123 research outputs found

    Les rues des tableaux: The Geography of the Parisian Art Market 1815-1955

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    Building upon a preliminary socioeconomic analysis of the art dealers in Paris between 1815 and 1955 (ARTL@S Bulletin 2, n°2), this paper presents the findings of a spatial study of the Parisian art market in this period. Using serial geographical data drawn from a single, consistent source – the Bottin du commerce – we mapped the spatial evolution of art dealers over 140 years, using a geocoding system with composite locators. The article explores the different spatial dynamics of this market, and seeks to shed light on the links between the evolution of the Parisian economy as a whole and the individual trajectories of its art dealers

    : Rapport de fouille programmée 2008

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    La campagne menée en 2008 sur le site protohistorique de Pech Maho marque la première année d'un nouveau programme triannuel. La fouille a porté sur trois zones distinctes, à savoir la fortification aux abords de la porte principale (zone 71) ainsi que les îlots I (zone 77) et X (zone 78).Parmi les acquis de cette campagne, on retiendra la confirmation d'une phase immédiatement postérieure à la destruction du site. Cette phase est caractérisée par la multiplication d'indices à caractère rituel qui permettent d'envisager que le lieu, une fois détruit, a perdu son caractère d'habitat stricto sensu pour se voir converti en un lieu de commémoration. Les gestes mis en oeuvre appellent ponctuellement la comparaison avec ce qui a pu être observé dans certains sanctuaires celtiques mais témoignent également de pratiques pour l'heure inédites

    Narbonne : la ville et ses ports

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    A new reading of ancient documents and discoveries made recently in Narbonne and its surroundings have made possible to clarify the different stages of the urban development but also showed the existence of important portuary installations in the bodies of water, South of the town. The analysis of these information, to which we can add those related to the trading relationships existing with the hinterland, bring essential elements to the understanding of Narbonne in antic times.La reprise de la documentation ancienne et l'apport des découvertes récentes réalisées sur Narbonne et sa périphérie permettent de préciser les différentes phases du développement urbain mais aussi d'attester la présence d'importantes zones portuaires dans les étangs, au sud de la ville. La mise en perspective de ces différentes informations avec celles illustrant les relations commerciales avec son arrière-pays apporte des éléments essentiels pour la compréhension de Narbonne antique

    Pompéi. Villa de Diomède

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    Dans la continuité du programme initié en 2013, l’objectif de la deuxième campagne menée sur la Villa de Diomède était de mettre en évidence la chronologie du bâtiment et son rapport aux espaces environnants. Pour ce faire, l’étude archéologique a été centrée sur les façades est et sud de la villa, afin d’éclaircir le rapport à la rue (via delle Tombe) et aux tombes adjacentes. Il convenait d’explorer davantage l’évolution de la villa en fonction des rapports de propriété et d’occupation de l..

