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CONTROLE DE L'EXPRESSION DES NUCLEOTIDES CYCLIQUES PHOSPHODIESTERASES DE TYPE 4 DANS LE MUSCLE LISSE UTERIN AU COURS DE LA GROSSESSE
PRINCIPALE CAUSE DE MORTALITE ET DE MORBIDITE NEONATALES, LA PREMATURITE DEMEURE UN PROBLEME MAJEUR DE SANTE PUBLIQUE, S'EXPLIQUANT EN PARTICULIER PAR DES STRATEGIES DE PRISE EN CHARGE MEDICALES A LA FOIS LIMITEES ET DECEVANTES. FACE A CETTE SITUATION, NOTRE APPROCHE CONSISTE A DEFINIR AU SEIN DE LA FAMILLE DES NUCLEOTIDES CYCLIQUES PHOSPHODIESTERASES DE TYPE 4 (PDE4), UN SITE D'ACTION SELECTIF ET EFFICACE POUR DE NOUVEAUX AGENTS RELAXANTS DU MUSCLE LISSE UTERIN, LE MYOMETRE. LA FAMILLE PDE4 CATALYSE LA DEGRADATION DE L'AMPC, UN SECOND MESSAGER IMPLIQUE DANS LA RELAXATION DU MYOMETRE. SON INHIBITION ENTRAINE IN VITRO LE RELACHEMENT DU MYOMETRE HUMAIN. CETTE FAMILLE COMPREND DE MULTIPLES ISOFORMES, EXPRIMEES DIFFERENTIELLEMENT SELON LE TYPE CELLULAIRE. AU COURS DE CE TRAVAIL, NOUS AVONS MIS EN EVIDENCE L'INDUCTION DU SOUS-TYPE PDE4B2 DANS LE MYOMETRE HUMAIN A TERME. NOUS AVONS MONTRE QUE LA SYNTHESE ACCRUE DE PDE4B2, MAIS AUSSI DE PDE4D1 ET 4D2, PEUT ETRE LA CONSEQUENCE D'UNE ELEVATION SOUTENUE DE L'AMPC SOUS L'ACTION D'EFFECTEURS DE LA MOTILITE UTERINE TELLE LA PROSTAGLANDINE E 2. CE RETRO-CONTROLE PARTICIPE A LA MISE EN PLACE D'UNE DESENSIBILISATION DE L'ACTIVATION DE LA VOIE DE DE TRANSDUCTION DE L'AMPC EN CAS DE STIMULATION CONTINUE. AINSI, NOUS AVONS OBSERVE DANS LE MYOMETRE A TERME QUE LES PDE4 INTERVIENNENT DANS LE PROCESSUS DE DESENSIBILISATION AUX AGENTS UTERO-RELAXANTS DONT LA TRANSDUCTION DU SIGNAL NECESSITE UNE AUGMENTATION D'AMPC, TELS LES AGONISTES 2-ADRENERGIQUES. NOUS AVONS, DE PLUS, IDENTIFIE QUE LES PDE4 IMPLIQUEES DANS LA CONTRACTION PRESENTENT UNE CONFORMATION DIFFERENTE EN FIN DE GESTATION. L'ENSEMBLE DE CES RESULTATS NOUS PERMETTENT D'ENVISAGER L'UTILISATION DE COMPOSES INHIBITEURS DE PDE4, SELECTIFS D'UN SOUS-TYPE ET/OU D'UNE CONFORMATION DE PDE4 COMME AGENTS UTERO-RELAXANTS, SEULS OU EN ASSOCIATION AVC DES AGONISTES 2-ADRENERGIQUES DANS LE TRAITEMENT DE LA MENACE D'ACCOUCHEMENT PREMATURE.PARIS7-Bibliothèque centrale (751132105) / SudocSudocFranceF
Un modèle semi-paramétrique pour variables fonctionnelles : la régression inverse fonctionnelle
TOULOUSE3-BU Sciences (315552104) / SudocSudocFranceF
A method for quantifying insulin sensitivity in vivo in the anesthetized rat : the euglycemic insulin clamp technique coupled with isotopic measurement of glucose turnover
International audienc
Influence of Feeding Types during the First Months of Life on Calciuria Levels in Healthy Infants: A Secondary Analysis from a Randomized Clinical Trial
Background/Aims: Dietary factors can modify calciuria. We aim to investigate urinary calcium excretion in healthy infants according to their protein. Methods: Secondary data analysis from a randomized clinical trial where healthy term infants were randomized after birth to a higher (HP) or lower (LP) protein content formula that was consumed until age 1 year. A non-randomized group of breastfed (BF) infants was used for reference. Anthropometry, dietary intakes and calciuria (calcium/creatinine ratios) from spot urine samples were assessed at ages 3 and 6 months. At 6 months, the kidney volumes were assessed using ultrasonography, and the serum urea and creatinine levels were determined. Results: BF infants showed the highest calciuria levels, followed by the HP and the LP groups (p < 0.001 for all comparisons). Either protein intakes or formula types modulated the calciuria in linear regression models adjusted for other influencing dietary factors. The usual cut-off values classified 37.8% (BF), 16.8% (HP) and 4.9% (LP) of the infants as hypercalciuric. Conclusions: Feeding types during the first months of life affect calciuria, with BF infants presenting the highest levels. We propose new cut-off values, based on feeding types, to prevent the overestimation in hypercalciuria diagnoses among BF infants.0SCOPUS: ar.jinfo:eu-repo/semantics/publishe
Grande prématurité : dépistage et prévention du risque
En France, en 1995, d'après les données de l'enquête nationale périnatale, environ 9 000 enfants sont nés grands prématurés (avant 33 semaines), dont 6 500 à 7 000 nés vivants. Ces enfants représentaient 1,2 % des naissances totales et 0,9 % des naissances vivantes. Les 2 500 grands prématurés mort-nés représentent la moitié des enfants mort-nés. Parmi ces enfants grands prématurés 15 % étaient issus de grossesses multiples, 45 % étaient des naissances décidées pour raison médicale liée à une pathologie fœtale ou plus rarement maternelle, et 40 % étaient des naissances prématurées spontanées.La grande prématurité occasionne environ 30 % des séquelles motrices observées dans la petite enfance. La venue au monde de ces grands prématurés atteints de séquelles graves entraîne des bouleversements considérables tant pour les familles que pour la société. Le taux de survie des enfants considérés comme à la limite de la viabilité et la prévalence des handicaps neurologiques