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Emission estimates of HCFCs and HFCs in California from the 2010 CalNex study
The CalNex 2010 (California Research at the Nexus of Air Quality and Climate Change) study was designed to evaluate the chemical composition of air masses over key source regions in California. During May to June 2010, air samples were collected on board a National Oceanic and Atmospheric Administration (NOAA) WP-3D aircraft over the South Coast Air Basin of California (SoCAB) and the Central Valley (CV). This paper analyzes six effective greenhouse gases - chlorodifluoromethane (HCFC-22), 1,1-dichloro-1-fluoroethane (HCFC-141b), 1-chloro-1,1-difluoroethane (HCFC-142b), 2-chloro-1,1,1,2-tetrafluoroethane (HCFC-124), 1,1,1,2- tetrafluoroethane (HFC-134a), and 1,1-difluoroethane (HFC-152a) - providing the most comprehensive characterization of chlorofluorocarbon (CFC) replacement compound emissions in California. Concentrations of measured HCFCs and HFCs are enhanced greatly throughout the SoCAB and CV, with highest levels observed in the SoCAB: 310 ± 92 pptv for HCFC-22, 30.7 ± 18.6 pptv for HCFC-141b, 22.9 ± 2.0 pptv for HCFC-142b, 4.86 ± 2.56 pptv for HCFC-124, 109 ± 46.4 pptv for HFC-134a, and 91.2 ± 63.9 pptv for HFC-152a. Annual emission rates are estimated for all six compounds in the SoCAB using the measured halocarbon to carbon monoxide (CO) mixing ratios and CO emissions inventories. Emission rates of 3.05 ± 0.70 Gg for HCFC-22, 0.27 ± 0.07 Gg for HCFC-141b, 0.06 ± 0.01 Gg for HCFC-142b, 0.11 ± 0.03 Gg for HCFC-124, 1.89 ± 0.43 Gg for HFC-134a, and 1.94 ± 0.45 Gg for HFC-152b for the year 2010 are calculated for the SoCAB. These emissions are extrapolated from the SoCAB region to the state of California using population data. Results from this study provide a baseline emission rate that will help future studies determine if HCFC and HFC mitigation strategies are successful. Key PointsHCFC and HFC emissions are calculated for the year 2010 for the SoCABEmissions are extrapolated to the state of CaliforniaEmissions are calculated using CalNex field measurements © 2013. American Geophysical Union. All Rights Reserved
Modélisation avec STICS des effets de non travail versus travail du sol en systèmes de culture sous des conditions pédoclimatiques contrastées
STICS a été largement utilisé dans de nombreux contextes agro-environnementaux, en particulier en France. Il a été testé en situation labourée et climat tempéré a contrario des systèmes de non-labour en zones tropicales. Quelques études ont évalué STICS dans des conditions tropicales, mais elles sont basées sur d'anciennes versions du modèle où les processus biologiques de dégradation du mulch de résidus de culture ne sont pas décrits. Nos hypothèses sont : i) les bilans d'eau, d'azote et de carbone à court, moyen ou long terme sont davantage sensibles aux modalités de décomposition du mulch qu'à la structure du sol, quand on compare les impacts du non travail du sol et du labour ; ii) le comportement et le devenir du mulch dépendent fortement des interactions advenant au sein du système techno-pédo- climatique. Notre stratégie a été de tester la capacité de STICS (v8.3.1) à simuler les systèmes de culture basés sur le non-labour et avec une couverture permanente d'un paillis de résidus de plantes sous les climats contrastés de plusieurs sites expérimentaux
Impact de l'introduction des légumineuses dans les systèmes de culture sur les émissions de protoxyde d'azote
Dans un objectif d'atténuation du réchauffement climatique, la mise en place de systèmes de culture plus autonomes vis - à - vis des engrais minéraux devient incontournable pour réduire les émissions de gaz à effet de serre (GES) tout en diminuant le coût de la fertilisation. L'insertion de légumineuses dans ces systèmes semble être un levier prometteur pour y parvenir. Les économies d'azote permises par différents modes d'introduction de légumineuses et leur impact sur les émissions de GES ont été estimés et évalués en quantifiant au préalable les flux d'azote dans les systèmes avec ou sans légumineuses à partir de données issues de dispositifs expérimentaux préexistants, disponibles dans la bibliographie ou acquises dans de nouveaux essais. L'introduction de légumineuses présente régulièrement un impact positif sur la réduction de l'emploi des engrais azotés. Le risque d'augmentation de la lixiviation du nitrate dépend de leur mode d'introduction et de leur place dans les rotations. Enfin, les émissions mesurées en cul tures principales de légumineuses sont généralement très significativement réduites en comparaison des cultures fertilisées, cependant la dégradation des résidus des légumineuses (en culture ou en couverts) peut générer des émissions de N 2 O corrélées à leur impact sur les flux d'azote, variable selon les conditions pédoclimatiques. Ces résultats devraient permettre d'élaborer des recommandations pour mieux prendre en compte les légumineuses dans la conception de systèmes de culture plus autonomes vis - à - vis des engrais azotés de synthèse et moins émetteurs de N 2 0
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