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ObĂ©sitĂ© chez lâenfant : dĂ©finition, prĂ©valence et facteurs dâenvironnement
Depuis quelques dizaines dâannĂ©es lâobĂ©sitĂ© augmente rapidement dans de nombreux pays. Cette Ă©volution concerne particuliĂšrement lâobĂ©sitĂ© infantile. Selon la dĂ©finition française, le pourcentage dâenfants ayant un excĂšs pondĂ©ral est passĂ© de 5,1 Ă 12,5 % entre 1980 et 1996. En 2000, la prĂ©valence atteint 16,3 %. DâaprĂšs la nouvelle dĂ©finition de lâIOTF qui permet des comparaisons internationales, en 2000 en France, 18,1 % des enfants ĂągĂ©s de 7 Ă 9 ans prĂ©sentent un surpoids dont 3,8 % sont obĂšses. Alors que lâobĂ©sitĂ© augmente, la plupart des Ă©tudes ne relĂšvent pas dâaugmentation des apports Ă©nergĂ©tiques. Les rĂ©sultats des Ă©tudes Ă©pidĂ©miologiques ayant examinĂ© les facteurs alimentaires responsables du dĂ©veloppement de lâobĂ©sitĂ© nâont pas apportĂ© de rĂ©ponses claires Ă ce problĂšme. Lâimportance des premiĂšres annĂ©es de la vie est soulignĂ©e par le rebond dâadipositĂ© prĂ©coce retrouvĂ© chez la plupart des enfants obĂšses. De nombreuses Ă©tudes relĂšvent que les nourrissons ont des apports faibles en lipides et Ă©levĂ©s en protĂ©ines. Cependant, une alimentation riche en en lipides et Ă teneur rĂ©duite en protĂ©ines, telle que le lair maternel, est adaptĂ©e aux beoins dâĂ©nergie Ă©levĂ©s du nourrisson. Les Ă©tudes montrent quâensuite, les apports en lipides augmentent progressivement avec lâĂąge et deviennent excessifs. Lâalimentation devrait tenir compte des besoins spĂ©cifiques Ă chaque Ăąge. Les conseils de prĂ©vention ne reposent donc pas actuellement sur des certitudes. Il est cependant souhaitable de mieux respecter les recommandations nutritionnelles aux diffĂ©rents Ăąges de la vie et dâencourager lâactivitĂ© physique des enfants. Ces mesures pourraient permettre dâamĂ©liorer les processus de croissance et limiter la progression de lâobĂ©sitĂ©
ObĂ©sitĂ© chez lâenfant : dĂ©finition, prĂ©valence et facteurs dâenvironnement
Depuis quelques dizaines dâannĂ©es lâobĂ©sitĂ© augmente rapidement dans de nombreux pays. Cette Ă©volution concerne particuliĂšrement lâobĂ©sitĂ© infantile. Selon la dĂ©finition française, le pourcentage dâenfants ayant un excĂšs pondĂ©ral est passĂ© de 5,1 Ă 12,5 % entre 1980 et 1996. En 2000, la prĂ©valence atteint 16,3 %. DâaprĂšs la nouvelle dĂ©finition de lâIOTF qui permet des comparaisons internationales, en 2000 en France, 18,1 % des enfants ĂągĂ©s de 7 Ă 9 ans prĂ©sentent un surpoids dont 3,8 % sont obĂšses. Alors que lâobĂ©sitĂ© augmente, la plupart des Ă©tudes ne relĂšvent pas dâaugmentation des apports Ă©nergĂ©tiques. Les rĂ©sultats des Ă©tudes Ă©pidĂ©miologiques ayant examinĂ© les facteurs alimentaires responsables du dĂ©veloppement de lâobĂ©sitĂ© nâont pas apportĂ© de rĂ©ponses claires Ă ce problĂšme. Lâimportance des premiĂšres annĂ©es de la vie est soulignĂ©e par le rebond dâadipositĂ© prĂ©coce retrouvĂ© chez la plupart des enfants obĂšses. De nombreuses Ă©tudes relĂšvent que les nourrissons ont des apports faibles en lipides et Ă©levĂ©s en protĂ©ines. Cependant, une alimentation riche en en lipides et Ă teneur rĂ©duite en protĂ©ines, telle que le lair maternel, est adaptĂ©e aux beoins dâĂ©nergie Ă©levĂ©s du nourrisson. Les Ă©tudes montrent quâensuite, les apports en lipides augmentent progressivement avec lâĂąge et deviennent excessifs. Lâalimentation devrait tenir compte des besoins spĂ©cifiques Ă chaque Ăąge. Les conseils de prĂ©vention ne reposent donc pas actuellement sur des certitudes. Il est cependant souhaitable de mieux respecter les recommandations nutritionnelles aux diffĂ©rents Ăąges de la vie et dâencourager lâactivitĂ© physique des enfants. Ces mesures pourraient permettre dâamĂ©liorer les processus de croissance et limiter la progression de lâobĂ©sitĂ©
Food consumption between 10 months and 6 years and age at adiposity rebound
info:eu-repo/semantics/nonPublishe
Surveillance du surpoids et de lâobĂ©sitĂ© chez les enfants en France :bilan des donnĂ©es disponibles et comparaisons internationales
Abstract n° P9-11info:eu-repo/semantics/nonPublishe
Courbes de lâindice de masse corporelle: dĂ©finition de lâobĂ©sitĂ© et Ă©volutions individuelles
info:eu-repo/semantics/publishe
