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    Universal Screening of SARS-CoV-2 of Oncology Healthcare Workers — a Brazilian experience

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    The first confirmed case of coronavirus disease 2019 (COVID-19) in Brazil and Latin America was reported on February 26, 2020, in São Paulo. The outbreak of Severe Acute Respiratory Syndrome Coronavirus 2 (SARS-CoV-2) has placed unprecedented strain on health-care services worldwide. Asymptomatic health-care workers (HCW) are a potential source of SARS-CoV-2 transmission, especially to immunocompromised Oncology patients. Screening of these HCWs may help contain transmission and isolate only those who require it. At Centro de Terapia Oncológica (CTO), an Oncology clinic in Petrópolis, RJ —Brazil, all HCWs were screened for SARS-CoV-2 in order to isolate those who were asymptomatic/symptomatic and positive for the virus. They were all tested through IgM/IgG rapid testing and those who had symptoms were also tested with nasopharyngeal swabs for reverse transcription polymerase chain reaction (RT-PCR) tests besides IgM/IgG reactivity. Amongst the 60 tested employees, 4 were positive for SARS-CoV-2 and were isolated. This method may be useful for health-care services to detect asymptomatic HCW and maintain workers’ and patients’ health, as transmission probability could be reduced while avoiding becoming short-staffed during this time of crisis

    Avis révisé de l’Anses relatif à la mise à jour des référentiels d’évaluation pour les housses et cuvettes funéraires, pour les cercueils hermétiques et les dispositifs épurateurs de gaz

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    Citation suggérée : Anses. 2024. Mise à jour des référentiels d’évaluation pour les housses et cuvettes funéraires, pour les cercueils hermétiques et les dispositifs épurateurs de gaz (saisine 2020-SA-0180) , Maisons-Alfort: Anses , 40p.Les articles R. 2213-15 et R. 2213-27 du Code général des collectivités territoriales (CGCT) stipulent les éléments suivants :Art. R. 2213-15 du CGCT :Avant son inhumation ou sa crémation, le corps d'une personne décédée est mis en bière. La housse imperméable éventuellement utilisée pour envelopper le corps avant sa mise en bière est fabriquée dans un matériau biodégradable. Elle doit répondre à des caractéristiques de composition, de résistance et d'étanchéité fixées par arrêté du ministre chargé de la santé après avis de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail et du Conseil national des opérations funéraires.Si la personne décédée est porteuse d'une prothèse fonctionnant au moyen d'une pile, un médecin ou un thanatopracteur procède à son explantation et atteste de la récupération de cette prothèse avant la mise en bière. Toutefois, l'explantation n'est pas requise lorsque la prothèse fonctionnant au moyen d'une pile figure sur la liste fixée par arrêté des ministres chargés de l'intérieur et de la santé après avis du Haut Conseil de la santé publique, au regard des risques présentés au titre de l'environnement ou de la sécurité des biens et des personnes.Cet arrêté peut distinguer selon que la personne fait l'objet d'une inhumation ou d'une crémation.Art. R. 2213-27 du CGCT :Les cercueils hermétiques doivent être en matériau biodégradable et répondre à des caractéristiques de composition, de résistance et d'étanchéité fixées par arrêté du ministre chargé de la santé après avis de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail et du Conseil national des opérations funéraires.Ils doivent ne céder aucun liquide au milieu extérieur, contenir une matière absorbante et être munis d'un dispositif épurateur de gaz répondant à des caractéristiques de composition de débit et de filtration fixées par arrêté du ministre chargé de la santé après avis de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail et du Conseil national des opérations funéraires.Lorsque le défunt était atteint de l'une des infections transmissibles dont la liste est fixée au a de l'article R. 2213-2-1, le corps est enveloppé dans un linceul imbibé d'une solution antiseptique.Avec pour objectif de préciser les caractéristiques évoquées ci-dessus, devant être fixées par arrêté du Ministère chargé de la santé après consultation de l’Anses et du Conseil national des opérations funéraires (CNOF), l’Anses a confié en 2009 au groupe de travail « Agrément des produits de thanatopraxie et matériaux funéraires », la réalisation de deux référentiels d’évaluation :- l’un portant sur les housses et cuvettes funéraires publié en juillet 2010 (saisine n°2009-SA-0340) ;- l’autre portant sur les cercueils hermétiques et dispositifs épurateurs de gaz publié en novembre 2011 (saisine n°2009-SA-0341).Ce groupe de travail était rattaché au CES (Comité d’experts spécialisés) « Évaluation des risques liés aux substances et produits biocides ». Pour chaque caractéristique citée dans les articles du CGCT, le groupe de travail avait retenu des normes d’essais existantes et considérées par les experts comme étant les plus pertinentes (aucune norme ne portant alors spécifiquement sur les matériaux funéraires).Les référentiels ainsi produits devaient servir à la prise de l’arrêté par le Ministère chargé de la santé comme indiqué dans les articles du CGCT mais également de base de réflexion à une commission de normalisation pour l’élaboration de normes spécifiques à ces catégories d’articles funéraires.Cet arrêté n’ayant pas été pris à ce jour et avant qu’il ne le soit, la DGS a saisi l’Anses, en décembre 2020, afin de mettre à jour ces deux référentiels et de prendre en compte de nouveaux éléments techniques tels que les cercueils intégrés réalisés avec un matériau autre que le zinc.[Saisines liées n°2009-SA-0340 et 2009-SA-0341

