23 research outputs found

    « Moṭāle‘e-yī sāz-šenāḫtī dar resālāt va negāre-hā-ye mūsīqāyī-e teymūrī ». Faṣl-nāme-ye mūsīqī-ye Māhūr, n° 24, (été 2004), pp. 61-98. [Etude sur l’organologie à partir des traités et des miniatures de l’époque timouride]

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    Cet article en deux parties étudie les instruments de musique de l’époque timouride et leurs usages. Dans la première partie, l’A. décrit ces instruments en se basant sur les traités de l’époque, particulièrement sur ceux d’‘Abdolqāder Marāqī, pour s’occuper ensuite, dans la deuxième partie, des situations dans lesquelles ils étaient joués. La richesse organologique de l’époque est frappante. Certaines informations sont particulièrement intéressantes, notamment celle concernant l’utilisation ..

    « Īqā‘āt-e Fārābī : Tarjome-ye ketāb al-Īqā‘āt, nevešte-ye Abū Naṣr Fārābī ». Tarjome-ye ‘Abdollāh Gorjī, Faṣl-nāme-ye mūsīqī-ye Māhūr, n° 23, (printemps 2004), pp. 9-49. [Iqâ’ât de Fârâbi : Traduction du livre Iqâ’ât, écrit par Abu Nasr Fârâbi]

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    La traduction en persan d’un des traités les plus important sur le système rythmique de la tradition musicale savante du Moyen Orient, écrit par le grand philosophe musulman Abū Naṣr Fārābī. C’est pour la première fois que les persanophones peuvent avoir accès à cette œuvre-clé de Fārābī où les principes rythmiques de l’ancienne musique irano-arabo-turque sont expliqués de façon beaucoup plus claire que ce que l’on peut lire dans le grand livre de musique (ketāb al-musīqī al-kabīr) de ce phil..

    « Taškīlāt-e mūsīqī-ye darbār-e ṣafavī ». Faṣl-nāme-ye mūsīqī-ye Māhūr, n° 17, (automne 2002), pp. 31-54. [L’administration de la cour safavide concernant la musique]

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    L’A. nous présente le naqqāre-ḫāne de la cour safavide, instance officielle de l’époque qui s’occupait de toutes les affaires musicales de la capitale. Nous savons que le naqqāre-ḫāne comportait quatre catégories différentes de musique : celui de la musique annonciatrice d’un événement, celui de la musique de chambre, celui de la musique religieuse et, enfin, celui de la musique de divertissement. L’A. étudie le rôle de chaque groupe ainsi que la hiérarchie administrative de cette organisation

    « Mohājerat-e mūsīqīdānān-e dowrān-e ṣafavī be Hend ». Faṣl-nāme-ye mūsīqī-ye Māhūr, n° 16, (été 2002), pp. 69-81. [L’émigration des musiciens de l’époque safavide en Inde]

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    L’A. distingue deux périodes d’émigration des musiciens iraniens de l’époque safavide en Inde : la première, de 907/1501 à 996/1587 et la deuxième, de 996/1587 à 1135/1722. Selon lui, il y a eu plusieurs raisons à ces émigrations, mais on n’en a généralement indiqué, à tort, qu’une seule : l’hostilité des Safavides envers la musique, ce qui se vérifie plutôt pour le règne de Šāh Ṭahmāsb, appartenant à la première période

    « Resāle-ye ⁽elm-e mūsīqī, āṯār-e Mīr Ṣadr al-dīn Moḥammad Qazvīnī ». Faṣl-nāme-ye mūsīqī-ye Māhūr, n° 18, (hiver 2002), pp. 81-96. [Traité sur la science de la musique, écrit par Mīr Ṣadr al-dīn Moḥammad Qazvīnī]

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    C’est le texte édité d’un traité de musique de l’époque safavide. L’éditeur a utilisé le microfilm n° 1150 de la Bibliothèque Centrale de l’Université de Téhéran présentant le manuscrit le plus ancien de ce traité (daté de 1008/1599), préservé dans le recueil 2827 MS. Whinfield de la bibliothèque Bodléienne d’Oxford. Ce traité comporte cinq chapitres plus une préface et une postface, respectivement sur les origines de la musique et les formes musicales. Les chapitres traitent des maqām, des š..

