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Physical parameters of IPHAS-selected classical Be stars. (I. Determination procedure and evaluation of the results.)
Reproduced with permission from Astronomy & Astrophysics, © 2016 ESOWe present a semi-automatic procedure to obtain fundamental physical parameters and distances of classical Be (CBe) stars, based on the Barbier-Chalonge-Divan (BCD) spectrophotometric system. Our aim is to apply this procedure to a large sample of CBe stars detected by the IPHAS photometric survey, to determine their fundamental physical parameters and to explore their suitability as galactic structure tracers. In this paper we describe the methodology used and the validation of the procedure by comparing our results with those obtained from different independent astrophysical techniques for subsamples of stars in common with other studies. We also present a test case study of the galactic structure in the direction of the Perseus Galactic Arm, in order to compare our results with others recently obtained with different techniques and the same sample of stars. We did not find any significant clustering of stars at the expected positions of the Perseus and Outer Galactic Arms, in agreement with previous studies in the same area that we used for verification.Peer reviewedFinal Published versio
Stellar archaeology: the evolving spectrum of FG Sge
Over an interval of 120 years, the extraordinary object FG Sge has been
transformed from a hot post-AGB star to a very luminous cool supergiant.
Theoretically, this evolution has been associated with the reignition of a
helium-shell during the post-AGB stage. A series of studies of the chemical
composition of the photosphere have suggested that this evolution has been
associated with a dramatic increase of approximately 3 dex in the abundances of
s-process elements between about 1960 and 1995. The problem with this apparent
change is that it occurred at a time when the surface convection zone, which is
governed by the star's effective temperature, could not have developed
sufficiently to dredge processed material from the stellar interior to the
surface. We have reviewed the chemical evolution of FG Sge by means of
modelling the time-varying spectrum under a range of assumptions. By comparing
these models with published observational data, a self-consistent picture has
emerged. In particular we find that surface hydrogen has been depleted during
the interval in question. In contrast, the s-process abundances have generally
maintained a steady enhancement of around 1 - 2 dex, although some modest
changes may have occurred since 1950. This implies that FG Sge has not just
completed dredging up freshly-produced s-process isotopes. However, there
remains a contradiction between the observed hydrogen-depletion, the age of the
associated planetary nebula, and current evolutionary models for a pre-white
dwarf suffering a late thermal pulse.Comment: 18 pages, 13 figures, A&A in pres
Caractéres spectrophotomètriques de l'age
RésuméSur les trois paramètres utilisés dans la classification tridimensionnelle deux sont indépendants de l'absorption interstellaire : ce sont D et λ1 qui mesurent la grandeur et la position dans le spectre de la discontinuité de Balmer. Si l'on classe les étoiles de la population I en se bornant à l'emploi de ces deux paramètres, on obtient directement et sans qu'aucune correction soit nécessaire un graphique analogue au diagramme HR : les points représent ant les étoiles de divers amas connus permettent de « graduer en âge » le diagramme composite ainsi établi directement et l'on peut en déduire des informations sur l'âge des étoiles individuelles n'appartenant pas aux amas précédents.On a de même commencé à construire le diagramme relatif aux étoiles de la population II voisines du soleil.</jats:p
Nécessité de trois paramètres pour la classification précise des étoiles des premiers types spectraux
RésuméUne classification stellaire utilisant trois paramètres quantitatifs a été constitute : elle permet de classer des étoiles qui n'avaient pas place dans les anciens systèmes.Une classification précise exige trois paramètres aussi bien pour la population I que pour la population II. Lorsque les valeurs des trois paramètres caractérisant une étoile sont connues, sa magnitude absolue semble déterminée sans ambiguité : ainsi toute « dispersion cosmique » disparaîtrait. Cette notion serait la conséquence du manque de precision de la classification à deux paramètres qui a été employée jusqu'ici.</jats:p
Some results of the Barbier-Chalonge-Divan system of stellar classification
Several years ago a three-parameter system of stellar classification has been proposed (1, 2), for the early-type stars (O-G): it was an improvement on the two-parameter system described by Barbier and Chalonge (3).</jats:p
Révision des coefficients d'absorption de l'ozone dans la région 3416-3130 Å
Dans le domaine considéré, la densité optique de l'ozone est bien proportionnelle à la quantité de gaz traversée par le rayonnement. Les valeurs des coefficients d'absorption de l'ozone données par Ny et Choong sont trouvées très satisfaisantes, à l'exception de celle relative au maximum d'absorption 3200 Å
Recherches sur la transparence de la basse atmosphère et sa teneur en ozone
Ces études ont été faites à l'aide d'un spectrographe ultraviolet à prisme objectif d'un nouveau modèle dont la particularité est de pouvoir fournir d'une source ponctuelle éloignée un spectre de hauteur finie, avantage particulièrement important dans les recherches spectrophotométriques : ce résultat est obtenu en donnant de l'astigmatisme au système optique par inclinaison de l'objectif de chambre et en photographiant les focales tangentielles. Les coefficients d'absorption de l'atmosphère dans l'ultraviolet s'obtiennent en mesurant par photométrie photographique l'absorption exercée par une épaisseur de 1 200 à 1400 m d'air sur le rayonnement continu d'un tube à hydrogène : on compare, pour cela, deux spectres de l'hydrogène obtenus en photographiant le spectre de la source à une distance égale à 400 m pour le premier, à 1 600 ou 1 800 m pour le second. Ces spectres ont révélé l'existence, pour les longueurs d'ondes plus courtes que 2 700 Å, d'une absorption attribuable à la molécule d'oxygène et constituée par un spectre de bandes suivi, au-dessous de 2 421 Å, par un spectre continu. En se plaçant en dehors de la région absorbée par l'oxygène, on peut déduire des coefficients d'absorption, la teneur de l'atmosphère en ozone. De telles mesures ont été faites simultanément à Lauterbrunnen (alt. 800 m, pression 690 mm) et près de l'Observatoire du Jungfraujoch (alt. 3 457 m, pression 500 mm) les unes par nous, les autres par Gôtz, utilisant une méthode analogue. La concentration de l'ozone a été trouvée systématiquement plus forte au Jungfraujoch. Il semble, de plus, que l'atmosphère de Lauterbrunnen soit plus absorbante, (abstraction faite de l'ozone) au-dessous de 2 500 Å, que celle du Jungfraujoch
List of spectrophotometric standards in use at the Institut d'Astrophysique of Paris
The stars of Table 1 have been accurately related to each other over the spectral range 6100–3150Å, and the values of logare given in Table 2. Among them isαLyr for which an absolute energy distribution has been adopted by Code. A new absolute calibration for the stars of Table 1, entirely independent of that ofαLyr, is being completed in Paris.</jats:p
