60 research outputs found

    Vestiges de jardins : les terres de jardin

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    International audienceComposante essentielle du jardin, le sol constitue une véritable archive de l'existence du jardin. Il constitue un support privilégié pour étudier des pratiques culturales et des aménagements spécifiques. En prenant le sol comme objet d'étude, une brève présentation de ses caractères propres nous parait nécessaire avant de préciser une démarche d'étude à travers les sciences du sol et d'exposer une étude de cas

    Les terres rapportées dans les jardins du XVIe au XIXe siècles (caractérisation de l'impact anthropique à différentes échelles d'organisation du sol)

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    L'archéologie des jardins a débuté en France dans les années quatre vingt dix. Elle s'intéresse dorénavant à l'importance des terres rapportées dans la création des jardins datés du XVIe au XIXe siècles. Les sols des jardins sont des anthroposols développés par l'accumulation de dépôts à vocation esthétique ou culturale. L'objectif de ce travail est d'étudier le sol à différentes échelles d'observations pour identifier une activité de jardin. Ces recherches nécessitent plusieurs méthodes de sciences du sol. Des prospections géophysiques, la micromorphologie des sols, l'analyse d'image, des analyses physiques et chimiques ainsi que l'analyse de l'azote 15 visent ainsi à favoriser la caractérisation spatiale des dépôts et à déterminer leur attribution fonctionnelle. Le matériel étudié correspond à des sites de jardins datés du XVIe au XIXe siècles : le potager d'O. de Serres au Pradel (Ardèche), le jardin d'agrément du château du Grand-Pressigny (Indre-et-Loire), un jardin d'agrément en contexte urbain à Tours (Indre-et-Loire). Les hypothèses de travail sont propres à la nature de chaque site et à la découverte des vestiges. Elles concernent les propriétés du sol d'origine, la nature des éléments du jardin et des amendements en particulier. Les résultats montrent la pertinence d'utiliser conjointement les différentes techniques pour étudier finement la variabilité anthropique et naturelle de ces sols. Ces études importent à la fois aux sciences archéologique, agronomique et pédologique dans la reconnaissance d'anciens niveaux de surface, la pratique des amendements, la différenciation des dépôts et leur évolution des dépôts dans le temps.ANGERS-BU Lettres et Sciences (490072106) / SudocSudocFranceF

    Stratigraphie du remplissage supérieur de la grotte Rochefort

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    National audienc

    Appréhender les terres noires sur le terrain en contexte préventif : quelques exemples d’application à Bourges (France)

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    International audienceRecent preventive archaeology excavations in the historic centre of Bourges have uncovered a number of dark, homogenised deposits dating from various periods, from the end of the La Tène Final to the Late Middle Ages. The identification of these “black earth” facies deposits was based on a number of sedimentary criteria, applied in the field by archaeologists and geoarchaeologists. During the excavations, these levels were apprehended by combining a traditional archaeological approach (fine excavation, recording, stratigraphy) and a geoarchaeological approach (fine macroscopic description and study in sequences, chemical tests, colourimetry). The excavation of these levels, combined with the collection of archaeological material and multiple sampling (micromorphology, geochemistry, palynology, microarchaeology, etc.), highlights the diversity of deposits and environmental conditions associated with the use of activities and spaces. The methodological prospects include the development of a stratigraphic, geoarchaeological and spatial approach to black earth from the field phase onwards, the application of routine protocols for analysing soils and their constituents, and finally reasoned and problematised sampling and securities studies, with the integration of specialised studies into the entire archaeological process.Des fouilles récentes d’archéologie préventive, menées dans le centre historique de Bourges, ont permis la mise au jour ponctuelle de dépôts sombres et homogénéisés, attribués à diverses périodes, allant de la fin de La Tène Final au Bas Moyen Âge. L’identification de ces dépôts au faciès de « terres noires » a reposé sur plusieurs critères sédimentaires, mis en œuvre sur le terrain par les archéologues et les géoarchéologues. Lors des fouilles, ces niveaux ont été appréhendés en couplant une approche archéologique classique (fouille fine, enregistrement, stratigraphie) et une démarche géoarchéologique (description macroscopique fine et étude en séquences, tests chimiques, colorimétrie). La fouille de ces niveaux, associée à la collecte du mobilier archéologique et à un échantillonnage multiple (micromorphologie, géochimie, palynologie, microarchéologie, etc.), met en évidence la diversité des dépôts et des conditions de milieu associées à l’usage des activités et des espaces. Les perspectives méthodologiques concernent d’une part le développement d’une approche stratigraphique, géoarchéologique et spatiale des terres noires dès la phase de terrain, d’autre part, l’application de protocoles d’analyse des sols et de leurs constituants en routine, et enfin un échantillonnage et des études mobilières raisonnés et problématisés, avec une intégration des études spécialisées à l’ensemble de la chaîne opératoire archéologique

