11 research outputs found

    La nouvelle donne des réformes territoriales sur les mobilités : vers un tournant intermodal ?

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    National audienceLe champ de l’organisation institutionnelle des transports connaît cycliquement des transformations importantes : on se souvient de la LOTI (1982), de la loi sur l’air (1996) ou du triptyque Chevènement-Voynet (LOADT)-Gayssot (SRU) au tournant des années 2000. Ces dernières années, le champ de la mobilité a connu de nouveaux bouleversements en matière d’organisation institutionnelle et de répartition des compétences entre collectivités. Alors, feu de paille ou grand tournant

    L’agencification et la recomposition des scènes locales d’action publique : L’Agence nationale pour la rénovation urbaine comme nouvelle bureaucratie technique ? : (France, début XXIème siècle)

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    Source : ABES [http://www.idref.fr/033702462/id] - theses.fr, 27/01/2022Our PhD is focusing on the analysis of the process of creation of the French national agency for urban renewal (ANRU) and its effects on local scenes of public action. This work refers to an empirical work composed by two main scenes. The first one, the « Parisian » scene is constituted by the actors involved in the process of creation of the Agency. The second scene is based on the actors of the carrying out, whereas they were on each of the three local investigation grounds (Bourges, Lyon, Marseille) or inside the ANRU. This PhD proposes to analyze the urban public action towards two main entries. The first one goes back on the process of legitimation of a change imperative at the beginning of the creation of the ANRU. This process of legitimation would result from the representation of a problematic situation in the urban renewal area. The second entry supposes that this representation shapes the nature of the effects of the functioning logic of the ANRU we can observe during the implementation period. This work has for main direction the link with the phenomenon of bureaucratization which can be observed as well in the creation period as in the implementation stage. This PhD lets show that, under cover of an efficiency quest and the mobilization of an public action tool tinged with neomanagerialism, the functioning of the ANRU infers inertia and routines which go against the original aims of the ANRU. These effects put in relief a trend to bureaucratization the ANRU doesn't escape and that makes the local services of the State administration the first victims. The analysis highlights that, beyond this major consequence, the links between the central power and local authorities and the local politico-administrative regulation are rebuilt by the “agencification” of the urban renewal policy.Cette thèse analyse le processus de genèse de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) et ses effets sur les scènes locales de l'action publique. Elle s'appuie sur un travail de terrain composé de deux scènes principales. La première est constituée de l'ensemble des acteurs concernés par le processus de fabrique de l'Agence. La seconde s'articule autour des acteurs de la mise en oeuvre sur trois sites enquêtés (Bourges, Lyon, Marseille) et au sein de l'ANRU. Ce travail se propose de participer à l'analyse de l'action publique urbaine à travers deux entrées. La première revient sur le processus de légitimation d'un impératif de changement à l'origine de la genèse de l'ANRU qui résulterait de la représentation d'une situation problématique dans le champ de la rénovation urbaine. La seconde s'articule autour de l'idée que cette représentation façonne la nature des effets engendrés par la logique de fonctionnement de l'ANRU. Ce travail a pour fil directeur le rapport au phénomène de bureaucratisation que donne à voir l'ANRU, aussi bien au cours de l'étape de sa création que dans la phase de mise en oeuvre de l'action. Cette thèse permet de montrer que, sous couvert d'une recherche d'efficacité et la mobilisation d'un dispositif d'action publique teinté de néomanagérialisme, la mise en action de l'ANRU produit à son tour des pesanteurs et des routines qui vont à l'encontre de ses raisons d'être. Ces effets révèlent une tendance à la bureaucratisation à laquelle l'ANRU n'échappe pas et dont les premières victimes sont les agents des services déconcentrés de l'État mis à sa disposition. L'analyse montre qu'au-delà de cette conséquence, ce sont également les rapports centre-périphérie et la régulation politico-administrative locale qui se trouvent recomposés par l'agencification de la rénovation urbaine

    L’agencification et la recomposition des scènes locales d’action publique : L’Agence nationale pour la rénovation urbaine comme nouvelle bureaucratie technique ? : (France, début XXIème siècle)

