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    The Contractile Phenotype of Skeletal Muscle in TRPV1 Knockout Mice Is Gender-Specific and Exercise-Dependent

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    International audienceThe transient receptor potential vanilloid 1 (TRPV1) belongs to the transient receptor potential superfamily of sensory receptors. TRPV1 is a non-selective cation channel permeable to Ca 2+ that is capable of detecting noxious heat temperature and acidosis. In skeletal muscles, TRPV1 operates as a reticular Ca 2+-leak channel and several TRPV1 mutations have been associated with two muscle disorders: malignant hyperthermia (MH) and exertional heat stroke (EHS). Although TRPV1 −/− mice have been available since the 2000s, TRPV1's role in muscle physiology has not been thoroughly studied. Therefore, the focus of this work was to characterize the contractile phenotype of skeletal muscles of TRPV1-deficient mice at rest and after four weeks of exercise. As MS and EHS have a higher incidence in men than in women, we also investigated sex-related phenotype differences. Our results indicated that, without exercise, TRPV1 −/− mice improved in vivo muscle strength with an impairment of skeletal muscle in vitro twitch features, i.e., delayed contraction and relaxation. Additionally, exercise appeared detrimental to TRPV1 −/− slow-twitch muscles, especially in female animals

    Etat des lieux des tests RAS chez les patients atteints de cancer colorectal métastatique en 2014

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    Présentation PosterNational audienceIntroduction : De 2008 à 2013, la prescription des anticorps monoclonaux anti-EGFR (cetuximab et panitumumab) dans le cancer colorectal métastatique (CCRm) était soumise à la mise en évidence préalable de l’absence de mutation somatique de l’exon 2 du gène KRAS, dont l’impact sur l’efficacité thérapeutique avait été démontré. En 2013, l’identification d’autres mutations sur les exons 3, 4 du gène KRAS et 2, 3, 4 du gène NRAS exerçant un effet similaire, et la restriction de la prescription du cetuximab aux patients atteints de CCRm non porteurs d’une de ces mutations dites « mutations RAS » a permis d’affiner davantage la population susceptible de bénéficier de ce traitement.Objectifs et méthode : L’étude FLASH-RAS fait suite à l’étude FLASH-KRAS qui a permis de décrire les pratiques de prescription et de réalisation du test KRAS exon 2 en 2011. FLASH-RAS est une étude observationnelle rétrospective nationale multicentrique dont l’objectif principal était l’évaluation en 2014 des pratiques de prescription et de réalisation des tests RAS dans la prise en charge (PEC) du CCRm. Les objectifs secondaires étaient de décrire l’évolution des taux de prescription des tests RAS entre 2011 et 2014, de décrire le circuit et le délai d’obtention des résultats, d’analyser leur impact sur la stratégie thérapeutique.Résultats : 375 patients atteints d’un CCRm diagnostiqué après le 1er mars 2014 et pour lesquels un traitement de 1ère ligne métastatique a été instauré entre le 1er mars et le 30 juin 2014 ont été analysés. 90.1% (IC95%= [87.1% ; 93.2%]) d’entre eux ont bénéficié d’une demande de test RAS lors de leur PEC en 1ère ligne métastatique, un taux en augmentation significative par rapport à 2011 (81.1% dans FLASH-KRAS, p<0.001). Pour 75% des patients, la demande était faite avant ou au plus tard un mois après le diagnostic des premières métastases. Il n’a pas été montré d’augmentation des délais médian et moyen de réception du compte-rendu de génotypage entre 2011 (19 et 23.6±28.2 j respectivement) et 2014 (20 et 24.6±17.2 j respectivement) malgré le nombre accru d’exons testés (1 exon en 2011 versus 6 en 2014).Conclusion : En 2014, le génotypage RAS est ancré dans la pratique de PEC des patients CCRm et sa prescription est en progression par rapport à 2011. Bien qu’elle soit faite avant ou au plus tard un mois après le diagnostic des premières métastases pour une large majorité de patients, la prescription du test RAS, plus d’un mois après le diagnostic des premières métastases chez 24,5 % des patients, semble peu compatible avec une décision thérapeutique de 1ère ligne tenant compte du statut mutationnel RAS du patient. Entre 2011 et 2014, les délais médian et moyen d’obtention du compte-rendu ne sont pas différents, la diminution de l’écart-type à la moyenne révèle une tendance à l’homogénéisation des délais. Cette étude témoigne de la réactivité de chaque acteur de la PEC du patient atteint de CCRm dans le déploiement de nouveaux tests prédictifs. Les nouvelles techniques d’analyse du statut RAS en cours d’évaluation permettront probablement d’améliorer encore le délai d’obtention du statut RAS

    Etat des lieux des tests RAS chez les patients atteints de cancer colorectal métastatique en 2014