    : Rapport de fouille programmée 2008-2010

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    La fouille du comptoir littoral protohistorique de Pech Maho, reprise en 2004, a fait l'objet de entre 2008 et 2010 d'un second programme triannuel. Les travaux entrepris durant cette période ont principalement porté sur les phases récentes du site, plus précisément sur les phases III (v. 325-225/200 av. n. ère) et IV (v. 200 av. n. ère), cette dernière ayant été définie à l'occasion du programme en cours. En effet, il est apparu que la destruction brutale du site intervenant dans le dernier quart du IIIe s. av. n. ère ne signifiait pas l'abandon du gisement, mais que lui succédait immédiatement une phase caractérisée par une série de manifestations à caractère rituel, qui culminent avec l'érection d'un bûcher funéraire (fouillé anciennement) ayant reçu simultanément les corps d'une quinzaine d'individus. Le triannuel 2008-2010 a été l'occasion de préciser les observations préliminaires réalisées entre 2005 et 2007, en confirmant définitivement le séquençage venant d'être évoqué. Ce dernier autorise une très large relecture des données de fouille anciennes, où bon nombre de documents naguère dépeints comme étant caractéristiques d'une " couche de guerre " (restes d'équidés, pièces d'armement...) doivent en réalité être replacés dans ce contexte rituel où se conjuguent sacrifices d'équidés, dépôt d'armes, de pièces de harnachement ou d'autres objets porteurs de sens, sans compter d'autres manifestations jusque là peu documentées. La présence de restes humains, dont certains semblent avoir reçu un traitement particulier, participe également de cette phase ; ici encore, une relecture des données de fouille anciennes est dorénavant possible, révélant le caractère tout à fait exceptionnel de cette phase. La fouille 2008-2010 a ainsi porté sur trois zones distinctes. La première (zone 77) a porté sur une portion de l'îlot I, accolé au rempart méridional, portion qui n'avait été que partiellement concernée par les recherches menées par J. Campardou puis Y. Solier dans les années 1960 et 1970. La fouille a révélé l'existence d'un vaste " dépotoir " à ciel ouvert d'au moins une centaine de mètres carrés au sol, mis en place postérieurement à la destruction du site. Aménagé au milieu des ruines ou des bâtiments désaffectés et délimité par endroits par des murs nouvellement construits, cet ensemble se matérialise par une imposante couche de cendres de plusieurs dizaines de centimètres d'épaisseur, renfermant un abondant mobilier (céramiques brisées, restes de faune, coquillages...), interprété comme étant les restes de repas collectifs. La présence d'un chenet en terre cuite ou encore d'une broche à rôtir est à mettre en rapport avec la préparation de ces repas (banquet ?), la quantité importante de cendres témoignant quant à elle de feux particulièrement nourris, peut-être étalés dans le temps. Ce qui prend la forme d'un véritable " autel de cendres " fait suite à des dépôts de restes d'équidés réalisés sur la portion de rue située en façade, et précède la mise en place du bûcher collectif évoqué en préambule. L'ensemble paraît s'inscrire dans une démarche cohérente, dont la signification précise nous échappe, mais qu'il serait vain de vouloir déconnecter de l'épisode violent qui intervient à Pech Maho durant les dernières années du IIIe s. av. n. ère. Une nouvelle zone de fouille (zone 78) a été ouverte en 2008 dans la partie nord-occidentale du plateau de Pech Maho. De ce côté, un nouvel îlot a été fouillé pour ainsi dire intégralement, révélant tout d'abord que l'état visible (IIIe s.) constituait non seulement la reprise d'un bâtiment antérieur de plan manifestement méditerranéen (type " maison à pastas "), mais se superposait également à un édifice monumental dont la chronologie remonte au moins au milieu du Ve s. av. n. ère, édifice indiqué par une série de quatre bases monolithiques ayant reçu des piliers en bois, implantées en bordure occidentale de la rue 7. Dans son état de la fin du IIIe s., ce bâtiment dont l'originalité réside en partie dans l'emploi quasi exclusif de la terre massive, comprend en réalité deux parties. La première semble moins correspondre à une simple maison qu'à une entité à vocation économique (en l'occurrence commerciale), associant un entrepôt (incendié au moment de la destruction des années 225-200), une pièce de vie et un espace plus difficile à caractériser (cour ?), accessible par un couloir ouvert au sud sur la rue 6. Accolé à l'ouest, décalé sur le plan topographique, deux pièces en enfilade accessibles au sud via un escalier " monumental " se caractérisent par la présence de foyers, dallages et bases maçonnées interprétées avec vraisemblance comme des supports de stèles. La présence de crânes humains exposés est en outre attestée, de même que le démantèlement systématique des éléments porteurs de sens, vraisemblablement intervenu au moment du pillage concomitant de l'acte violent marquant la fin de l'habitat stricto sensu. La phase post destruction est ici particulièrement bien attestée, notamment par la présence d'un important dépôt d'ossements d'équidés au niveau du couloir précédemment cité. Preuve supplémentaire qu'une partie du bâti était alors en élévation, ce dépôt tout à fait singulier qui comporte plusieurs séquences a également livré une amphore vinaire, de l'armement ainsi que des mors de chevaux ; enfin, il témoigne indirectement du caractère particulier que revêtait auparavant cet îlot, la concordance topographique entre ce type de vestige et des édifices particuliers (bâtiments ou espaces publics, fortification...) étant dorénavant confirmée à l'échelle du site. La dernière zone (zone 71) correspond à la fortification, et plus précisément aux abords de la porte principale. Après avoir procédé à une relecture fine des différents états du rempart, de la porte en elle-même et de la tour en quart de cercle qui la flanque côté Ouest, la fouille s'est concentrée sur les abords extérieurs de cette porte, au niveau des " défenses avancées " en partie dégagées par Y. Solier dans les années 1970. Il apparaît désormais que ces aménagements participent d'une réorganisation globale du système d'accès, intervenant à la charnière des IVe-IIIe s. av. n. ère, soit les débuts de la phase III. De puissants terrassements sont destinés à aménager une rampe d'accès E-O menant à la porte charretière, tandis qu'une passerelle correspond au sud à un accès piéton enjambant le nouveau fossé creusé à ce moment. L'ensemble participe d'une réorganisation complexe du système de défenses, et notamment des abords de la porte principale où sont manifestement mis en œuvre des principes poliorcétiques empruntés au registre hellénistique. La fouille a également permis de retrouver l'extrémité occidentale du système de fossé archaïque, jusque-là fort mal documenté. Or, bien qu'amputé par les réaménagements du IIIe s., ce système s'avère plus complexe que prévu. En effet, l'idée d'un fossé unique daté de la phase Ib (v. 540-510) doit dorénavant être abandonnée : deux ouvrages fossoyés se succèdent, en se recoupant partiellement, le premier étant contemporain du tout premier état de la fortification (phase Ia, v. 560-540). Un des apports les plus novateurs de la zone 71 est la mise en évidence, au niveau du fossé correspondant à l'état IIIe s. de la fortification, de dépôt