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    Source : ABES [http://www.idref.fr/033702462/id] - theses.fr, 27/01/2022Our PhD is focusing on the analysis of the process of creation of the French national agency for urban renewal (ANRU) and its effects on local scenes of public action. This work refers to an empirical work composed by two main scenes. The first one, the « Parisian » scene is constituted by the actors involved in the process of creation of the Agency. The second scene is based on the actors of the carrying out, whereas they were on each of the three local investigation grounds (Bourges, Lyon, Marseille) or inside the ANRU. This PhD proposes to analyze the urban public action towards two main entries. The first one goes back on the process of legitimation of a change imperative at the beginning of the creation of the ANRU. This process of legitimation would result from the representation of a problematic situation in the urban renewal area. The second entry supposes that this representation shapes the nature of the effects of the functioning logic of the ANRU we can observe during the implementation period. This work has for main direction the link with the phenomenon of bureaucratization which can be observed as well in the creation period as in the implementation stage. This PhD lets show that, under cover of an efficiency quest and the mobilization of an public action tool tinged with neomanagerialism, the functioning of the ANRU infers inertia and routines which go against the original aims of the ANRU. These effects put in relief a trend to bureaucratization the ANRU doesn't escape and that makes the local services of the State administration the first victims. The analysis highlights that, beyond this major consequence, the links between the central power and local authorities and the local politico-administrative regulation are rebuilt by the “agencification” of the urban renewal policy.Cette thèse analyse le processus de genèse de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) et ses effets sur les scènes locales de l'action publique. Elle s'appuie sur un travail de terrain composé de deux scènes principales. La première est constituée de l'ensemble des acteurs concernés par le processus de fabrique de l'Agence. La seconde s'articule autour des acteurs de la mise en oeuvre sur trois sites enquêtés (Bourges, Lyon, Marseille) et au sein de l'ANRU. Ce travail se propose de participer à l'analyse de l'action publique urbaine à travers deux entrées. La première revient sur le processus de légitimation d'un impératif de changement à l'origine de la genèse de l'ANRU qui résulterait de la représentation d'une situation problématique dans le champ de la rénovation urbaine. La seconde s'articule autour de l'idée que cette représentation façonne la nature des effets engendrés par la logique de fonctionnement de l'ANRU. Ce travail a pour fil directeur le rapport au phénomène de bureaucratisation que donne à voir l'ANRU, aussi bien au cours de l'étape de sa création que dans la phase de mise en oeuvre de l'action. Cette thèse permet de montrer que, sous couvert d'une recherche d'efficacité et la mobilisation d'un dispositif d'action publique teinté de néomanagérialisme, la mise en action de l'ANRU produit à son tour des pesanteurs et des routines qui vont à l'encontre de ses raisons d'être. Ces effets révèlent une tendance à la bureaucratisation à laquelle l'ANRU n'échappe pas et dont les premières victimes sont les agents des services déconcentrés de l'État mis à sa disposition. L'analyse montre qu'au-delà de cette conséquence, ce sont également les rapports centre-périphérie et la régulation politico-administrative locale qui se trouvent recomposés par l'agencification de la rénovation urbaine

    L’agencification et la recomposition des scènes locales d’action publique : L’Agence nationale pour la rénovation urbaine comme nouvelle bureaucratie technique ? : (France, début XXIème siècle)

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    Source : ABES [http://www.idref.fr/033702462/id] - theses.fr, 27/01/2022Our PhD is focusing on the analysis of the process of creation of the French national agency for urban renewal (ANRU) and its effects on local scenes of public action. This work refers to an empirical work composed by two main scenes. The first one, the « Parisian » scene is constituted by the actors involved in the process of creation of the Agency. The second scene is based on the actors of the carrying out, whereas they were on each of the three local investigation grounds (Bourges, Lyon, Marseille) or inside the ANRU. This PhD proposes to analyze the urban public action towards two main entries. The first one goes back on the process of legitimation of a change imperative at the beginning of the creation of the ANRU. This process of legitimation would result from the representation of a problematic situation in the urban renewal area. The second entry supposes that this representation shapes the nature of the effects of the functioning logic of the ANRU we can observe during the implementation period. This work has for main direction the link with the phenomenon of bureaucratization which can be observed as well in the creation period as in the implementation stage. This PhD lets show that, under cover of an efficiency quest and the mobilization of an public action tool tinged with neomanagerialism, the functioning of the ANRU infers inertia and routines which go against the original aims of the ANRU. These effects put in relief a trend to bureaucratization the ANRU doesn't escape and that makes the local services of the State administration the first victims. The analysis highlights that, beyond this major consequence, the links between the central power and local authorities and the local politico-administrative regulation are rebuilt by the “agencification” of the urban renewal policy.Cette thèse analyse le processus de genèse de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) et ses effets sur les scènes locales de l'action publique. Elle s'appuie sur un travail de terrain composé de deux scènes principales. La première est constituée de l'ensemble des acteurs concernés par le processus de fabrique de l'Agence. La seconde s'articule autour des acteurs de la mise en oeuvre sur trois sites enquêtés (Bourges, Lyon, Marseille) et au sein de l'ANRU. Ce travail se propose de participer à l'analyse de l'action publique urbaine à travers deux entrées. La première revient sur le processus de légitimation d'un impératif de changement à l'origine de la genèse de l'ANRU qui résulterait de la représentation d'une situation problématique dans le champ de la rénovation urbaine. La seconde s'articule autour de l'idée que cette représentation façonne la nature des effets engendrés par la logique de fonctionnement de l'ANRU. Ce travail a pour fil directeur le rapport au phénomène de bureaucratisation que donne à voir l'ANRU, aussi bien au cours de l'étape de sa création que dans la phase de mise en oeuvre de l'action. Cette thèse permet de montrer que, sous couvert d'une recherche d'efficacité et la mobilisation d'un dispositif d'action publique teinté de néomanagérialisme, la mise en action de l'ANRU produit à son tour des pesanteurs et des routines qui vont à l'encontre de ses raisons d'être. Ces effets révèlent une tendance à la bureaucratisation à laquelle l'ANRU n'échappe pas et dont les premières victimes sont les agents des services déconcentrés de l'État mis à sa disposition. L'analyse montre qu'au-delà de cette conséquence, ce sont également les rapports centre-périphérie et la régulation politico-administrative locale qui se trouvent recomposés par l'agencification de la rénovation urbaine

