lutte en 1982. La décentralisation et l'intégration des activités aux structures nationales de santé a été décidée en 1986. La mise en oeuvre du programme national de lutte a débuté aussitôt après par la formation des équipes périphériques et l'équipement des structures sanitaires. Les stratégies de base retenues sont le dépistage des cas et la chimiothérapie à la fois dans les centres de santé et les écoles. L'éducation pour la santé, l'assainissement et l'approvisionnement en eau potable sont associés. Une surveillance épidémiologique est organisée. Trois phases successives ont conduit le programme national de lutte à être intégré à l'ensemble des activités des structures de santé périphériques. Les difficultés rencontrées sont évoquées. (Résumé d'auteur

Contamination Des Laits Importes Au Mali Par La Melamine

Au Mali l’insuffisance de données scientifiques sur la contamination des aliments en général et du lait en particulier par la Mélamine a motivé la conduite de la présente étude.Dans ce travail, nous avions recherchés la Mélamine dans les laits importés au Mali.Un total de 150 échantillons de laits importés, a été récolté dans le District de Bamako.La détermination de la Mélamine a été effectuée par Immuno-affinité/Méthode ELISA. Les résultats des analyses ont montré que 38 échantillons sur les 150 de laits importés étaient contaminés par la Mélamine. Chez les importateurs, 8 échantillons sur 18 des laits importés étaient contaminés, les taux de contamination variaient de 0,03mg/kg à 0,91 mg/kg. Chez les demi-grossistes 19 échantillons sur 66 des laits importés, étaient contaminés par la Mélamine. Les taux de contamination variaient de 0,01 à 1,14mg/kg. Chez les détaillants, 11 échantillons sur 66 des laits importés étaient contaminés avec des taux de contamination qui variaient de 0,01 à 1,00mg/kg. Les taux moyens de contamination des laits pour les importateurs, les demi-grossistes et les détaillants sont respectivement de (0,20 ; 0,26 ; 0,26) mg/kg. Il est a noté que les taux obtenus sont inférieurs à la norme du Codex Alimentarius qui fixe la limite maximale pour le lait et les aliments contenant le lait à 2,5mg/kg

A Decade of Partnering to Stop HIV in West Africa: GAIA VF Prevention, Education, Access to Care and Vaccine Trial Site Development in Bamako, Mali

Poster Presentation from AIDS Vaccine 2012 Boston, MA, USA. 9-12 September 201

Influence du taux d’hémoglobine sur la réponse à la radiothérapie des cancers du col de l’utérus : Étude rétrospective de 31 cas au CHU de Dakar

Le cancer du col de l’utérus est actuellement le deuxième cancer gynécologique après celui de l’endomètre. Près de 50% des cas diagnostiqués à travers le monde pourraient profiter de la radiothérapie dont l’efficacité dépend en partie du taux d’hémoglobine. Ainsi, nous avons entrepris d’évaluer l’influence du taux d’hémoglobine sur la réponse à la radiothérapie des cancers du col de l’utérus. Il s’agit d’une étuderétrospective de janvier 2006 à janvier 2009 portant sur 31 dossiers de patientes admises pour un cancer du col de l’utérus et ayant bénéficié d’une radiothérapie exclusive. L’âge moyen des patientes était de 53 ans. Les tranches d’âge les plus représentées étaient celles de 44 à 55 ans et de 55 à 66 ans avec respectivement 16 et 12 patientes. Plus de la moitié des patientes 61,29% étaient anémiées en début de traitement. Des doses élevées de radiations étaient retrouvées chez les patientes  anémiées. En effet, certains auteurs ont montré que les patientes anémiées avant de subir une radiothérapie développaient une  radiorésistance tumorale liée à l’hypoxie tissulaire expliquant ces doses élevées. Ces résultats suggèrent une collaboration entre radiothérapeutes et biologistes pour un diagnostic précoce (clinique, biologique) de l’anémie et un suivi biologique des patientes pendant leur traitement afin d’éviter les radiorésistances tumorales et les effets radio-induits tardifs.Mots clés : Anémie, cancer, col utérin, radiothérapie