et intellectuels dus à la grande prématurité sont fortement influencés par les attitudes éthiques des équipes médicales et par l'arbre décisionnel adopté dans la chaîne de soins. Ces attitudes et décisions font l'objet de variations importantes entre pays développés, entre régions d'un même pays et même entre réseaux de soins au sein d'une même région. Tous ces éléments justifient de considérer la Mande prématurité comme un problème de santé publique, d'en déterminer les Pauses accessibles à une prévention et d'optimiser l'accès aux soins, en particulier par le transfert, avant l'accouchement, des femmes à risque d'accouchement très prématuré dans des unités mère-enfant hautement spécialisées.La prématurité se définit par une durée de gestation et nonpar un poids de naissanceEst prématurée toute naissance qui survient avant 37 semaines accomplies d'aménorrhée. Au sein de cette prématurité globale, il est habituel de distinguer une prématurité moyenne (33 à 36 semaines d'aménorrhée + 6 jours), une grande prématurité (28 à 32 semaines + 6 jours) et une très grande prématurité (inférieure à 28 semaines). Cette classification repose approximativement sur des étapes de maturation fonctionnelle des différents organes. Avant 28 semaines d'aménorrhée (et surtout avant 25-26 semaines), l'immaturité est extrême, l'homéostasie générale de l'organisme est difficile à maintenir, le pronostic vital est constamment engagé et l'avenir neurologiqueincertain. Entre 28 et 32 semaines, les taux de survie sont voisins de 80 %, mais 10 à 20 % des survivants sont menacés de séquelles liées à une sensibilité particulière de certaines régions cérébrales à des phénomènes neuro-toxiques qui font actuellement l'objet d'études physiopathologiques et préventives. Enfin, au-delà de 32 semaines, le pronostic vital et cérébral est généralement bon, sous réserve d'une prise en charge médicale adaptée, témoignant ainsi d'une réelle capacité d'adaptation du prématuré à l'environnement extra-utérin.Si l'âge gestationnel est l'élément principal du pronostic,le poids de naissance, reflet de la croissance in utero, en est un élément indépendant et supplémentaire. A âge gestationnel égal, un retard de croissance intra-utérin augmente les risques de mortalité, de morbidité et de séquelles, en raison de l'anoxie chronique, de la malnutrition cérébrale et des causes mêmes qui ont provoqué le retard de croissance intra utérin. Vingt à 30 % des grands prématurés souffrent également d'un retard de croissance intra utérin. L'étiologie de ce problème de croissance est dans la très grande majorité des cas liée à une pathologie vasculaire placentaire (dans le cadre des toxémies gravidiques), qui a provoqué une extraction très prématurée, décidée pour éviter l'anoxie cérébrale ou la mort fœtale in utero..
Reduced bone mass in 7-year-old children with asymptomatic idiopathic hypercalciuria
Background: Idiopathic hypercalciuria (IHC), i.e. an elevated urinary calcium excretion without concomitant hypercalcemia, is a common disorder in children and can have a range of urinary clinical presentations and decreased bone mineral density (BMD).SCOPUS: ar.jEuropean Childhood Obesity Project Group.info:eu-repo/semantics/publishe
Fish consumption in mid-childhood and its relationship to neuropsychological outcomes measured in 7–9 year old children using a NUTRIMENTHE neuropsychological battery
Background Long-chain polyunsaturated fatty acids (LCPUFA), particularly n-3 LCPUFA, play a central role in neuronal growth and the development of the human brain. Fish is the main dietary source of n-3 LCPUFA. To assess the relation between fish consumption, estimated dietary n-3 LCPUFA intake and cognition and behaviour in childhood in a multi-centre European sample. Methods Children from 2 European studies, CHOP and NUHEAL, were assessed at 8 and 7.5 years of age, respectively. Different outcomes of neuropsychological development (assessed with the standardized NUTRIMENTHE Neuropsychological Battery (NNB) consisting of 15 subtests) were related with outcomes from a food-frequency questionnaire (FFQ) focussing on the consumption of fish. Results A total of 584 children completed the FFQ and the neuropsychological tests. We found no associations with calculated DHA or EPA intakes for any of the neuropsychological domains. Children who consumed 2 fish meals per week including one of fatty fish, showed no substantive differences in the cognitive domains from the children who did not. However negative associations with fatty fish consumption were found for social problems (p\ua0=\ua00.019), attention problems (p\ua0=\ua00.012), rule-breaking problems (p\ua0=\ua00.019) and aggressive behaviour problems (p\ua0=\ua00.032). No association was observed with internalizing problems. Higher levels of externalizing problems (p\ua0=\ua00.018) and total problems (p\ua0=\ua00.018) were associated with eating less fatty fish. Conclusions Children who consumed 2 fish meals per week including one of fatty fish were less likely to show emotional and behavioural problems than those who did not