25 research outputs found

    Does input trade liberalization boost downstream firms’ exports? Theory and firm-level evidence

    Get PDF
    We analyze the impact of input tariffs on the export status and export performance of heterogeneous processing firms. Using a theoretical model with downstream firms exhibiting different levels of productivity, we show that lower input tariffs may increase the export sales of high-productivity firms at the expense of low-productivity firms and may decrease the probability of firms entering foreign markets. We compare the predictions of the theoretical model with firm-level data from the French agrifood sector by developing a two-stage estimation procedure that uses an equation for selection into export markets in the first stage and an exports equation in the second stage. The liberalization of agricultural trade appears to favor the reallocation of market share from low- to high-productivity agrifood firms. In addition, our results suggest that, whether lower input tariffs increase total exports sales (and jobs), a large fraction of the least productive exporting firms may lose from an additional decrease in agricultural input tariffs

    Les fondements nationaux de la spécialisation : les processus d'engagement des branches agro-alimentaires françaises (1970-1989)

    No full text
    Série IAA document de travail ; 92.01 ; Cote de localisation : PAR. CHE 1992/P0186; Diffusion du document : INRA ESR 65 Boulevard de Brandebourg 94205 Ivry Cedex (FRA) 92.01L'instauration prochaine du marché unique européen et la libéralisation totale des échanges qui en résulte doit conduire à une transformation des spécialisations européennes. Dans ce contexte, un état des lieux est nécessaire. Désignant les fondements nationaux de la spécialisation (engagement), des conditions de sa réalisation sur les marchés extérieurs (spécialisation relative), c'est à l'engagement des branches agro-alimentaires françaises que les auteurs s'intéressent dans ce document. Leur objectif est de comprendre les différentes formes d'engagement en combinant analyse statique et dynamique afin de raisonner la spécialisation non pas comme un état mais comme le résultat d'un processus

    Les déterminants de la compétitivité française sur le marché de l'Union européenne : agriculture et industries agro-alimentaires

    No full text
    Diffusion du document : INRA Station d'Economie et Sociologie rurales 65 boulevard de Brandebourg 94205 Ivry Cedex (FRA)National audienceLa stabilité des échanges commerciaux agricoles et agro-alimentaires de la France depuis 1990 est soutenue par le dynamisme des IAA sur les marchés extérieurs. Les échanges se sont progressivement polarisés sur l'Union européenne où se réalisent 70 % du solde commercial et 74 % des exportations. Les déterminants des échanges sont dès lors dépendants des conditions de l'intégration économique européenne qui, tout en dynamisant la concurrence, renouvelle profondément les termes de la compétitivité nationale. Les désavantages collectifs, affectant sur de larges ensembles sectoriels les performances des entreprises, s'amenuisent considérablement et, pour les pays européens les plus industrialisés, des avantages compétitifs de firmes peuvent se manifester durablement dans des secteurs réputés comme étant des points faibles. Dans ce cadre, la compétitivité "hors prix" est de plus en plus mobilisée pour expliquer les gains ou les pertes de part de marché. Les auteurs montrent ici l'influence déterminante, sur les marchés extérieurs des entreprises agro-alimentaires, des composantes hors-prix de la compétitivité : innovation, différenciation des produits et organisation de la firme. Resituées dans la perspective d'un taux de change fixe (monnaie unique), ces conditions structurelles de la compétitivité influenceront plus directement encore la performance extérieure

    Différence et similitude : les deux voies de l'intégration européenne. Les échanges de produits agricoles et agro-alimentaires

    No full text
    International audienceLa transformation des échanges intra-communautaires de produits agricoles et agro-alimentaires met en évidence les chemins empruntés par les mouvements d'intégration des marchés. D'une part ce sont les échanges croisés de produits (voire de produits similaires) qui prédominent et sont majoritaires pour l'agro-alimentaire. D'autre part on assiste à un renforcement des échanges univoques (de spécialisation) pour les produits de l'agriculture par opposition aux produits agro-industriels où ils sont en net retrait. Ainsi deux voies de l'intégration coexistent : celle de l'exploitation des différences entre les pays, qui se manifeste par un renforcement des spécialisations agricoles, et celle qui tire parti des proximités et similitudes nationales en favorisant les échanges croisés de produits dans l'agro-industrie. Signe d'une convergence vers une plus grande similitude des niveaux de développement économique, les échanges croisés de produits marqueraient un réel processus d'intégration des marchés