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    Présentation PosterNational audienceIntroduction : De 2008 à 2013, la prescription des anticorps monoclonaux anti-EGFR (cetuximab et panitumumab) dans le cancer colorectal métastatique (CCRm) était soumise à la mise en évidence préalable de l’absence de mutation somatique de l’exon 2 du gène KRAS, dont l’impact sur l’efficacité thérapeutique avait été démontré. En 2013, l’identification d’autres mutations sur les exons 3, 4 du gène KRAS et 2, 3, 4 du gène NRAS exerçant un effet similaire, et la restriction de la prescription du cetuximab aux patients atteints de CCRm non porteurs d’une de ces mutations dites « mutations RAS » a permis d’affiner davantage la population susceptible de bénéficier de ce traitement.Objectifs et méthode : L’étude FLASH-RAS fait suite à l’étude FLASH-KRAS qui a permis de décrire les pratiques de prescription et de réalisation du test KRAS exon 2 en 2011. FLASH-RAS est une étude observationnelle rétrospective nationale multicentrique dont l’objectif principal était l’évaluation en 2014 des pratiques de prescription et de réalisation des tests RAS dans la prise en charge (PEC) du CCRm. Les objectifs secondaires étaient de décrire l’évolution des taux de prescription des tests RAS entre 2011 et 2014, de décrire le circuit et le délai d’obtention des résultats, d’analyser leur impact sur la stratégie thérapeutique.Résultats : 375 patients atteints d’un CCRm diagnostiqué après le 1er mars 2014 et pour lesquels un traitement de 1ère ligne métastatique a été instauré entre le 1er mars et le 30 juin 2014 ont été analysés. 90.1% (IC95%= [87.1% ; 93.2%]) d’entre eux ont bénéficié d’une demande de test RAS lors de leur PEC en 1ère ligne métastatique, un taux en augmentation significative par rapport à 2011 (81.1% dans FLASH-KRAS, p<0.001). Pour 75% des patients, la demande était faite avant ou au plus tard un mois après le diagnostic des premières métastases. Il n’a pas été montré d’augmentation des délais médian et moyen de réception du compte-rendu de génotypage entre 2011 (19 et 23.6±28.2 j respectivement) et 2014 (20 et 24.6±17.2 j respectivement) malgré le nombre accru d’exons testés (1 exon en 2011 versus 6 en 2014).Conclusion : En 2014, le génotypage RAS est ancré dans la pratique de PEC des patients CCRm et sa prescription est en progression par rapport à 2011. Bien qu’elle soit faite avant ou au plus tard un mois après le diagnostic des premières métastases pour une large majorité de patients, la prescription du test RAS, plus d’un mois après le diagnostic des premières métastases chez 24,5 % des patients, semble peu compatible avec une décision thérapeutique de 1ère ligne tenant compte du statut mutationnel RAS du patient. Entre 2011 et 2014, les délais médian et moyen d’obtention du compte-rendu ne sont pas différents, la diminution de l’écart-type à la moyenne révèle une tendance à l’homogénéisation des délais. Cette étude témoigne de la réactivité de chaque acteur de la PEC du patient atteint de CCRm dans le déploiement de nouveaux tests prédictifs. Les nouvelles techniques d’analyse du statut RAS en cours d’évaluation permettront probablement d’améliorer encore le délai d’obtention du statut RAS

    0531: Long-term experience with heart transplantation in children and patients with congenital heart disease

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    This study assessed the long-term outcome of heart (HTx) and heart-lung transplantation (HLTx) in patients with congenital heart disease (CHD) and children with non-congenital cardiac or pulmonary disease.MethodsRetrospective single-centre analysis of long-term posttransplant outcome, with chart collection of clinical and paraclinical data.ResultsFrom 1984 to 2013, 111 first-HTx, 5 HLTx and 6 re-HTx were performed (62 males), in patients aged 11.7±8.2y: 96(79%) aged <18y. Cardiopathy included 61 cardiomyopathies (50.8%), 50 CHD (41.7%), 6 retransplants (5%). HLTx included 1 Eisenmenger, 1 PPHT, and 2 pulmonary diseases. Patients with cardiomyopathy were younger than CHD (8.7y vs 14.9y).Seventeen (14%) patients had circulatory mechanical support as bridge to transplant. Acute rejection occurred more frequently within the first year post-transplant or >5th year in non-compliant teenagers. Overall 33 patients died (27%), 3.5±4.6y postTx (1 day to 16.4y, med 1.5 months), due to early multivisceral failure in 6 (18%), pulmonary hypertension in 3 (9%), acute rejection in 7 (21%), graft coronary disease in 6 (18%), sepsis in 5 (15%) and miscellaneous in 6. Graft coronary disease occurred in 15(12.4%): 4 had re-HTx, 6 died and 5 are alive. Five lymphoma occurred, 4 months to 14y after HTx, cured in 4 (1died). Patient’s survival was 85% at 1y, 81% at 5y, 70% at 10y and 61% at 20y post-transplant. Graft survival rates were respectively 82%, 68% and 52% at 5y, 10y and 20y post-transplant. Survival did not differ with pretransplant disease, age, gender, pretransplant mechanical support. Mortality was higher in patients with coronary disease (40%) than those free from (25%).Conclusionlong-term prognosis after HTx and HLTx is favourable. Graft coronary disease is the main cause of failure, less frequent than in the adult non-CHD heart-transplanted population
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