7,140 research outputs found

    Rapid Field-Cycling MRI using Fast Spin-Echo

    Get PDF
    The author acknowledges funding from the EPSRC through the Centre for Doctoral Training in Integrated Magnetic Resonance.Non peer reviewedPublisher PD

    Protecting mobile money customer funds in civil law jurisdictions

    Get PDF
    The provision of financial services through mobile phones is a powerful tool to foster financial inclusion, and thus economic growth, in developing countries. However, it raises important regulatory issues. Given the vulnerability of most potential customers of these services, the protection of customer funds is important. In common law countries, trust accounts are an effective response to these concerns. In civil law jurisdictions however, in the absence of trusts, protection of customer funds is more difficult. This paper identifies the theoretical and practical problems that regulators in civil law jurisdictions might face when trying to protect customer funds and explores how fiduciary contracts, mandate contracts and direct regulation might be used to achieve this goal. It offers a series of practical recommendations for policymakers in developing countries that provide a range of regulatory options that combine private law and regulation

    An Economic Critique of Current Technological Change Displacement Techniques

    Get PDF
    Cet article vise à évaluer l'efficacité des moyens utilisés par les parties contractantes dans le but d'atténuer les effets des changements technologiques pour les travailleurs. Et l'efficacité, il faut ici la considérer en fonction des pertes que les travailleurs licenciés peuvent encourir.La conclusion ne pourra être que la suivante : si les clauses relatives aux préavis, aux indemnités de licenciement, à l'usure des effectifs, à l'ancienneté, à la supplantation, à la retraite anticipée, à la réduction de la semaine de travail, aux comités mixtes et au recyclage ont quelque valeur, c'est surtout l'effet du hasard ou d'un concours favorable de circonstances.On peut arriver à pareille conclusion d'abord parce que l'aide qu'on leur apporte est bien loin de toujours équivaloir aux pertes subies par les travailleurs touchés par le déplacement et la rétrogradation. Bien au contraire, elle se rattache presque toujours à l'ancienneté (indemnité de départ et modalités de la mise à pied) qui, au gré des circonstances, peuvent ou non avoir quelque équivalence avec la perte encourue.En second lieu, certaines clauses ne procurent aucun avantage tangible, mais se contentent de déplacer les coûts, soit sur les travailleurs âgés (retraite anticipée), soit sur les jeunes travailleurs (ancienneté), soit sur les ouvriers temporaires (réserve de main-d'oeuvre), et, au surplus, il n'y a pas le moindre indice que ces travailleurs soient moins lésés que d'autres par le licenciement.Troisièmement, des dispositions comme le préavis manquent souvent d'imagination au point de n'accorder aucun poids à la relation qui devrait exister entre la longueur du préavis et ses implications concrètes sur les travailleurs. Aussi, y a-t-il nombre de ces préavis qui ne sont d'aucune utilité pratique pour les travailleurs.Quatrièmement, les dispositions spéciales prévues pour des mises à pied de courte durée (la réduction des heures de travail) manquent totalement d'efficacité lorsqu'il se produit un licenciement permanent.Cinquièmement, des clauses (le recyclage) qui pourraient avoir de la valeur si elles étaient appliquées par les parties seront renforcées si elles passent au secteur public pour fin d'application.Enfin, ce n'est que s'il existe entre les parties un régime de relations bien rodé, tourné vers l'avenir, ce qui est inusité, que l'une quelconque de ces dispositions pourra s'avérer de quelque valeur dans l'éventualité de la fermeture d'une usine. Et pourtant, les fermetures d'usines sont sûrement l'un des phénomènes importants et bien visibles d'où surgissent les problèmes sociaux et économiques reliés aux changements technologiques, et la chose est encore plus apparente quand l'usine est installée dans une petite ville ou un village.En guise de conclusion, qu'il suffise de suggérer au secteur privé de corriger les imperfections de ces dispositions de manière qu'elles puissent apporter une assistance proportionnée à la perte encourue, au lieu de se référer à des critères hors de portée. Toutefois, il y a, tel qu'indiqué ci-dessus, plusieurs failles que le secteur privé est vraiment impuissant à surmonter et, à l'avenir, il faudra que la loi intervienne pour imposer des solutions valables pour contrer les effets malencontreux des changements technologiques.This study attempts to assess how effective are the present methods employed by private parties for adjusting workers to technological change ; and effective is defined on the basis of the loss that displaced workers are expected to incur. The major conclusion is that if provisions such as advance notice, severance pay, attrition, seniority and bumping, early retirement, reduced work week, joint committees, and retraining are performing effectively it is largely the result of luck and circumstanc

