34 research outputs found

    A Neanderthal from the Central Western Zagros, Iran. Structural reassessment of the Wezmeh 1 maxillary premolar

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    Wezmeh Cave, in the Kermanshah region of Central Western Zagros, Iran, produced a Late Pleistocene faunal assemblage rich in carnivorans along with a human right maxillary premolar, Wezmeh 1, an unerupted tooth from an 8 ± 2 year-old individual. Uranium-series analyses of the fauna by alpha spectrometry provided age estimates between 70 and 11 ka. Crown dimensions place the tooth specimen at the upper limits of Late Pleistocene human ranges of variation. Wezmeh 1 metameric position (most likely a P3) remains uncertain and only its surficial morphology has been described so far. Accordingly, we used micro-focus X-ray tomography (12.5 μm isotropic voxel size) to reassess the metameric position and taxonomic attribution of this specimen. We investigated its endostructural features and quantified crown tissue proportions. Topographic maps of enamel thickness (ET) distribution were also generated, and semilandmark-based geometric morphometric analyses of the enamel-dentine junction (EDJ) were performed. We compared Wezmeh 1 with unworn/slightly-moderately worn P3 and P4 of European Neanderthals, Middle Paleolithic modern humans from Qafzeh, an Upper Paleolithic premolar, and Holocene humans. The results confirm that Wezmeh 1 represents a P3. Based on its internal conformation and especially EDJ shape, Wezmeh 1 aligns closely with Neanderthals and is distinct from the fossil and extant modern human pattern of our comparative samples. Wezmeh 1 is thus the first direct evidence of Neanderthal presence on the western margin of the Iranian Plateau

    Évolution des paysages et occupation humaine en mer d’Iroise (Finistère, Bretagne) du Néolithique à l’Âge du Bronze

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    Depuis près de dix ans, des recherches archéologiques sont menées dans l’archipel de Molène par une équipe pluridisciplinaire. Ce secteur s’avère particulièrement riche en vestiges du Néolithique et de l’Âge du Bronze. Une concentration exceptionnelle de monuments mégalithiques y a été mise en évidence. Plusieurs habitats sont attestés par la présence d’un bâtiment (Beg ar Loued, Molène) ou de dépotoirs domestiques riches en faune et en mobilier. Ces données nous renseignent sur la chronologie des occupations du secteur et nous permettent, pour la première fois en Bretagne, d’esquisser le mode de vie des hommes de la Préhistoire récente. Afin de pousser plus loin la réflexion, il nous a paru nécessaire de mieux comprendre l’évolution de l’environnement en contexte insulaire, par de nouvelles recherches sur les variations du niveau marin corrélées à l’étude du paysage végétal, de la géomorphologie et de la faune.Les résultats issus des reconstitutions paléogéographiques montrent que l’archipel était déjà constitué au Néolithique moyen II, déconnecté du continent par le chenal du Four dont la traversée nécessitait l’utilisation d’embarcations. Très bien conservés, les monuments mégalithiques de l’archipel sont donc le fait de populations insulaires ayant fréquentées l’archipel sur une longue période, débutant dès le milieu du ve et jalonnant les ive, iiive et iie millénaires avant J.-C. La répartition des sépultures mégalithiques reflète des stratégies d’implantations qui répondent à des choix culturels et à des contraintes naturelles, sur un territoire soumis à un morcellement progressif du fait des dynamiques érosives qui accompagnent la remontée du niveau marin. Durant tout le Néolithique et l’Âge du Bronze, l’isolement géographique n’a cessé de s’accroître, sans donner lieu pour autant à des particularismes culturels marqués, les innovations techniques et artistiques de cette époque ayant pénétré au sein des sociétés insulaires. Néanmoins, l’éloignement croissant des îles a encouragé la recherche de moyens de subsistance basés sur l’exploitation intense des ressources littorales, à travers la collecte de coquillages et de crustacés, la pratique de la pêche et de la chasse côtière. Tournées vers la mer, ces populations n’ont pas négligé les ressources qu’offraient les zones terrestres, comme en témoigne la précocité des pratiques agropastorales dans l’archipel.During almost ten years, an archaeological survey has been carried out in Molène Archipelago by a multidisciplinary team. The area appears to be particularly rich in Neolithic and Bronze Age remains and an exceptional concentration of megaliths has been brought to light. Several settlments are confirmed by dry-stone structures like in Beg ar Loued or by shell middens harbouring large quantities of bones and artefacts. These data give precious indications on the occupation chronology of the area. Moreover they allow for the first time in Brittany to reconstruct the everyday life during the late Prehistory. A prerequisite to this reconstruction was a better understanding of the environment evolution during this period, which locally implies a better knowledge of sea level fluctuations and its effects on landscapes as well as on vegetal and faunal resources.Results obtained via the paleogeographic reconstructions show that the archipelago during the Middle Neolithic II was already disconnected from the mainland by the Four channel which required boats to be crossed. Very well preserved, the megalithic monuments have therefore been erected and used by islanders being present on the archipelago for a long period time, starting from the middle of the Vth millenium BC, and spreading through the IV, III and IInd millenia. The distribution of the megalithic tombs reveals landscape occupation strategies which answer both cultural choices and natural constraints in a territory that undergoes a progressive fragmentation due to the dynamic of erosion linked to the rise of the sea level. Throughout the entire Neolithic and Bronze Age, geographic isolation has continued to increase, but in the meantime it did not imply specific cultural aspects, technical and artistic innovations having reached these island societies. Nevertheless, the increasing remoteness of the islands has fostered the search for livelihoods based on the intense exploitation of coastal ressources, through the gathering of seashells and shellfishes, fishing and coastal hunting. Although facing the sea, these people did not neglect what the land areas could offer as evidenced by the earl agro-pastoral practices in the archipelago

