37 research outputs found

    Qualité de vie après promontofixation coelioscopique (impact de certains choix techniques chirurgicaux)

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    Objectif : Evaluer l impact en termes de qualité de vie et de sexualité de certains choix techniques chirurgicaux dans le traitement du prolapsus par promontofixation coelioscopique : Influence du nombre de prothèses, des matériaux et des moyens de fixation prothétique ou de la réalisation d une hystérectomie dans le même temps opératoire. Patientes et Méthodes : Etude rétrospective multicentrique de 128 patientes ayant eu un prolapsus traité par promontofixation coelioscopique entre 2005 et 2010. La qualité de vie et la sexualité étaient estimées à l aide des versions françaises des auto-questionnaires PFDI 20, PFIQ 7 et PISQ 12. Résultats : 90 patientes ont répondu. Dans 18% des cas une seule prothèse était mise en place contre deux dans 82% des cas. Dans 45% des cas la prothèse était en polyester et dans 55% des cas en polypropylène. Dans 70% des cas la fixation prothétique était réalisée par fils seuls et par agrafes dans les autres cas. Parmi les 81 femmes qui avaient encore leur utérus, 20% ont eu une hystérectomie dans le même temps opératoire. Il n y avait pas de différence significative en termes de qualité de vie et de sexualité entre une et deux prothèses, entre polyester et polypropylène, entre suture et agrafage ni entre conservation utérine et hystérectomie. Conclusion : Ce travail confirme les résultats satisfaisants de la promontofixation coelioscopique mais ne permet pas d argumenter scientifiquement le choix de certaines options chirurgicales comme celui des matériaux prothétiques et de leurs moyens de fixation. La mise en place de deux, plutôt qu une, ne génère pas d inconvénient. Pour autant, l hystérectomie de principe ne se justifie pas.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    High quality factor nitride-based optical cavities: microdisks with embedded GaN/Al(Ga)N quantum dots

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    We compare the quality factor values of the whispery gallery modes of microdisks incorporating GaN quantum dots (QDs) grown on AlN and AlGaN barriers by performing room temperature photoluminescence (PL) spectroscopy. The PL measurements show a large number of high Q factor (Q) resonant modes on the whole spectrum which allows us to identify the different radial mode families and to compare them with simulations. We report a considerable improvement of the Q factor which reflect the etching quality and the relatively low cavity loss by inserting QDs into the cavity. GaN/AlN QDs based microdisks show very high Q values (Q > 7000) whereas the Q factor is only up to 2000 in microdisks embedding QDs grown on AlGaN barrier layer. We attribute this difference to the lower absorption below bandgap for AlN barrier layers at the energies of our experimental investigation

    L'éducation et l'aide internationale

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    International audienc

    Prise en charge du prolapsus du fond vaginal posthysterestomie par la technique du hamac transobturateur infracoccygien

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    Objectifs : Le but de notre étude était d'évaluer le succès anatomique et fonctionnel ainsi que les éventuelles muplications de la chirurgie du prolapsus du fond vaginal survenant après hystérectomie par la technique du hamac transobturateur infracoccygien. Matériel et méthode : Il s'agit d'une étude rétrospective reprenant l'ensemble des patientes opérées dans le service d'un prolapsus du fond vaginal après hystérectomie par interposition d'un treillis prothétique. Les treillis prothétiques utilisés était les suivant : Ugytes® (61,1%), Surgipro® (22,2%) et Parietex® (16,7%). Afin de mieux analyser les symptômes fonctionnels associés aux prolapsus et leur éventuelle amélioration ou guérison, nous avons utilisés les autoquestionnaires (ISP et QIP) qui étaient systématiquement remis à toutes nos patientes. Résultats : Nous avons recensé trente-six patientes opérées de cette façon. La moitié a répondu de façon satisfaisante aux autoquestionnaires. La moyenne d'âge des patientes au moment de l'intervention était de 63,3 ans +/- 10,8. Toutes les patientes étaient hystérectomisées et il s'agissait d'un prolapsus récidivé dans 55,6% des cas. La valeur médiane du suivi postopératoire a été de 19 mois. Nous n'avons recensé aucune lésion viscérales peropératoire (vessie, rectum, uretères). Une patiente a été transfusée en postopératoire Le taux de succès anatomique s'élève à 94,4%. Il est statistiquement significatif pour les trois étages (p<0,001). On dénombre deux récidives à type de rectocèles. Si l'on compare les données préopératoires aux données postopératoires, l'amélioration est statistiquement significative pour les items suivants : Inconfort pelvien (p<0,001), IUE (p=0,046), épisodes de nycturie (p=)0,004), signes obstructifs urinaires (p=0,0019), signes dimpériosité mictionnelle (p=0,0089), constipation chronique (p=0,02), dyschésie (p<0,001) et manoeuvres digitales (p=0,028). L'activité sexuelle des patientes s'est améliorée et a été jugée satisfaisante sans dyspareunie dans 58,8% des cas. Elle a été inchangée et jugée non satisfaisante dans 29,4% des cas. Les épisades de dyspareunies ont totalement disparus dans 50% des cas. Lors des différents examens cliniques postopératoires, nous avons noté la présence d'une bride vaginale dans 30,6% des cas. Le toucher vaginal était sensible dans 8,3% des cas et douloureux dans 8,3% des cas. Le taux d'exposition prothétique relevé était de 8,3%. Aucune exposition prothétique n'est survenue avec les nouvelles prothèses Ugytex®. Conclusion : La technique du hamac transobturateur infracoccygien est tout à fait adaptée à la prise en charge du prolapsus du fond vaginal si l'on en croit les succès anatomiques obtenus. Les signes fonctionnels associés au prolapsus sont améliorés dans de nombreux domaines et les autoquestionnaires à notre disposition permettent une meilleure analyse de ces données, ce qui est fort intéressant dans cette pathologie fonctionnelle. Le taux d'exposition prothétique reste similaire aux données de la littérature récente. Une évaluation à plus long terme de notre technique est cependant nécessaire.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    L'aide extérieure à l'éducation en Afrique sub-saharienne est-elle utile ?