    A New View of Leisure

    Get PDF
    Dans les manuels courants d'économique et en théorie, on considère le loisir comme synonyme du temps où l'on n'est pas en disponibilité sur le marché ou du temps où l'on n'est pas à son poste ; le travail est, de son côté, synonyme du temps où l'on est disponible pour travailler ou du temps où l'on occupe son poste. En théorie économique, la distinction entre le temps libre et le temps engagé est importante, surtout quand il s'agit d'analyser l'offre de travail et, tout particulièrement, d'examiner une courbe d'offre de travail renversée.Cet article vise un double but : d'abord essayer de définir la notion de travail et de loisir en termesopérationnels, c'est-à-dire en tant que phénomènes observables ; ensuite, chercher à réexaminer, à partir de définitions nouvelles du travail et du loisir, plusieurs problèmes qui se posent en économique et à tenter d'illustrer comment ces définitions nouvelles peuvent ouvrir des perspectives neuves à des questions anciennes et actuelles.NOUVELLES PERSPECTIVES EN MATIÈRE DE LOISIRSLa première constatation à laquelle on arrive, quand on essaie de rebâtir une définition du loisir, c'est qu'il n'y a guère d'activité qui soit travail pur ou loisir pur. De là, ce qui importe, c'est de découvrir une définition qui permette la catégorisation d'une activité selon qu'elle est plus ou moins empreinte de loisir.Au départ, nous affirmons qu'une activité est d'autant plus empreinte de loisir que la personne est moins gênée par la routine quotidienne et les contraintes de temps et d'espace.La routine : Par routine, nous voulons dire qu'il n'y a que peu de façons d'entreprendre et d'exercer une activité. Plus une activité laisse de choix, plus elle se rapproche de la notion de loisir.Le temps: Moins une activité est enfermée dans des limites de temps, plus on peut l'assimiler au loisir.L'espace: Moins une activité oblige à demeurer sur place, plus elle s'apparente au loisir.Plus une personne est en mesure d'exercer une activité sans se sentir contrainte par ses choix, dans ses mouvements dans le temps et dans l'espace, plus on considérera qu'elle dispose de loisir. Naturellement, il s'agit là d'une notion toute relative et le degré véritable de loisir pourra varier d'un individu à l'autre.QUELQUES APPLICATIONS PRATIQUES DE CETTE DÉFINITION NOUVELLEOn peut considérer trois applications pratiques qui montrent la portée des problèmes qu'on peut analyser en regard de cette définition nouvelle.a)Les taux différentiels de croissance du temps passé hors du travail. Si l'on estime la croissance du temps libre découlant d'une semaine de travail plus courte, de vacances plus longues, de jours fériés plus nombreux dans l'industrie manufacturière au Canada pour la période 1949-1969, on arrive à un résultat qui intrigue quelque peu. Au cours de cette période, les cols blancs ont bénéficié de 119 heures de plus de temps libre, tandis que les cols bleus en ont gagné 230. Cette constatation trouve une explication plausible si l'on se reporte à la nouvelle définition du loisir. On peut émettre l'hypothèse que, règle générale, dans l'industrie manufacturière, les cols blancs sont moins liés que les cols bleus à la routine ainsi qu'aux contraintes de temps et d'espace.b) Un autre domaine où nous pouvons appliquer cette nouvelle forme d'appréciation, c'est lorsqu'il est question de la théorie dufonds des salaires, qui remonte au moins jusqu'à Adam Smith, où l'on s'est rendu compte que c'est le « gain net » parmi diverses occupations qui détermine la répartition du travail entre les différents métiers ou professions. À partir de là, outre les motifs déterminants du « gain net » d'ordre purement pécuniaire, on a aussi découvert l'existence de motifs déterminants « psychiques » qui n'ont rien à voir avec l'argent.On peut donc soumettre ici que la part de loisir comprise dans un poste constitue une excellente source de motifs psychiques impondérables qu'on désigne souvent sous le nom de conditions favorables ou défavorables associées au travail. Plusieurs de ces conditions se retrouvent dans la routine et dans les contraintes de temps et d'espace. Même si le loisir, selon cette définition nouvelle, ne peut être encore estimé d'une façon précise, on peut le considérer comme un phénomène observable à qui on peut donner un rang ordinal dans une échelle graduée.c) La dernière application de la nouvelle définition du loisir est reliée au vieux problème de l'exactitude des comptes nationaux en tant que reflet du degré de bien-être social d'une collectivité. Une des principales faiblesses du produit national brut dont chacun peut se rendre compte, c'est qu'il ne révèle pas le temps libre qui est certainement un avantage et qui, en réalité, compense pour un revenu plus élevé quand nous le présentons sous la forme d'une courbe d'offre du travail renversée. Il n'y a guère de doute alors, si le produit national brut doit être considéré comme une mesure du bien-être, qu'il faille la corriger de manière à tenir compte de l'accroissement du temps consacré au loisir.Si l'on ne les observe que durant une période d'une durée restreinte, les avantages résultant du loisir associé au travail n'ont que peu d'importance et on pourrait à peine en percevoir le sens. Mais, considérés au cours d'une période plus longue, étant donné que des changements de structure significatifs se sont produits dansla composition de la main-d'oeuvre, il faudrait être très myope pour ne pas y déceler la possibilité des gains obtenus sous la forme du loisir associé au travail. Ainsi, au Canada, un des changements les plus frappants dans la structure de la main-d'oeuvre a été l'augmentation de l'emploi dans le secteur des services par rapport au secteur de la fabrication. Entre 1931 et 1969, l'emploi est tombé dans le secteur secondaire de 60 à un peu moins de 40 pour cent de l'emploi total, et le taux de changement ne semble pas être près de se ralentir. Quelles répercussions ces transformations ont-elles sur le bien-être ? En se fondant sur la nouvelle définition du loisir, on peut soutenir ici que cette croissance rapide de l'emploi dans le secteur des services s'est traduite par une augmentation du loisir associé au travail.Même s'il se trouve des exceptions, je crois qu'il est exact de dire que les travailleurs du secteur tertiaire sont censés, dans l'ensemble, disposer de plus de loisirs au cours de leur travail que ceux du secteur secondaire.Parce que ces emplois sont d'une nature plus intellectuelle, les travailleurs du secteur tertiaire peuvent au moins exécuter une part de leur besogne n'importe où et n'importe quand, et par conséquent, il devient de plus en plus difficile pour nombre d'employés de ce secteur de faire le partage entre le temps où ils sont à leur poste et celui où ils ne le sont pas.Il apparaîtrait dès lors normal de reconnaître les avantages du loisir associé au travail, même s'il n'est pas possible de les apprécier numériquement, comme des gains obtenus sous la forme d'un mieux-être et comme un composant de toute nouvelle mesure de bien-être du produit national brut.CONCLUSIONAutrefois, lorsque le travail pour une large part consistait en une activité physique où l'esprit n'occupait que peu de place, peut-être que le travail et la présence au poste d'une part, et le loisir et l'absence du poste, d'autre part, pouvaient-ils être presque synonymes. Aujourd'hui, à la suite du développement rapide du secteur tertiaire, il faut nous rendre à l'évidence qu'on peut trouver le loisir au poste même.Il ne faut pas en conclure, cependant, que la dichotomie présence au travail et absence du travail n'existe plus. Tel n'est pas le cas. Tout ce qui est soumis ici, c'est que les manuels d'économie politique traditionnels ne devraient plus affirmer que le temps de présence au travail est formé exclusivement de travail et, à partir de là, essayer de montrer qu'il y a entrecroisement entre loisir et travail quand, en réalité dans leurs exposés sur la courbe d'offre de travail individuel ils tiennent à la fois compte du temps passé au travail et du temps passé hors du travail.The purpose of this paper is two-fold : first an attempt is mode to define work and leisure in operational terms. Second, using the new definitions of work and leisure, several problems in economies are re-examined and an attempt is mode to illustrate how the new definition may give us new insights into old and current problems