    Les fondements nationaux de la spécialisation : les processus d'engagement des branches agro-alimentaires françaises (1970-1989)

    No full text
    Série IAA document de travail ; 92.01 ; Cote de localisation : PAR. CHE 1992/P0186; Diffusion du document : INRA ESR 65 Boulevard de Brandebourg 94205 Ivry Cedex (FRA) 92.01L'instauration prochaine du marché unique européen et la libéralisation totale des échanges qui en résulte doit conduire à une transformation des spécialisations européennes. Dans ce contexte, un état des lieux est nécessaire. Désignant les fondements nationaux de la spécialisation (engagement), des conditions de sa réalisation sur les marchés extérieurs (spécialisation relative), c'est à l'engagement des branches agro-alimentaires françaises que les auteurs s'intéressent dans ce document. Leur objectif est de comprendre les différentes formes d'engagement en combinant analyse statique et dynamique afin de raisonner la spécialisation non pas comme un état mais comme le résultat d'un processus

    Différence et similitude : les deux voies de l'intégration européenne. Les échanges de produits agricoles et agro-alimentaires

    No full text
    International audienceLa transformation des échanges intra-communautaires de produits agricoles et agro-alimentaires met en évidence les chemins empruntés par les mouvements d'intégration des marchés. D'une part ce sont les échanges croisés de produits (voire de produits similaires) qui prédominent et sont majoritaires pour l'agro-alimentaire. D'autre part on assiste à un renforcement des échanges univoques (de spécialisation) pour les produits de l'agriculture par opposition aux produits agro-industriels où ils sont en net retrait. Ainsi deux voies de l'intégration coexistent : celle de l'exploitation des différences entre les pays, qui se manifeste par un renforcement des spécialisations agricoles, et celle qui tire parti des proximités et similitudes nationales en favorisant les échanges croisés de produits dans l'agro-industrie. Signe d'une convergence vers une plus grande similitude des niveaux de développement économique, les échanges croisés de produits marqueraient un réel processus d'intégration des marchés

    L'ouverture des marchés agricoles et agro-alimentaires européens : l'incidence pour les expéditions des régions françaises sur les marchés européens

    No full text
    Contrat ; A02047 ; Politique agricole et adaptation de l'agriculture régionale [INRA-DADP ARPENT] Diffusion du document : INRA Laboratoire d'Etudes et de Recherches économiques Rue de la Géraudière BP 71627 44316 Nantes Cedex 03 (FRA)National audienceDepuis les accords de Marrakech à l'Organisation mondiale du commerce (OMC), l'Union européenne (UE) et ses partenaires se sont engagés dans un processus d'ouverture de leurs marchés agricoles et alimentaires. Pour l'UE, ce processus s'accompagne également de l'élargissement à l'Est. Deux enjeux qui transforment l'environnement économique des secteurs agricoles et alimentaires et par-là les conditions de leur compétitivité. L'objet du document est d'appréhender l'incidence de cette ouverture sur les échanges intra-européens et plus particulièrement sur les ventes des régions françaises sur l'Union européenne. Une fois les marchés ouverts, les produits des différentes régions européennes se trouveront-ils en concurrence avec ceux du marché mondial, à la fois sur leur propre marché national et sur le marché européen ? Pour répondre à cette question, deux étapes sont proposées. Il s'agit de mesurer dans un premier temps, le niveau de protection dont bénéficient les producteurs européens et français pour vendre sur le marché européen. Cet état des lieux étant fait, il s'agira, dans un deuxième temps, de simuler les impacts de l'ouverture des marchés en cours de discussion dans le nouveau round des négociations à l'OMC. A partir d'un modèle d'importation dit à "la Armington", modèle qui permet de prendre en compte l'imparfaite substituabilité des produits selon leur origine géographique, l'impact des propositions faites à l'OMC par Harbinson en mars 2003 est estimé pour les exportations des régions françaises sur le marché européen
    corecore