    The “agencification” and remoddeling of local scenes of public action : The French national agency for urban renewal as a new “technical bureaucracy”? : (France, in the early 21st century)

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    Cette thèse analyse le processus de genèse de l'Agence nationale pour la rénovation urbaine (ANRU) et ses effets sur les scènes locales de l'action publique. Elle s'appuie sur un travail de terrain composé de deux scènes principales. La première est constituée de l'ensemble des acteurs concernés par le processus de fabrique de l'Agence. La seconde s'articule autour des acteurs de la mise en oeuvre sur trois sites enquêtés (Bourges, Lyon, Marseille) et au sein de l'ANRU. Ce travail se propose de participer à l'analyse de l'action publique urbaine à travers deux entrées. La première revient sur le processus de légitimation d'un impératif de changement à l'origine de la genèse de l'ANRU qui résulterait de la représentation d'une situation problématique dans le champ de la rénovation urbaine. La seconde s'articule autour de l'idée que cette représentation façonne la nature des effets engendrés par la logique de fonctionnement de l'ANRU. Ce travail a pour fil directeur le rapport au phénomène de bureaucratisation que donne à voir l'ANRU, aussi bien au cours de l'étape de sa création que dans la phase de mise en oeuvre de l'action. Cette thèse permet de montrer que, sous couvert d'une recherche d'efficacité et la mobilisation d'un dispositif d'action publique teinté de néomanagérialisme, la mise en action de l'ANRU produit à son tour des pesanteurs et des routines qui vont à l'encontre de ses raisons d'être. Ces effets révèlent une tendance à la bureaucratisation à laquelle l'ANRU n'échappe pas et dont les premières victimes sont les agents des services déconcentrés de l'État mis à sa disposition. L'analyse montre qu'au-delà de cette conséquence, ce sont également les rapports centre-périphérie et la régulation politico-administrative locale qui se trouvent recomposés par l'agencification de la rénovation urbaine.Our PhD is focusing on the analysis of the process of creation of the French national agency for urban renewal (ANRU) and its effects on local scenes of public action. This work refers to an empirical work composed by two main scenes. The first one, the « Parisian » scene is constituted by the actors involved in the process of creation of the Agency. The second scene is based on the actors of the carrying out, whereas they were on each of the three local investigation grounds (Bourges, Lyon, Marseille) or inside the ANRU. This PhD proposes to analyze the urban public action towards two main entries. The first one goes back on the process of legitimation of a change imperative at the beginning of the creation of the ANRU. This process of legitimation would result from the representation of a problematic situation in the urban renewal area. The second entry supposes that this representation shapes the nature of the effects of the functioning logic of the ANRU we can observe during the implementation period. This work has for main direction the link with the phenomenon of bureaucratization which can be observed as well in the creation period as in the implementation stage. This PhD lets show that, under cover of an efficiency quest and the mobilization of an public action tool tinged with neomanagerialism, the functioning of the ANRU infers inertia and routines which go against the original aims of the ANRU. These effects put in relief a trend to bureaucratization the ANRU doesn't escape and that makes the local services of the State administration the first victims. The analysis highlights that, beyond this major consequence, the links between the central power and local authorities and the local politico-administrative regulation are rebuilt by the “agencification” of the urban renewal policy

    Les pôles d’échanges, de la gestion de l’intermodalité aux nouveaux enjeux pour l’espace public.