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    International audienc

    Correction des troubles de la statique pelvienne par renfort synthétique (évaluation des nouvelles techniques et des matériaux disponibles)

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    Objectifs : Depuis 10 ans, le développement de nouvelles techniques chirurgicales auxquelles nous avons participé, qui ne sont pas à ce jour validées, et de nouveaux matériaux prothétiques pourrait modifier la conception que nous avions de la prise en charge des prolapsus génitaux. Le travail mené dans cette thèse consiste à évaluer ces nouvelles techniques et biomatériaux. Matériel et méthodes : Nous avons revu l'efficacité anatomique et fonctionnelle et la sécurité de ces nouvelles techniques et des prothèses utilisées dans les prolapsus génitaux. Résultats : Le recours à un renfort prothétique améliore de façon significative les résultats dans la cure de prolapsus par voie vaginale notamment la cure de cystocèle. Le passage transobturateur des prothèses sous-vésicales réduit le risque de récidive par rapport aux prothèses libres. La sacrocolpopexie laparoscopique est capable de reproduiree à l'identique les résultats de la sacrocolpopexie abdominale mais avec une morbidité plus faible. Le polypropylène serait le biomatériau le plus adapté à la chirurgie vaginale, car il offre le taux d'exposition prothétique le plus faible. Le grammage doit rester suffisant pour assurer la pérennité de la reconstruction. Le polyester avec un grammage élevé est résistant. Il se rétracte peu et reste élastique contrairement au polypropylène. Conclusion : Il paraît souhaitable de proposer des réparations de type sacrocolpopexie chez les femmes jeunes avec du polyester à pores larges et de fort grammage. Il faut réserver la chirurgie prothétique par voie vaginale aux patientes les plus âgées, peu actives sexuellement, avec du polypropylène à pores larges et de fort grammage. Il faut savoir adapter nos techniques de cure de prolapsus aux biomatériaux dont nous disposons et non l'inverse.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Cure chirurgicale des prolapsus génitaux-urinaires selon la technique du hamac trans-obturateur infra-coccygien (résultats des 104 premiers cas)

