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Croissance et détermination de l'âge par lecture d'écailles d'un poisson plat de Côte d'Ivoire, Cynoglossus canariensis (Steind. 1882)
Cynoglossus canariensis has a very rapid growth. The rate of the males is 0,36 and the female one is 0,32. The asymptotic size is 55,0cm for the females and 50,5cm for the males. Females and males younger than three years (40cm), which represent 90 per cent of the CĂ´te d'Ivoire stock have a similar growth, so the average equation: Lt=53,5 (1-e -0,34(t+1)) will be used
Roles of resonance and dark irradiance for infrared photorefractive self-focusing and solitons in bi-polar InP:Fe
This paper shows experimental evidence of photorefractive steady state
self-focusing in InP:Fe for a wide range of intensities, at both 1.06 and
1.55m. To explain those results, it is shown that despite the bi-polar
nature of InP:Fe where one photocarrier and one thermal carrier are to be
considered, the long standing one photocarrier model for photorefractive
solitons can be usefully applied. The relationship between the dark irradiance
stemming out of this model and the known resonance intensity is then discussed
Polymeric alkali fullerides are stable in air
Infrared transmission, electron spin resonance, and X-ray diffraction
measurements show unambiguously that RbC and KC are stable in
air, in contrast to RbC which decomposes rapidly upon exposure.
The specimens studied transform into pure C and other byproducts when
heated above 100\dd C, approximately the temperature of the orthorhombic-fcc
phase transition. The stability of these compounds raises the possibility of
applying them as protective layers for the superconducting fullerides.Comment: Scheduled for publication in Appl. Phys. Lett. 66, 20 Feb. 1995,
typeset in REVTEX v3.0 in LaTeX. Postscript file including all figures is
available on WWW http://insti.physics.sunysb.edu/~mmartin/ under my list of
publications, or will be e-mailed by request
Le pouvoir hiérarchique
Le pouvoir hiérarchique n’est-il pas trop connu, trop étudié, trop cité, y compris au-delà du cercle des juristes, pour être l’objet d’une nouvelle étude ? Transmis aux étudiants à travers quelques préceptes peu discutés, rarement nuancés, il conserve toutefois une part d’ombre et une grande richesse pour l’analyse de l’Administration et de son droit. En tant que notion juridique, le pouvoir hiérarchique doit être envisagé à l’aune de sa fonction pour les structures administratives : il se définit alors comme un moyen d’unification de la volonté et de l’action au sein de chaque personne publique. Il est un pouvoir inconditionné affectant l’ensemble de l’activité des subordonnés, qu’elle se traduise par la réalisation d’actes juridiques ou d’opérations matérielles. Par des prérogatives d’instruction, de correction et de substitution, qui chacune en constitue un aspect particulier, il permet aux supérieurs de commander et contrôler. Au-delà des modulations ou altérations variées dont il peut faire l’objet, il conserve l’unité que lui donne sa fonction particulière. De cette présentation, on pourrait déduire que le pouvoir hiérarchique n’a d’incidence qu’à l’intérieur de l’Administration. Les agents sont en effet placés dans une situation de dépendance, ce qui se traduit par une obligation d’obéir, matérialisée par l’existence de sanctions, directes ou indirectes, et de subir, caractérisée par l’irrecevabilité de leurs recours contre les actes hiérarchiques. Cependant, les administrés ne sont pas étrangers au pouvoir hiérarchique qui, à leur égard, peut présenter des effets concrets tant sur le plan juridique que pratique, conduisant à relativiser la distinction parfois faite entre légalité intérieure et légalité générale
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