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    Arbuscular mycorrhizal fungi associated with the rhizosphere of Piliostigma reticulatum and Guiera senegalensis shrubs in Senegal

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    Piliostima reticulatum and Guiera senegalensis shrubs constitute \u201cislands of soil fertility\u201d in the rhizosphere, with better availability of water and more intense biological activity in the Sudano-Sahelian agro-ecosystems. There is, however, paucity of information on diversity of arbuscular mycorrhizal fungi (AMF) fungi, which have a wide ecological range of associations with a variety of vegetation. The purpose of this study was to identify the types of AMF in the rhizospheres of P. reticulatum and G. senegalensis shrubs in Senegal. Soil samples were collected from around the shrubs in Keur Matar Arame and Keur Ndary Ndiaye in 2019 after a rainy season. Arbuscular mycorrhizae fungi spores were isolated by the wet sieving method and identified based on their morphological characteristics (shape, size, colour, attached hyphae, and spore ornamentation). Four types of AMF were identified, namely Glomus aggregatum, Sclerocystis rubiformis, Gigaspora margarita and Scutellospora gregaria. In addition, the density of spores was more abundant in the soil outside the shrub canopy compare to the soil beneath the shrub.Les arbustes Piliostima reticulatum et Guiera senegalensis constituent des \uab \ueelots de fertilit\ue9 \ubb dans la rhizosphere des sols, avec une meilleure disponibilit\ue9 en eau et une activit\ue9 biologique plus intense dans les agro-\ue9cosyst\ue8mes soudano-sah\ue9liens. Cependant, Il y a peu d\u2019informations sur la diversit\ue9 des champignons mycorhiziens arbusculaires (CMA) qui peuvent s\u2019associer avec une large vari\ue9t\ue9 de plantes. Le but de cette \ue9tude est d\u2019identifier les types de CMA dans les rhizosph\ue8res des arbustes P. reticulatum et G. senegalensis au S\ue9n\ue9gal. Des \ue9chantillons de sol ont \ue9t\ue9 collect\ue9s autour des arbustes \ue0 Keur Matar Arame et Keur Ndary Ndiaye en 2019 apr\ue8s la saison des pluies. Les spores de champignons mycorhiziens arbusculaires ont \ue9t\ue9 isol\ue9es par la m\ue9thode de tamisage humide et identifi\ue9es en fonction de leurs caract\ue9ristiques morphologiques (forme, taille, couleur, hyphes attach\ue9s et ornementation des spores). Quatre types de CMA ont \ue9t\ue9 identifi\ue9s, \ue0 savoir Glomus aggregatum, Sclerocystis rubiformis, Gigaspora margarita et Scutellospora gregaria. De plus, la densit\ue9 des spores \ue9tait plus abondante dans les sols hors couvert que dans les sols sous-couvert des arbustes

    Agroforesterie et services écosystémiques en zone tropicale

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    Respectueux de l’environnement et garantissant une sécurité alimentaire soutenue par la diversification des productions et des revenus qu’ils procurent, les systèmes agroforestiers apparaissent comme un modèle prometteur d’agriculture durable dans les pays du Sud les plus vulnérables aux changements globaux. Cependant, ces systèmes agroforestiers ne peuvent être optimisés qu’à condition de mieux comprendre et de mieux maîtriser les facteurs de leurs productions. L’ouvrage présente un ensemble de connaissances récentes sur les mécanismes biophysiques et socio-économiques qui sous-tendent le fonctionnement et la dynamique des systèmes agroforestiers. Il concerne, d’une part les systèmes agroforestiers à base de cultures pérennes, telles que cacaoyers et caféiers, de régions tropicales humides en Amérique du Sud, en Afrique de l’Est et du Centre, d’autre part les parcs arborés et arbustifs à base de cultures vivrières, principalement de céréales, de la région semi-aride subsaharienne d’Afrique de l’Ouest. Il synthétise les dernières avancées acquises grâce à plusieurs projets associant le Cirad, l’IRD et leurs partenaires du Sud qui ont été conduits entre 2012 et 2016 dans ces régions. L’ensemble de ces projets s’articulent autour des dynamiques des systèmes agroforestiers et des compromis entre les services de production et les autres services socio-écosystémiques que ces systèmes fournissent

    Effect of rhizobial inoculation on growth of Calliandra tree species under nursery conditions

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    A nursery experiment was conducted in un-sterilized soil in Senegal using six Calliandra species or provenances inoculated with a mixture of seven rhizobial strains. Plant growth was assessed periodically at 1, 2, 3, 12 and 18 months whereas nodulation, shoot and root dry weights were assessed at 12 and 18 months after planting (MAP). Un-inoculated seedlings of all the six species died at 12 months after planting. Results of growth assessments were variable with significant differences (P < 0.05) between C. calothyrsus Meissn provenances (Flores and San Ramón) and C. juzepczukii Standley in height at 1, 2 and 3 MAP. Shoot dry weights of San Ramón provenance of C. calothyrsus Meissn were also significantly different from those of C. acapulcensis (Britton and Rose) Standley and C. longepedicellata (Mc Vaugh) H. Hern and Macqueen at 18 MAP. In contrast, C. glandiflora (L’Her.) Benth grew poorly and did not nodulate. Although rhizobial inoculation improved shoot and root dry weights some differences were observed among the Calliandra species in response to the inoculation, which suggested the occurrence of interaction between the rhizobial strains and the host plant species tested

    Ectomycorrhization of Acacia holosericea A. Cunn. ex G. Don by Pisolithus spp. in Senegal : effect on plant growth and on the root- knot nematode Meloidogyne javanica

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    L'effet de symbiotes fongiques ectomycorhiziens, appartenant au genre Pisolithus et isolés au Sénégal, a été étudié sur la croissance de plants d'Acacia holosericea et sur le développement d'un peuplement de nématodes phytoparasites Meloidogyne javanica. Une enquête a été réalisée sur 100 arbres choisis dans différentes plantations de Eucalyptus camaldulensis, Casuarina equisetifolia, Acacia mangium et A. holosericea où trente trois carpophores de Pisolithus spp. ont été prélevés. Le mycélium issu de chaque carpophore a été cultivé en conditions axéniques et chaque souche a été testée pour sa compatibilité avec des plants d'A. holosericea. Seulement 4 isolats ont induit la formation d'ectomycorhizes en conditions axéniques. Dans une expérience conduite en serre avec A. holosericea, une souche, COI 024, a stimulé la croissance de la plante hôte et inhibé la multiplication de Meloidogyne javanica. Les mécanismes susceptibles d'être à l'origine de ces phénomènes sont discutés et les effets bénéfiques potentiels du recours à la mycorhization contrôlée dans les programmes agroforestiers sont exposés. (Résumé d'auteur
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