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    National audienceLe tout début des années 2000 a vu les pôles d'échanges s'inscrire de manière affirmée dans les documents de planification, et s'incarner par un nombre croissant de réalisations dans plusieurs agglomérations françaises. Alors que les défis du réchauffement climatique, de la qualité de l'air et des inégalités sociales et spatiales face aux questions de mobilité se sont considérablement renforcés depuis, les attentes autour de cet objet complexe sont plus vives que jamais. Aujourd'hui, les pôles d'échanges voient converger la quasi-totalité des solutions de mobilité alternatives à l'usage solitaire de l'automobile. Mais parce qu'ils sont par essence des objets à forte vocation partenariale, les pôles d'échanges souffrent toujours d'un morcellement des interventions, et de la fragmentation de l'action publique en matière de transport, de mobilité, d'aménagement. Lieux-réceptacles d'innovations, les pôles d'échanges sont de ce fait en perpétuelle évolution. L'essor des transports collectifs en site propre depuis le début des années 2000, le déploiement des systèmes de vélos en libre-service au cours de la dernière décennie ou bien plus récemment l'émergence des systèmes de covoiturage ou les liaisons interurbaines par cars… tous ces changements sont venus démultiplier les possibilités offertes aux usagers, en ajoutant par la même occasion des contraintes supplémentaires aux concepteurs et gestionnaires des pôles d'échanges. Comment concevoir les pôles d'échanges pour mieux tenir compte de la diversification sans précédent des solutions de mobilité ? Comment garantir que l'accessibilité, la lisibilité et le confort offerts aux usagers resteront aux centres des préoccupations

    Les pôles d’échanges, de la gestion de l’intermodalité aux nouveaux enjeux pour l’espace public.

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    National audienceLe tout début des années 2000 a vu les pôles d'échanges s'inscrire de manière affirmée dans les documents de planification, et s'incarner par un nombre croissant de réalisations dans plusieurs agglomérations françaises. Alors que les défis du réchauffement climatique, de la qualité de l'air et des inégalités sociales et spatiales face aux questions de mobilité se sont considérablement renforcés depuis, les attentes autour de cet objet complexe sont plus vives que jamais. Aujourd'hui, les pôles d'échanges voient converger la quasi-totalité des solutions de mobilité alternatives à l'usage solitaire de l'automobile. Mais parce qu'ils sont par essence des objets à forte vocation partenariale, les pôles d'échanges souffrent toujours d'un morcellement des interventions, et de la fragmentation de l'action publique en matière de transport, de mobilité, d'aménagement. Lieux-réceptacles d'innovations, les pôles d'échanges sont de ce fait en perpétuelle évolution. L'essor des transports collectifs en site propre depuis le début des années 2000, le déploiement des systèmes de vélos en libre-service au cours de la dernière décennie ou bien plus récemment l'émergence des systèmes de covoiturage ou les liaisons interurbaines par cars… tous ces changements sont venus démultiplier les possibilités offertes aux usagers, en ajoutant par la même occasion des contraintes supplémentaires aux concepteurs et gestionnaires des pôles d'échanges. Comment concevoir les pôles d'échanges pour mieux tenir compte de la diversification sans précédent des solutions de mobilité ? Comment garantir que l'accessibilité, la lisibilité et le confort offerts aux usagers resteront aux centres des préoccupations

    Les effets du jumelage des infrastructures lourdes de transport sur les territoires : quels enseignements?

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    This article reports a research on the effects of pairing of heavy infrastructures such as motorways and high speed lines railways on the functioning and perception of the territory. The ecological impact, effects on the evolution and perception of landscapes as well as governance issues and social acceptability in nearby areas have been specifically studied in three representative of the major types of land pairing observed in France. The comparison of the different elements from the research shows an apparent contradiction on scales of analysis of the appropriateness of the pairing. If it offers an overall benefit for land management with space saving and limiting fragmentation, it also causes a consumption of land with the creation of interstitial spaces, and a strong polarization of space. From the societal perspective, the advantages and disadvantages of the pairing are also related on scales thinking and posture of the actors interviewed vis-Ă -vis spatial or organizational cuts, or perception of nuisances. Pairing is therefore more a process than a technical solution. Directed downstream, it does not allow for synergies with the territory, but only responds to some isolated subjects like space consumption

    Les effets du jumelage des infrastructures lourdes de transport sur les territoires : quels enseignements?

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    This article reports a research on the effects of pairing of heavy infrastructures such as motorways and high speed lines railways on the functioning and perception of the territory. The ecological impact, effects on the evolution and perception of landscapes as well as governance issues and social acceptability in nearby areas have been specifically studied in three representative of the major types of land pairing observed in France. The comparison of the different elements from the research shows an apparent contradiction on scales of analysis of the appropriateness of the pairing. If it offers an overall benefit for land management with space saving and limiting fragmentation, it also causes a consumption of land with the creation of interstitial spaces, and a strong polarization of space. From the societal perspective, the advantages and disadvantages of the pairing are also related on scales thinking and posture of the actors interviewed vis-Ă -vis spatial or organizational cuts, or perception of nuisances. Pairing is therefore more a process than a technical solution. Directed downstream, it does not allow for synergies with the territory, but only responds to some isolated subjects like space consumption
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