    Avis de l'Anses relatif à la mise à jour des référentiels d’évaluation pour les housses et cuvettes funéraires, pour les cercueils hermétiques et les dispositifsépurateurs de gaz

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    Citation suggérée : Anses. 2022. Mise à jour des référentiels d’évaluation pour les housses et cuvettes funéraires, pour les cercueils hermétiques et les dispositifs épurateurs de gaz (saisine 2020-SA-0180) , Maisons-Alfort : Anses, 38 p.Les articles R. 2213-15 et R. 2213-27 du Code général des collectivités territoriales (CGCT) stipulent les éléments suivants :Art. R. 2213-15 du CGCT :Avant son inhumation ou sa crémation, le corps d'une personne décédée est mis en bière. La housse imperméable éventuellement utilisée pour envelopper le corps avant sa mise en bière est fabriquée dans un matériau biodégradable. Elle doit répondre à des caractéristiques de composition, de résistance et d'étanchéité fixées par arrêté du ministre chargé de la santé après avis de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail et du Conseil national des opérations funéraires.Si la personne décédée est porteuse d'une prothèse fonctionnant au moyen d'une pile, un médecin ou un thanatopracteur procède à son explantation et atteste de la récupération de cette prothèse avant la mise en bière. Toutefois, l'explantation n'est pas requise lorsque la prothèse fonctionnant au moyen d'une pile figure sur la liste fixée par arrêté des ministres chargés de l'intérieur et de la santé après avis du Haut Conseil de la santé publique, au regard des risques présentés au titre de l'environnement ou de la sécurité des biens et des personnes.Cet arrêté peut distinguer selon que la personne fait l'objet d'une inhumation ou d'une crémation.Art. R. 2213-27 du CGCT :Les cercueils hermétiques doivent être en matériau biodégradable et répondre à des caractéristiques de composition, de résistance et d'étanchéité fixées par arrêté du ministre chargé de la santé après avis de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail et du Conseil national des opérations funéraires.Ils doivent ne céder aucun liquide au milieu extérieur, contenir une matière absorbante et être munis d'un dispositif épurateur de gaz répondant à des caractéristiques de composition de débit et de filtration fixées par arrêté du ministre chargé de la santé après avis de l'Agence nationale de sécurité sanitaire de l'alimentation, de l'environnement et du travail et du Conseil national des opérations funéraires.Lorsque le défunt était atteint de l'une des infections transmissibles dont la liste est fixée au a de l'article R. 2213-2-1, le corps est enveloppé dans un linceul imbibé d'une solution antiseptique.Avec pour objectif de préciser les caractéristiques évoquées ci-dessus, devant être fixées par arrêté du Ministère chargé de la santé après consultation de l’Anses et du Conseil national des opérations funéraires (CNOF), l’Anses a confié en 2009 au groupe de travail « Agrément des produits de thanatopraxie et matériaux funéraires », la réalisation de deux référentiels d’évaluation :- l’un portant sur les housses et cuvettes funéraires publié en juillet 2010 (saisine n°2009-SA-0340) ;- l’autre portant sur les cercueils hermétiques et dispositifs épurateurs de gaz publié en novembre 2011 (saisine n°2009-SA-0341).Ce groupe de travail était rattaché au CES (Comité d’experts spécialisés) « Évaluation des risques liés aux substances et produits biocides ». Pour chaque caractéristique citée dans les articles du CGCT, le groupe de travail avait retenu des normes d’essais existantes et considérées par les experts comme étant les plus pertinentes (aucune norme ne portant alors spécifiquement sur les matériaux funéraires).Les référentiels ainsi produits devaient servir à la prise de l’arrêté par le Ministère chargé de la santé comme indiqué dans les articles du CGCT mais également de base de réflexion à une commission de normalisation pour l’élaboration de normes spécifiques à ces catégories d’articles funéraires.Cet arrêté n’ayant pas été pris à ce jour et avant qu’il ne le soit, la DGS saisi l’Anses, en décembre 2020, afin de mettre à jour ces deux référentiels et de prendre en compte de nouveaux éléments techniques tels que les cercueils intégrés réalisés avec un matériau autre que le zinc.[Saisines liées n°2009-SA-0340 et 2009-SA-0341