Epidémiologie des cancers digestifs en milieu hospitalier à Bamako

Les cancers digestifs sont de plus en plus constatés dans nos régions, probablement du fait de la disponibilité plus importante des moyens diagnostiques. Le but principal de notre travail était d’étudier l’épidémiologie de ces affections dans les services d’hépato-gastro-entérologie et de chirurgie générale du CHU Gabriel Touré. Il s’agissait d’une étude transversale portant sur les patients hospitalisés de février à juin 2007 puis de février à juin 2008. Nous avons retrouvé 115 cancers digestifs sur 1 547 patients hospitalisés, soit une fréquence de 7,4 %. Le sex ratio était de 1,5 en faveur des hommes et l’âge moyen des patients était de 56,6 ± 2,4 ans. Les cancers de l’estomac et le CHC étaient plus fréquents avec respectivement : 59,1 % et 19,1 % des cas. Les femmes au foyer et les cultivateurs (couches socio-économiques défavorisées) étaient plus fréquemment atteints, avec respectivement 34,8 % et 33 % des cas. La salaison, la fumaison, la consommation de tabac, de tô (pâte cuite de céréale) avec potasse ont été les facteurs de risque les plus retrouvés dans respectivement 74,8 %, 80,9 %, 33,9 % et 99,1 % des cas. Les cancers digestifs constituent un véritable problème de santé publique.Digestive cancers are increasingly found in our regions, probably due to the greater availability of diagnosis facilities. The main goal of our work was to study the epidemiological aspects of these diseases in the hepatology and gastro intestinal tract unit and in the general surgery unit in the University hospital Gabriel Touré. It was a cross-sectional study about in-patient from February to June 2007 and from February to June 2008. We found 115 gastro-intestinal tract cancers among 1 547 in-patients (7.4%). The sex-ratio was 1.5 for men and the patient’s mean age was 56.6 ± 2.4 years. Gastric cancers and hepatocellular carcinoma were more frequent with 59.1% and 19.1% of the cases. Housewives and farmers (low incomes group) were more frequently affected with respectively 34.8% and 33% of the cases. Salt intake, smoking, chewing tobacco, tô (cereal dough with potash) consumption were the strongest risk factor found respectively in 74.8%, 80.9%, and 99.1% of the cases. Digestive cancer is thus a major public health concern

Single donor ionization energies in a nanoscale CMOS channel

One consequence of the continued downwards scaling of transistors is the reliance on only a few discrete atoms to dope the channel, and random fluctuations of the number of these dopants is already a major issue in the microelectonics industry. While single-dopant signatures have been observed at low temperature, studying the impact of only one dopant up to room temperature requires extremely small lengths. Here, we show that a single arsenic dopant dramatically affects the off-state behavior of an advanced microelectronics field effect transistor (FET) at room temperature. Furthermore, the ionization energy of this dopant should be profoundly modified by the close proximity of materials with a different dielectric constant than the host semiconductor. We measure a strong enhancement, from 54meV to 108meV, of the ionization energy of an arsenic atom located near the buried oxide. This enhancement is responsible for the large current below threshold at room temperature and therefore explains the large variability in these ultra-scaled transistors. The results also suggest a path to incorporating quantum functionalities into silicon CMOS devices through manipulation of single donor orbitals

Poly(alkyl methacrylate) tooth coatings for dental care: evaluation of the demineralisation-protection benefit using a time-resolved in vitro method

An in vitro method for the time-resolved quantification of acid-mediated tooth demineralisation has been developed and evaluated against putative non-permanent protective formulations based on a series of poly(alkyl methacrylate)s. Using a thermostatted carousel, dentally relevant substrates consisting of hydroxyapatite discs or sections of bovine teeth have been exposed to aqueous citric acid under controlled conditions, before and after being treated with the polymeric coatings. The dissolution of phosphate was monitored by the determination of 31P by Inductively Coupled Plasma—Mass Spectrometry and by the spectrophotometric phosphovanadomolybdate method. Dose-response plots constructed for both groups of treated substrates have revealed that the coatings significantly reduce erosion rates but are less effective at inhibiting tooth demineralisation than the standard fluoride treatment. The approach has enabled an evaluation of the erosion-protection efficiency of each coating

The Atlas of human African trypanosomiasis: a contribution to global mapping of neglected tropical diseases

<p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>Following World Health Assembly resolutions 50.36 in 1997 and 56.7 in 2003, the World Health Organization (WHO) committed itself to supporting human African trypanosomiasis (HAT)-endemic countries in their efforts to remove the disease as a public health problem. Mapping the distribution of HAT in time and space has a pivotal role to play if this objective is to be met. For this reason WHO launched the HAT Atlas initiative, jointly implemented with the Food and Agriculture Organization of the United Nations, in the framework of the Programme Against African Trypanosomosis.</p> <p>Results</p> <p>The distribution of HAT is presented for 23 out of 25 sub-Saharan countries having reported on the status of sleeping sickness in the period 2000 - 2009. For the two remaining countries, i.e. Angola and the Democratic Republic of the Congo, data processing is ongoing. Reports by National Sleeping Sickness Control Programmes (NSSCPs), Non-Governmental Organizations (NGOs) and Research Institutes were collated and the relevant epidemiological data were entered in a database, thus incorporating (i) the results of active screening of over 2.2 million people, and (ii) cases detected in health care facilities engaged in passive surveillance. A total of over 42 000 cases of HAT and 6 000 different localities were included in the database. Various sources of geographic coordinates were used to locate the villages of epidemiological interest. The resulting average mapping accuracy is estimated at 900 m.</p> <p>Conclusions</p> <p>Full involvement of NSSCPs, NGOs and Research Institutes in building the Atlas of HAT contributes to the efficiency of the mapping process and it assures both the quality of the collated information and the accuracy of the outputs. Although efforts are still needed to reduce the number of undetected and unreported cases, the comprehensive, village-level mapping of HAT control activities over a ten-year period ensures a detailed and reliable representation of the known geographic distribution of the disease. Not only does the Atlas serve research and advocacy, but, more importantly, it provides crucial evidence and a valuable tool for making informed decisions to plan and monitor the control of sleeping sickness.</p