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    Objectif : Evaluer l'efficacité et la morbidité à court et moyen terme d'une nouvelle technique chirurgicale mise au point dans notre service et basée sur l'utilisation d'un seul treillis prothétique à amarrage trans-obturateur et infraccocygien, sans geste urinaire associé, dans le traitement par voie vaginale du prolapsus génito-urinaire associé ou non à une incontinence urinaire. Matériels et méthodes : Etude rétrospective unicentrique et continue, réalisée dans le service de Gynécologie-Obstétrique du CHU de Rouen, pendant 40 mois. Le critère d'inclusion était la réalisation d'une cure chirurgicale de prolapsus, quelque soit le ou les étages concernés, par voie vaginale à l'aide d'un treillis prothétique, selon la technique mise au point au sein du service. Résultas : 104 patientes d'âge moyen de 65 ans ont été incluses. 29,8% avait un antécédent chirurgical de cure de prolapsus et 44,2% un antécédent d'hystérectomie . Le taux de succès objectif a été de 96,8% pour un recul moyen de 9,8 mois et un taux d'évènements indésirables majeures de 1,9%. Le taux d'échec a été de 3,2% ( 2,1% de récidive et 1,1% de décompensation) intéressant uniquement l'étage postérieur. 87,2 % des patientes ayant une incontinence urinaire ont été guéries ou nettement améliorées avec la seule cure de prolapsus. Les taux d'extériorisation, la plaie viscérale, d'hématomes, d'infections, d'accidents thrombo-embolique et de douleur post-opératoire ont été respectivement de 15,0%, 0,9%, 1,9%, 4,3%, 0% et de 0,9%. 43% des patientes présentaient une rétraction ou /et rigidité ou/et bride vaginale asymptomatique à l'examen clinique. 20, 4% des patientes ont subi une deuxième intervention chirurgicale : 11,8% pour un parage chirurgical, 3,2% pour une récidive de prolapsus et 5,4% pour une cure d'incontinence urinaire d'effort. Conclusion : L'interposition d'un treillis prothétique à amarrage trans-obturateur et infracoccygien par voie trans-vaginale est efficace à court terme pour le traitement des prolapsus génitaux et de l'incontinence urinaire pour un taux de complications comparables aux autres techniques chirurgicales. D'autres évaluations sont nécessaires pour déterminer l'efficacité et l'innocuité à long terme de cette nouvelle technique chirurgicale.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Prise en charge de la contraception orale par le médecin généraliste en Haute-Normandie

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    ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Hystérectomie totale pour pathologies bénignes de l'utérus hors prolapsus (quelle voie d'abord chopisir? A propos de 198 cas au CHU de Rouen)

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    L'hystérectomie totale pour pathologie bénigne hors prolapsus est une des interventions les plus pratiquées dans le monde. L'objectif de cette étude est d'évaluer les différentes voies d'abord de cette intervention afin de déterminer quelle est la technique la plus appropriée entre la voie vaginale, cœlioscopique et laparotomique. Patientes et méthodes : Nous avons étudié de manière rétrospective 198 patientes opérées dans le service de Gynécologie-Obstétrique du CHU de Rouen pendant 26 mois. Nous avons comparé les caractéristiques des patientes, leurs antécédents chirurgicaux. Concernant l'intervention, nous avons comparé la durée opératoire, les pertes sanguines, le poids des pièces opératoires, les complications per et post opératoires, la durée d'hospitalisation, la douleur post-opératoire et la reprise du transit intestinal. 104 hystérectomies par voie vaginale (HVB), 64 hystérectomies par voie coelioscopique dont 43 par voie coelioscopique exclusive (HC) et 21 par voie coelio-préparée (HCP), et 30 hystérectomies par voie laparotomique ont été effectuées. Les patientes opérées par voie vaginale ont moins d'antécédents chirurgicaux adhésiogènes que les autres voies (p<Q03). La parité, l'indice de masse corporelle (IMC) et le pourcentage d'antécédent de césarienne ne sont pas significativement différents pour les trois voies d'abord. Par voie vaginale, le taux d'annexectomies bilatérales est plus faible (p<0,002), l'adhésiolyse est moins fréquente (p<0,001) et la durée d'intervention plus courte (p<0,0001) que pour les autres voies. Les pertes sanguines sont équivalentes entre les trois voies d'abord. Le poids moyen des pièces opératoires est plus élevé par voie laparotomique que pour les voies vaginale et cœlioscopique (p<0,001). Il n'a pas été montré de différence significative entre les trois voies concernant les complications per et post-opératoires. La durée d'hospitalisation et la reprise du transit intestinal sont plus faibles par voie vaginale et coelioscopique que par voie laparotomique (p<0,001). La douleur post-opératoire semble plus faible par voie cœlioscopique que par voie vaginale et laparotomique (p<Q004 et 0,047). Conclusion : La voie laparotomique est plus morbide que les autres voies d'abord ; elle est réservée aux contre-indications des voies vaginale et caelioscopique. Ces deux dernières sont équivalentes entre elles lorsqu'elles sont pratiquées par des chirurgiens expérimentés. La coelioscopie trouve son intérêt dans l'exploration de douleurs, d'une pathologie annexielle et lorsqu'il existe des antécédents chirurgicaux adhésiogènes.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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