    Truthmakers and modality

    Get PDF
    This paper attempts to locate, within an actualist ontology, truthmakers for modal truths: truths of the form or . In section 1 I motivate the demand for substantial truthmakers for modal truths. In section 2 I criticise Armstrong’s account of truthmakers for modal truths. In section 3 I examine essentialism and defend an account of what makes essentialist attributions true, but I argue that this does not solve the problem of modal truth in general. In section 4 I discuss, and dismiss, a theistic account of the source of modal truth proposed by Alexander Pruss. In section 5 I offer a means of (dis)solving the problem

    Simple algorithm for the correction of MRI image artefacts due to random phase fluctuations

    Get PDF
    Grant support: This work was supported by EPSRC [grant numbers EP/E036775/1, EP/K020293/1] and received funding from the European Union's Horizon 2020 research and innovation programme [grant agreement No 668119, project “IDentIFY”]Peer reviewedPublisher PD

    Rapid Fast Field-Cycling Imaging using the Keyhole Technique

    Get PDF
    Peer reviewedPublisher PD

    Proton acceleration at tearing coronal null-point current sheets

    Get PDF
    Context. Non-thermal particle acceleration in the solar corona is thought to constitute a substantial part of the energy budget of explosive events such as solar flares. One well-established mechanism of non-thermal acceleration is directly via fields in current sheets. Aims. In this paper we study proton acceleration during "spine-fan reconnection" at a 3D magnetic null point. This type of reconnection has recently been implicated in some flares known as circular-ribbon flares. It has also recently been discovered that the reconnecting current sheet may undergo a non-linear tearing-type instability. This tearing leads to the formation of flux ropes and quasi-turbulent dynamics. Methods. A predictor-corrector test particle code is used to model the trajectories of protons at different stages of sheet tearing: when the sheet is intact, just after the formation of the first major flux rope, and once the non-linear phase of the instability has become more fully developed. The fields for these proton trajectories were taken from snapshots of a 3D magnetohydrodynamics simulation treated as three static field geometries represented by interpolated grids. Acceleration in the intact current sheet is compared to earlier simulations of infinite static current sheets and then used as a control case with which to compare the later snapshots. Results. Protons are found to be predominantly accelerated along the fan surface, especially in the absence of current sheet tearing. Most of the highest energy protons are accelerated in the main body of the current sheet, along the direction of strongest parallel electric field. A high energy tail is present in the kinetic energy distribution. After tearing commences, this direct acceleration no longer dominates and acceleration in the outflow regions makes a proportionally greater contribution. Sheet tearing appears overall to hinder the acceleration of protons in the fan plane, at least in the absence of time-dependent acceleration mechanisms. Some correlation is found between high energy protons and locations of flux ropes formed by the instability, but the nature of the link remains at present unclear.</p
    corecore