    « Sāḫtār-e gām-e belqovve dar mūsīqī-ye dowrān-e Teymūrī». Faṣl-nāme-ye mūsīqī-ye Māhūr, n° 18, (hiver 2002), pp. 97-112. [La structure de la gamme dans la musique de l’époque timoride]

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    L’A. compare la gamme proposée par Ṣafī al-dīn Ormavī et celle proposée par ⁽Abdolqāder Marāġī. Il conclut que cette dernière gamme, compte tenu de la variété de son septième degré, est plus rationnelle que celle de Ṣafī al-dīn

    « Īqā‘āt-e Fārābī : Tarjome-ye ketāb al-Īqā‘āt, nevešte-ye Abū Naṣr Fārābī ». Tarjome-ye ‘Abdollāh Gorjī, Faṣl-nāme-ye mūsīqī-ye Māhūr, n° 23, (printemps 2004), pp. 9-49. [Iqâ’ât de Fârâbi : Traduction du livre Iqâ’ât, écrit par Abu Nasr Fârâbi]

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    La traduction en persan d’un des traités les plus important sur le système rythmique de la tradition musicale savante du Moyen Orient, écrit par le grand philosophe musulman Abū Naṣr Fārābī. C’est pour la première fois que les persanophones peuvent avoir accès à cette œuvre-clé de Fārābī où les principes rythmiques de l’ancienne musique irano-arabo-turque sont expliqués de façon beaucoup plus claire que ce que l’on peut lire dans le grand livre de musique (ketāb al-musīqī al-kabīr) de ce phil..

    Le chanteur silencieux. Un aperçu général de la vie musicale en Iran

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    Depuis quelques années la vie musicale de l'Iran a radicalement changé. La musique classique iranienne n'est plus la seule musique tolérée par les autorités qui, naguère, sans recourir aux discours moraux ne pouvaient pas approuver un art dont la légitimité était très discutée en islam. La "pop music" iranienne, vue jadis comme le symbole de l'invasion culturelle du pays par l'Occident, renaît à l'intérieur des frontières pour rivaliser avec son homologue losânjelesi (de Los Angeles), genre qui défiait, depuis la révolution islamique, la sobriété de la conception musicale des autorités. Ce changement est dû aux nécessités sociales et artistiques. Pour les uns, la musique classique iranienne s'est montrée limitée sur le plan d'expressivité musicale et, pour les autres, son hégémonie dictatoriale, négligeant la pluralité des goûts, pourrait nuire à la santé culturelle de la société. La vie musicale d'aujourd'hui n'est donc plus comme celle d'il y a quatre ou cinq ans. La quantité de la production musicale, des livres, des articles, des émissions radio-télévisées sur la musique, des concerts et des festivals, de même que la diversité des genres musicaux sont incomparables avec celles d'avant le changement. Mais il manque à cette vie la spontanéité et la vivacité car elle est toujours contrôlée, la légitimité de la musique n'étant pas encore approuvée officiellement et sans réserve

    Le chanteur silencieux. Un aperçu général de la vie musicale en Iran

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    Depuis quelques années la vie musicale de l'Iran a radicalement changé. La musique classique iranienne n'est plus la seule musique tolérée par les autorités qui, naguère, sans recourir aux discours moraux ne pouvaient pas approuver un art dont la légitimité était très discutée en islam. La "pop music" iranienne, vue jadis comme le symbole de l'invasion culturelle du pays par l'Occident, renaît à l'intérieur des frontières pour rivaliser avec son homologue losânjelesi (de Los Angeles), genre qui défiait, depuis la révolution islamique, la sobriété de la conception musicale des autorités. Ce changement est dû aux nécessités sociales et artistiques. Pour les uns, la musique classique iranienne s'est montrée limitée sur le plan d'expressivité musicale et, pour les autres, son hégémonie dictatoriale, négligeant la pluralité des goûts, pourrait nuire à la santé culturelle de la société. La vie musicale d'aujourd'hui n'est donc plus comme celle d'il y a quatre ou cinq ans. La quantité de la production musicale, des livres, des articles, des émissions radio-télévisées sur la musique, des concerts et des festivals, de même que la diversité des genres musicaux sont incomparables avec celles d'avant le changement. Mais il manque à cette vie la spontanéité et la vivacité car elle est toujours contrôlée, la légitimité de la musique n'étant pas encore approuvée officiellement et sans réserve

    « Šarḥī az yek marāsem-e zār ». Faṣl-nāme-ye mūsīqī-ye Māhūr, n° 25, (automne 2004), pp. 137-151. [La description d’une cérémonie de zâr]

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    La description détaillée d’une cérémonie de « zār » qui a eu lieu à Bandar Abbas en avril 2004. En évitant toute sorte d’interprétation et en se limitant à une description minutieuse de l’événement, l’A. donne d’assez riches informations sur le déroulement de cette cérémonie d’exorcisme, associée à la musique, dans le Sud de l’Iran
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