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Couches monomoléculaires - II. Enregistrement direct de l'effet électrique des couches monomoléculaires
Le montage décrit dans la première partie de cet article a été adapté à un dispositif d'enregistrement photographique. Pour cela il a été associé à l'appareil de mesure des pressions superfificielles qui avait été décrit dans une publication antérieure. De ce fait les deux courbes, pressions superficielles et différeaces de potentiel en fonction des surfaces moléculaires, sont enregistrées simultanément sur le même diagramme. Quelques clichés sont reproduits et interprétés
Enregistrement direct des variations de la pression superficielle en fonction de la surface et en fonction du temps (couches monomoléculaires)
Un dispositif a été réalisé permettant l'enregistrement photographique des variations de la tension superficielle. L'organe essentiel, qui se déplace sous l'action des variations, est constitué par une lamelle mince de verre plongeant partiellement dans l'eau (méthode de Wilhelmy). Cette lame est suspendue sous l'un des plateaux d'une balance. Ses déplacements font tourner un miroir lié à l'axe du fléau. Pour l'étude des variations de la pression superficielle avec la surface (couches monomoléculaires), le mouvement d'un cylindre enregistreur est rendu solidaire de celui de la bandelette piston qui limite la surface de l'eau contaminée. Le spot donné par le miroir est focalisé sur le tambour recouvert de papier photographique et marque les pressions suivant les génératrices. Les abscisses, portées par les parallèles, représentent les déplacements du piston et donnent les valeurs de la surface. Une tige, placée sous l'autre plateau de la balance et plongeant partiellement dans l'huile, permet de modifier la sensibilité de l'appareil et amortit les oscillations. Pour l'étude de la variation des tensions superficielles en fonction du temps, le cylindre enregistreur est entrainé par un mouvement d'horlogerie. On a reproduit quelques enregistrements
Couches monomoléculaires - I. Utilisation d'une lampe électromètre pour la mesure des variations de la différence de potentiel de contact air-liquide
Afin d'effectuer des mesures rapides et, plus particulièrement, pour pouvoir enregistrer les variations produites, par les couches monomoléculaires, dans la différence de potentiel au contact air-liquide, on a renoncé aux électromètres employés jusqu'ici et utilisé une Lampe-Electromètre. Les caractéristiques de celle-ci présentent une région bien linéaire contenant amplement les variations à mesurer. Avec le galvanomètre associé à la lampe, on peut apprécier facilement le millivolt et, grâce à un montage spécial, le zéro du spot est rendu pratiquement constant