    Dog Burials Associated with Human Burials in the West Indies during the Early Pre-Columbian Ceramic Age (500 BC-600 AD)

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    Across the Caribbean, the widespread presence of canine remains at archaeological sites from the Saladoid period raises questions about the role of “man’s best friend.” Dog (Canis familiaris) remains have been found located in both refuse middens and burials adjacent to human graves in a number of sites in the French Antilles and Barbuda, West Indies. This paper will critically examine dog remains and discuss the varied duality of the dog’s role in the Saladoid world: from food source to lifelong companion. The importance of dogs within Amerindian sites from Saint Martin, the Guadeloupe archipelago, Martinique and Barbuda will be explored from a zooarchaeological perspective, concluding with a critical discussion of changes in cultural patterns, as seen through the decline in dog remains during the Troumassoid and Suazoid period at the sites in the French Antilles. Résumé Sépultures de chiens associées à des sépultures humaines dans les Petites Antilles à l’Âge du Néoindien ancien (500 av. – 600 ap. J.-C.). Dans les Antilles, la présence généralisée de restes de chiens sur les sites de la période céramique ancienne Saladoïde soulève des questions sur le rôle de ce « meilleur ami de l’homme ». En effet, des chiens (Canis familiaris) ont été trouvés aussi bien dans des zones de rejets, qu’enterrés aux côtés de sépultures humaines dans un certain nombre de sites des Petites Antilles. Ce document examinera ces restes de chiens de façon critique et décrira les morphologies particulières des chiens des sites amérindiens de l’île de Saint-Martin, l\u27archipel de la Guadeloupe, la Martinique et de l’île de Barbuda, dans une perspective archéozoologique. Une discussion critique portera sur l\u27évolution des changements des modèles culturels, comme celui de la chute drastique des chiens enterrés pendant les périodes archéologiques plus tardives, Troumassoïde et Suazoïde, des sites des Antilles françaises. Enfin, la discussion portera sur la dualité du rôle du chien dans le monde Saladoïde, à la fois source de nourriture et compagnon de vie

    Sépultures de chiens associées à des sépultures humaines dans les Petites Antilles à l’Âge du Néoindien ancien (500 av. – 600 ap. J.-C.)

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    Dans les Antilles, la présence généralisée de restes de chiens sur les sites de la période céramique ancienne Saladoïde soulève des questions sur le rôle de ce « meilleur ami de l’homme ». En effet, des chiens (Canis familiaris) ont été trouvés aussi bien dans des zones de rejets, qu’enterrés aux côtés de sépultures humaines dans un certain nombre de sites des Petites Antilles. Ce document examinera ces restes de chiens de façon critique et décrira les morphologies particulières des chiens des sites amérindiens de l’île de Saint-Martin, l\u27archipel de la Guadeloupe, la Martinique et de l’île de Barbuda, dans une perspective archéozoologique. Une discussion critique portera sur l\u27évolution des changements des modèles culturels, comme celui de la chute drastique des chiens enterrés pendant les périodes archéologiques plus tardives, Troumassoïde et Suazoïde, des sites des Antilles françaises. Enfin, la discussion portera sur la dualité du rôle du chien dans le monde Saladoïde, à la fois source de nourriture et compagnon de vie.Across the Caribbean, the widespread presence of canine remains at archaeological sites from the Saladoid period raises questions about the role of “man’s best friend.” Dog (Canis familiaris) remains have been found located in both refuse middens and burials adjacent to human graves in a number of sites in the French Antilles and Barbuda, West Indies. This paper will critically examine dog remains and discuss the varied duality of the dog’s role in the Saladoid world: from food source to lifelong companion. The importance of dogs within Amerindian sites from Saint Martin, the Guadeloupe archipelago, Martinique and Barbuda will be explored from a zooarchaeological perspective, concluding with a critical discussion of changes in cultural patterns, as seen through the decline in dog remains during the Troumassoid and Suazoid period at the sites in the French Antilles.</p

    Abri de l’Anse à la Gourde, Saint-François

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    National audienc

    Anse à la Gourde - St-François

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    Bilan Scientifique Régionale de l'Archéologie 2010 - Région GuadeloupeBilan du sondage archéologique pratiqué dans la cavité de l'Anse à la Gourde documentant la faune historique de la Grande-Terr

    Saint-François - Abri de l'Anse à la Gourde. Sondage (2010)

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