    L’agglomération fortifiée de hauteur de la fin du Premier âge du Fer de Mervent (Vendée), le rempart du Chêne Tord

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    The hillfort of Mervent dated of the Early Iron Age extends over 33,5 hectares. He is localised in a meander formed by two rivers which is blocked by two ramparts. That of Chêne Tord, builds wooden was set on fire, what allowed a good preservation of its architecture. Measures of the radiocarbon in lines of defence have been realised. Finally, perspectives are proposed to pursue the research in the more general frame of the whole forest massif of Mervent.L’agglomération fortifiée de hauteur du premier âge du Fer de Mervent s’étend sur 33,5 ha. Elle est située dans un méandre formé par deux rivières qui est barré par deux remparts. Celui du Chêne Tord, construit en bois a été incendié, ce qui a permis une bonne conservation de son architecture. Des mesures du radiocarbone dans les lignes de défense ont été réalisées. Des perspectives sont aussi proposées pour poursuivre la recherche dans le cadre plus général de l’ensemble du massif forestier de Mervent.Nillesse Olivier, Arthuis Rémy, Poirier Philippe, Vissac Carole. L’agglomération fortifiée de hauteur de la fin du Premier âge du Fer de Mervent (Vendée), le rempart du Chêne Tord. In: Aquitania : une revue inter-régionale d'archéologie, tome 33, 2017. pp. 7-34

    Le tumulus de l'âge du Bronze de Ty Korn à Gouesnac'h (Finistère)

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    International audienc

    Chacé, les Rogelins : un site des débuts de La Tène en Anjou

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    National audienc

    L'habitat déserté de Gungling (occupation de l'âge du Fer et du XIe au XVIe siècle) à Grosbliederstroff : rapport de fouilles: Document final de synthèse de fouille d'archéologie préventive

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    La fouille a révélé plusieurs périodes d'occupation. La première concerne une quinzaine de silos et un fossé attribués à l'âge du Fer (Hallstatt D/La Tène A). Après un important hiatus chronologique, le site est à nouveau investi au IXe s. par un habitat rural caractérisé par des fonds de cabane, des fosses et des silos, un four de potier et des sépultures isolées. Cet établissement est occupé sans discontinuité jusqu'à la fin du XVe s. ou au début du XVIe s. Les structures médiévales correspondent à des bâtiments à semelle de fondation en pierres, à des fosses et à des niveaux de remblais. Après l'abandon de l'habitat, le site est remis en culture. Au XVIIe ou XVIIIe, une sablière est exploitée. Elle est à l'origine de la destruction de la partie centrale du site. Après l'abandon de cette dernière, l'ensemble du site est mis en culture ou pâturage

    L’agglomération fortifiée de hauteur de la fin du premier âge du Fer de Mervent (Vendée), le rempart du Chêne Tord

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    International audienceThe hillfort of Mervent dated of the Early Iron Age extends over 33,5 hectares. He is localised in a meander formed by two rivers which is blocked by two ramparts. That of Chêne Tord, builds wooden was set on fire, what allowed a good preservation of its architecture. Measures of the radiocarbon in lines of defence have been realised. Finally, perspectives are proposed to pursue the research in the more general frame of the whole forest massif of Mervent.L’agglomération fortifiée de hauteur du premier âge du Fer de Mervent s’étend sur 33,5 ha. Elle est située dans un méandre formé par deux rivières qui est barré par deux remparts. Celui du Chêne Tord, construit en bois a été incendié, ce qui a permis une bonne conservation de son architecture. Des mesures du radiocarbone dans les lignes de défense ont été réalisées. Des perspectives sont aussi proposées pour poursuivre la recherche dans le cadre plus général de l’ensemble du massif forestier de Mervent
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