31 research outputs found

    Infection de Glossina palpalis palpalis (Diptera, Glossinidae) par les trypanosomes en zone forestière de Gagnoa en Côte d'Ivoire

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    Des taux d'infection par les trypanosomes ont été calculés avec 2153 #Glossina palpalis palpalis capturés aux pièges biconiques dans de différents biotopes en rapport avec l'activité humaine en zone forestière de Côte d'Ivoire. Il ressort des résultats obtenus qu'il n'y a pas un biotope préférentiel des glossines parasitées par les trypanosomes. L'espèce de trypanosome la plus répandue parasitant #G. p. palpalis est #T. congolense(10,13 (10,13 %) suivie de #T. vivax (8,22 %) et plus rarement de #T. brucei(0,70 (0,70 %). Le parasitisme par les trypanosomes affecte plus les glossines femelles (21,27 %) que les mâles (13,56 %). Chez les femelles l'âge physiologique touché par la première infection à #T. vivax, #T. congolense et #T. brucei se situe respectivement en moyenne à 5,15 et 35 jours. Ces différents taux d'infection varient également en fonction des saisons. (Résumé d'auteur

    Soil/litter beetle abundance and diversity along a land use gradient in tropical africa (oumé, ivory coast)

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    Beetles represent acomponent of arthropods that contributes to enrichment and circulation of mineral elements retained in litter and the topsoil. We have studied beetle abundance, diversity, and distribution in response to anthropogenic activities (farming, urbanization, etc.). Two collecting methods were used: soil monoliths extraction, and sifting and processing of soil and litter samples in a mini-winkler extractor. This study was conducted in the central-western part of Ivory Coast, near Oumé in eight agroecosystems with five types of habitats. Our results showed that secondary forests had the highest beetle abundance, but the highest diversity was found in the fallows. The families represented in the majority of agroecosystems are Staphylinidae, Scydmaenidae, Curculionidae, Pselaphidae, Scarabaeidae and Carabidae. The regenerating forest plantations and cocoa plantations were characterized by lower beetle abundance and diversity. The study demonstrated that beetle abundance and diversity were affected by human activities and depended on the intensity of land use.Les Coléoptères sont une composante des arthropodes qui participent à l’enrichissement et à la circulation des éléments minéraux de la litière et du sol. L’abondance et la diversité des Coléoptères ont donc fait l’objet d’une étude pour voir l’impact des activités anthropogéniques (agriculture, urbanisation, etc.). Deux méthodes de collecte ont été utilisées : extraction à partir des monolithes du sol, et extraction des Coléoptères à partir des winklers après tamisage des échantillons de sol et de litière. Les travaux se sont déroulés dans le centre ouest de la Côte d’Ivoire, près de Oumé dans 8 agroécosystèmes formant cinq types d’habitat. Il ressort des résultats que les forêts secondaires ont l’abondance la plus élevée mais, la diversité la plus élevée est trouvée en jachères. Les familles présentes dans la majorité des agroécosystèmes sont les Staphylinidae, Scydmaenidae, Curculionidae, Pselaphidae, Scarabaeidae et les Carabidae. Les agroécosystèmes reboisés et les cacaoyères sont caractérisés par les plus faibles abondances et diversités. Ces travaux ont montré que l’abondance et la diversité des Coléoptères du sol sont affectées par les activités humaines et cela dépendent de l’intensité d’utilisation du sol.Keywords: Beetle, abundance, diversity, agroecosystems, anthropogenic activitie

    Towards an optimal design of target for tsetse control: comparisons of novel targets for the control of palpalis group tsetse in West Africa

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    Background: Tsetse flies of the Palpalis group are the main vectors of sleeping sickness in Africa. Insecticide impregnated targets are one of the most effective tools for control. However, the cost of these devices still represents a constraint to their wider use. The objective was therefore to improve the cost effectiveness of currently used devices. Methodology/Principal Findings: Experiments were performed on three tsetse species, namely Glossina palpalis gambiensis and G. tachinoides in Burkina Faso and G. p. palpalis in CĂ´te d'Ivoire. The 1Ă—1 m2 black blue black target commonly used in W. Africa was used as the standard, and effects of changes in target size, shape, and the use of netting instead of black cloth were measured. Regarding overall target shape, we observed that horizontal targets (i.e. wider than they were high) killed 1.6-5x more G. p. gambiensis and G. tachinoides than vertical ones (i.e. higher than they were wide) (P<0.001). For the three tsetse species including G. p. palpalis, catches were highly correlated with the size of the target. However, beyond the size of 0.75 m, there was no increase in catches. Replacing the black cloth of the target by netting was the most cost efficient for all three species. Conclusion/Significance: Reducing the size of the current 1*1 m black-blue-black target to horizontal designs of around 50 cm and replacing black cloth by netting will improve cost effectiveness six-fold for both G. p. gambiensis and G. tachinoides. Studying the visual responses of tsetse to different designs of target has allowed us to design more cost-effective devices for the effective control of sleeping sickness and animal trypanosomiasis in Africa

    Nouvelles données sur le parasitisme de

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    Une étude sur un cycle annuel du parasitisme de Glossina palpalis palpalis par Hexamermis glossinae a été effectuée dans les secteurs d'Abengourou, d'Aboisso et de Daloa (zones forestières de Côte d'Ivoire). Les dissections de 2 168 glossines à Abengourou et 9732 à Aboisso n'ont pas permis de mettre le parasite en évidence. À Daloa, en revanche, le pourcentage d'infection est de 1,75 % sur un total de 7341 mouches disséquées. Tous les parasites sont localisés dans la cavité abdominale sans léser les organes. Les mâles sont plus infectés que les femelles (2,68 % contre 1,26 %), et parmi celles-ci les nullipares sont plus infectées que les jeunes pares et vieilles pares (2,30 % contre 1,19 % et 0,52 % respectivement). Le parasite est le plus abondant chez les glossines en début de saison des pluies (5, 17 %) et plus rare en saison sèche (0,23 %). Le faible niveau de parasitisme observé ici semble indiquer que celui-ci a naturellement peu d'impact sur la dynamique du principal vecteur de la maladie du sommeil en Côte d'Ivoire

    Nouvelles données sur le parasitisme de Glossina palpalis palpalis (Diptera : Glossinidae) par Hexamermis glossinae (Nematoda : Mermithidae) en secteur pré-forestier de Côte d'Ivoire

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    Une étude sur un cycle annuel du parasitisme de Glossina palpalis palpalis par Hexamermis glossinae a été effectuée dans les secteurs d'Abengourou, d'Aboisso et de Daloa (zones forestières de Côte d'Ivoire). Les dissections de 2 168 glossines à Abengourou et 9732 à Aboisso n'ont pas permis de mettre le parasite en évidence. À Daloa, en revanche, le pourcentage d'infection est de 1,75 % sur un total de 7341 mouches disséquées. Tous les parasites sont localisés dans la cavité abdominale sans léser les organes. Les mâles sont plus infectés que les femelles (2,68 % contre 1,26 %), et parmi celles-ci les nullipares sont plus infectées que les jeunes pares et vieilles pares (2,30 % contre 1,19 % et 0,52 % respectivement). Le parasite est le plus abondant chez les glossines en début de saison des pluies (5, 17 %) et plus rare en saison sèche (0,23 %). Le faible niveau de parasitisme observé ici semble indiquer que celui-ci a naturellement peu d'impact sur la dynamique du principal vecteur de la maladie du sommeil en Côte d'Ivoire
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