    Socializing One Health: an innovative strategy to investigate social and behavioral risks of emerging viral threats

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    In an effort to strengthen global capacity to prevent, detect, and control infectious diseases in animals and people, the United States Agency for International Development’s (USAID) Emerging Pandemic Threats (EPT) PREDICT project funded development of regional, national, and local One Health capacities for early disease detection, rapid response, disease control, and risk reduction. From the outset, the EPT approach was inclusive of social science research methods designed to understand the contexts and behaviors of communities living and working at human-animal-environment interfaces considered high-risk for virus emergence. Using qualitative and quantitative approaches, PREDICT behavioral research aimed to identify and assess a range of socio-cultural behaviors that could be influential in zoonotic disease emergence, amplification, and transmission. This broad approach to behavioral risk characterization enabled us to identify and characterize human activities that could be linked to the transmission dynamics of new and emerging viruses. This paper provides a discussion of implementation of a social science approach within a zoonotic surveillance framework. We conducted in-depth ethnographic interviews and focus groups to better understand the individual- and community-level knowledge, attitudes, and practices that potentially put participants at risk for zoonotic disease transmission from the animals they live and work with, across 6 interface domains. When we asked highly-exposed individuals (ie. bushmeat hunters, wildlife or guano farmers) about the risk they perceived in their occupational activities, most did not perceive it to be risky, whether because it was normalized by years (or generations) of doing such an activity, or due to lack of information about potential risks. Integrating the social sciences allows investigations of the specific human activities that are hypothesized to drive disease emergence, amplification, and transmission, in order to better substantiate behavioral disease drivers, along with the social dimensions of infection and transmission dynamics. Understanding these dynamics is critical to achieving health security--the protection from threats to health-- which requires investments in both collective and individual health security. Involving behavioral sciences into zoonotic disease surveillance allowed us to push toward fuller community integration and engagement and toward dialogue and implementation of recommendations for disease prevention and improved health security

    Paléogéographie des étang narbonnais d´après les sources cartographiques anciennes

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    journal-articleL'utilisation des données anciennes en géographie est illustrée ici par l'étude de la paléogéographie des étangs narbonnais. Cette dernière, en relation avec les recherches sur le système portuaire narbonnais antique, est traitée par l'étude des cartes anciennes publiées depuis le début du XVIIIe s. A la réalisation d'un corpus de cartes cohérents et complets, fait suite leur géoréférencement au sein d'un Système d'Information Géographique. Les cartes ainsi obtenues permettent de dresser une paléogéographie fiable de ces étangs depuis la fin du XVIIIe s. L'analyse critique de cartes datant du début du XVIIIe s. apporte son lot de renseignements et permet d'esquisser une paléogéographie des étangs pour la fin du XVIIe s

    Paléogéographie des étang narbonnais d´après les sources cartographiques anciennes

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    journal-articleL'utilisation des données anciennes en géographie est illustrée ici par l'étude de la paléogéographie des étangs narbonnais. Cette dernière, en relation avec les recherches sur le système portuaire narbonnais antique, est traitée par l'étude des cartes anciennes publiées depuis le début du XVIIIe s. A la réalisation d'un corpus de cartes cohérents et complets, fait suite leur géoréférencement au sein d'un Système d'Information Géographique. Les cartes ainsi obtenues permettent de dresser une paléogéographie fiable de ces étangs depuis la fin du XVIIIe s. L'analyse critique de cartes datant du début du XVIIIe s. apporte son lot de renseignements et permet d'esquisser une paléogéographie des étangs pour la fin du XVIIe s

    Paléogéographie des étangs narbonnais d’après les sources cartographiques anciennes

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