20 research outputs found

    Exigências minerais comparadas de dois cultivares de soja (Glycine max (L.) Merrill): Santa Rosa e UFV-1

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    Macro and micronutrients were determined in the various organs of two soybean cultivars grown in nutrient solution until the period of pod filling. The main conclusions were as follows: (1) there are striking differences between the two cultivars with respect of composition, total absorption and proportion of elements in the pods; (2) Santa Rosa showed higher efficiency for utilization of N, P and K for yield formation.Plantas de soja, cv. Santa Rosa e cv. UFV-1 foram cultivadas em solução nutritiva até a produção de vagens quando foram colhidas e analisadas. A variedade Santa Rosa mostrou-se menos exigente em N, P, K, Ca, Mg, Cu, Fe, Mn e Zn; a exigência de S foi igual e a de Cl maior que a da cv. UFV-1

    LES PERIPHERIES DE L’EPIDEMIE DE VIH EN GUYANE : PARTICULARITES DES ZONES ISOLEES

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    National audienceIntroduction-objectifsBien que la prise en charge de personnes vivant avec le VIH (PVVIH) s’améliore globalement en Guyane, les disparités régionales et communautaires restent importantes. L’objectif est ici de décrire pour la première fois les caractéristiques épidémiologiques, spatiales et cliniques des PVVIH suivies en zones isolées. Matériels et MéthodesLes données présentées sont issues du suivi clinique réalisé en Centres Délocalisés de Prévention et de Soins (CDPS) de janvier 2014 à novembre 2015. Ces données ont été analysées et comparées aux données des PVVIH suivis dans les 3 centres hospitaliers de Guyane issues du logiciel Nadis®.Résultats 174 PVVIH ont étés pris en charge en CDPS et comparés à 2143 patients suivis sur le littoral. L’évolution du taux annuel de découvertes de séropositivité VIH montre une arrivée plus tardive mais particulièrement active en zones isolées par rapport au littoral, notamment chez les patients d’origine brésilienne (p<0,005). L’âge médian est de 43,8 ans, le sex ratio homme/femme est de 0,98. En zone isolées comme sur le littoral 1/3 des PVVIH sont dépistés tardivement (<200 CD4/mm3). Le succès virologiques après 6 mois de traitement est de 80% vs 88% sur le littoral (p=0,135), la moyenne des derniers CD4 (424 vs 569/mm3) est plus basse que sur le littoral (p<0,005) enfin la charge virale moyenne est plus élevée que sur le littoral (8960 vs 5317 copies /mL) (p<0,005). L’histoplasmose est la première cause d’infection opportuniste retrouvée. La répartition spatiale des patients suivis montre une incidence et prévalence de cas particulièrement élevée dans les villes frontalières charnières que constituent Maripasoula et Saint Georges de l’Oyapock. ConclusionLe caractère particulièrement actif et original de l’épidémie et les indicateurs de suivi moins bons que sur le littoral rappellent l’importance de compléter les moyens de la prise en charge des PVVIH en zones isolées en Guyane

    LES PERIPHERIES DE L’EPIDEMIE DE VIH EN GUYANE : PARTICULARITES DES ZONES ISOLEES

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    National audienceIntroduction-objectifsBien que la prise en charge de personnes vivant avec le VIH (PVVIH) s’améliore globalement en Guyane, les disparités régionales et communautaires restent importantes. L’objectif est ici de décrire pour la première fois les caractéristiques épidémiologiques, spatiales et cliniques des PVVIH suivies en zones isolées. Matériels et MéthodesLes données présentées sont issues du suivi clinique réalisé en Centres Délocalisés de Prévention et de Soins (CDPS) de janvier 2014 à novembre 2015. Ces données ont été analysées et comparées aux données des PVVIH suivis dans les 3 centres hospitaliers de Guyane issues du logiciel Nadis®.Résultats 174 PVVIH ont étés pris en charge en CDPS et comparés à 2143 patients suivis sur le littoral. L’évolution du taux annuel de découvertes de séropositivité VIH montre une arrivée plus tardive mais particulièrement active en zones isolées par rapport au littoral, notamment chez les patients d’origine brésilienne (p<0,005). L’âge médian est de 43,8 ans, le sex ratio homme/femme est de 0,98. En zone isolées comme sur le littoral 1/3 des PVVIH sont dépistés tardivement (<200 CD4/mm3). Le succès virologiques après 6 mois de traitement est de 80% vs 88% sur le littoral (p=0,135), la moyenne des derniers CD4 (424 vs 569/mm3) est plus basse que sur le littoral (p<0,005) enfin la charge virale moyenne est plus élevée que sur le littoral (8960 vs 5317 copies /mL) (p<0,005). L’histoplasmose est la première cause d’infection opportuniste retrouvée. La répartition spatiale des patients suivis montre une incidence et prévalence de cas particulièrement élevée dans les villes frontalières charnières que constituent Maripasoula et Saint Georges de l’Oyapock. ConclusionLe caractère particulièrement actif et original de l’épidémie et les indicateurs de suivi moins bons que sur le littoral rappellent l’importance de compléter les moyens de la prise en charge des PVVIH en zones isolées en Guyane

    TEMPERATURE AND MAGNETIC FIELD DEPENDENCE OF MAGNETIC CORRELATIONS IN THE HEAVY FERMION COMPOUND CeCu6

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    Inelastic neutron scattering experiments have been performed on the heavy fermion compound CeCu6 at very low temperatures (T >≈ 20 mK) and under magnetic fields up to 50 kOe. The analysis of the data shows that the magnetic scattering is the superposition of a single site contribution of Lorentzian type and of a broadened inelastic contribution associated with AF correlations. These correlations saturate below T ~ 1.5 - 2 K (~TK/2) and are completely destroyed above 40 kOe
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