    Health-related quality of life outcomes in head and neck cancer : results from a prospective, real-world data study with Brazilian patients treated with intensity modulated radiation therapy, conformal and conventional radiation techniques

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    Purpose: To compare global health-related quality of life (HRQoL) and overall survival (OS) in patients with head and neck cancer treated with intensity modulated radiation therapy (IMRT), conformal radiation therapy (3DCRT) or conventional ra- diation therapy (2DRT). Methods and Materials: In this real-world, multi-institutional and prospective study, HRQoL outcomes were assessed using the European Organisation for Research and Treatment of Cancer Quality-of-life Questionnaire Core 30 (EORTC QLQ-C30) and European Organisation for Research and Treatment of Cancer Quality-of-life Questionnaire Head and Neck 43 (H&N43) questionnaires. Item response theory was used to generate a global HRQoL score, based on the 71 questions from both forms. The effect of treatment modality on HRQoL was studied using multivariate regression analyses. Survival was estimated using the Kaplan-Meyer method, and groups were compared by the log-rank test. Results: Five hundred and seventy patients from 13 institutions were included. Median follow-up was 12.2 months. Concern- ing the radiation technique, 29.5% of the patients were treated with 2DRT, 43.7% received 3DCRT, and 26.8% were treated with IMRT. A higher proportion of patients receiving 2DRT had a treatment interruption of more than 5 days (69% vs 50.2% for 3DCRT and 42.5% for IMRT). IMRT had a statistically significant positive effect on HRQoL compared with 3DCRT (bZ 2.627, standard error Z 0.804, P Z .001) and 2DRT had a statistically significant negative effect compared with 3DCRT (bZ 5.075, standard error Z 0.926, P < .001). Patients receiving 2DRT presented a worse OS (P Z .01). There were no differences in OS when IMRT was compared with 3DCRT. Conclusions: IMRT provided better HRQoL than 3DCRT, which provided better HRQoL than 2DRT. Patients receiving 2DRT presented a worse OS, which might be related to more frequent treatment interruptions. Ă“ 2020 Elsevier Inc. All rights reserved

    Squamous Cell Carcinoma of the Oral Tissues: A Comprehensive Review for Oral Healthcare Providers

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