Un colis de référence pour une aide alimentaire équilibrée
National audiencePractical and specific guidelines are needed to design nutritionally adequate food baskets for food aid. Since the weight of foods is the only information on food easily available and understandable by non nutritionist field-workers, weight-based guidelines were presently developed. They are compatible with the French foodbased dietary guidelines and take into account that food-insecure individuals have limited access to some foods, such as meat, fish, fruit and vegetables, while refined cereals are the main component of their diets. These guidelines can also be used to evaluate the dietary quality of existing food aid. factual food baskets delivered by food aid agencies in France were compared to the recommended food basket. The results show that fruit and vegetables are severely lacking (only 10% of total food basket weight instead of 33% recommended) while staples, mainly refined cereals, are given in excess (40% instead of 15%), as well as sugar- or saltcontaining food products (9% instead of 2%). This results show that it is necessary to improve the dietary quality of food aid in France and suggest that simple weight-based recommendations can be helpfulLâobjectif de cette Ă©tude Ă©tait dâĂ©laborer un colis alimentaire qui puisse servir de rĂ©fĂ©rence pour concevoir des colis alimentaires Ă©quilibrĂ©s et pour Ă©valuer lâĂ©quilibre alimentaire de dons existants. Le poids Ă©tant la seule information sur les aliments facilement accessible aux bĂ©nĂ©voles et salariĂ©s travaillant dans les structures dâaide alimentaire, les pourcentages pondĂ©raux des groupes et sous-groupes dâaliments dans le colis de rĂ©fĂ©rence forment la base des critĂšres de constitution dâun colis adĂ©quat. Le colis de rĂ©fĂ©rence est en accord avec les repĂšres de consommation du PNNS tout en Ă©tant spĂ©cifique Ă lâaide alimentaire, car il donne la prioritĂ© aux aliments de bonne qualitĂ© nutritionnelle que les populations en situation de prĂ©caritĂ© ont du mal Ă se procurer. Par rapport au colis de rĂ©fĂ©rence, les paniers et colis dĂ©livrĂ©s par les structures dâaide alimentaire en France, manquent sĂ©vĂšrement de fruits et lĂ©gumes (10 % du poids total des colis au lieu des 33 % recommandĂ©s) et contiennent trop de produits sucrĂ©s ou salĂ©s (9 % vs 2 %) et trop de fĂ©culents, notamment raffinĂ©s (40 % vs 15 %). Cette Ă©tude montre quâil est nĂ©cessaire dâamĂ©liorer la qualitĂ© nutritionnelle des dons alimentaires en France, et suggĂšre que la simple diffusion de recommandations basĂ©es sur le poids des aliments pourrait y contribue
Situation et Ă©volution des apports alimentaires de la population en France, 1997-2003
info:eu-repo/semantics/publishe
Anthropometric and behavioral patterns associated with weight maintenance after an obesity treatment in adolescents.: Weight loss maintenance in adolescents
International audienceOBJECTIVE: To identify anthropometric and behavioral characteristics associated with weight maintenance after an obesity treatment. STUDY DESIGN: Adolescents (n = 72) enrolled in a 9-month obesity treatment were observed 1 and 2 years after discharge. Two groups, "successful" versus "limited or no success," were created on the basis of the differences in body mass index (BMI) z-score between inclusion and end of follow-up. Anthropometric and behavioral characteristics were compared between groups. RESULTS: Both groups showed a decrease in BMI z-score between inclusion and end of follow-up, 2.09 +/- 0.68 SD for the successful group and 0.65 +/- 0.43 SD for the group with limited or no success. Groups did not differ during treatment for any of the anthropometric characteristics considered, whereas differences clearly appeared 1 year after treatment and generally stabilized during the second year. Later adiposity rebound, trend for lower BMI in the mother, and, during follow-up, lower total energy intake, more energy at breakfast, and less snacking and television were recorded in the successful group. CONCLUSIONS: Weight loss maintenance can neither be predicted with anthropometry during treatment nor with behavioral characteristics at inclusion, but can be estimated 1 year after discharge. Early life factors should also be taken into account for predicting treatment outcome