16 research outputs found

    Circulating adrenomedullin estimates survival and reversibility of organ failure in sepsis: the prospective observational multinational Adrenomedullin and Outcome in Sepsis and Septic Shock-1 (AdrenOSS-1) study

    Get PDF
    Background: Adrenomedullin (ADM) regulates vascular tone and endothelial permeability during sepsis. Levels of circulating biologically active ADM (bio-ADM) show an inverse relationship with blood pressure and a direct relationship with vasopressor requirement. In the present prospective observational multinational Adrenomedullin and Outcome in Sepsis and Septic Shock 1 (, AdrenOSS-1) study, we assessed relationships between circulating bio-ADM during the initial intensive care unit (ICU) stay and short-term outcome in order to eventually design a biomarker-guided randomized controlled trial. Methods: AdrenOSS-1 was a prospective observational multinational study. The primary outcome was 28-day mortality. Secondary outcomes included organ failure as defined by Sequential Organ Failure Assessment (SOFA) score, organ support with focus on vasopressor/inotropic use, and need for renal replacement therapy. AdrenOSS-1 included 583 patients admitted to the ICU with sepsis or septic shock. Results: Circulating bio-ADM levels were measured upon admission and at day 2. Median bio-ADM concentration upon admission was 80.5 pg/ml [IQR 41.5-148.1 pg/ml]. Initial SOFA score was 7 [IQR 5-10], and 28-day mortality was 22%. We found marked associations between bio-ADM upon admission and 28-day mortality (unadjusted standardized HR 2.3 [CI 1.9-2.9]; adjusted HR 1.6 [CI 1.1-2.5]) and between bio-ADM levels and SOFA score (p < 0.0001). Need of vasopressor/inotrope, renal replacement therapy, and positive fluid balance were more prevalent in patients with a bio-ADM > 70 pg/ml upon admission than in those with bio-ADM ≤ 70 pg/ml. In patients with bio-ADM > 70 pg/ml upon admission, decrease in bio-ADM below 70 pg/ml at day 2 was associated with recovery of organ function at day 7 and better 28-day outcome (9.5% mortality). By contrast, persistently elevated bio-ADM at day 2 was associated with prolonged organ dysfunction and high 28-day mortality (38.1% mortality, HR 4.9, 95% CI 2.5-9.8). Conclusions: AdrenOSS-1 shows that early levels and rapid changes in bio-ADM estimate short-term outcome in sepsis and septic shock. These data are the backbone of the design of the biomarker-guided AdrenOSS-2 trial. Trial registration: ClinicalTrials.gov, NCT02393781. Registered on March 19, 2015

    Characterization and optimization of EBT2 radiochromic films dosimetry system for precise measurements of output factors in small fields used in radiotherapy

    No full text
    International audienceThe accurate determination of absorbed dose in small photon beams, especially for stereotactic radiation therapy, is a difficult task with commercially available detectors. As these small fields are characterized by high dose gradients, a lack of lateral particle equilibrium and a variation of energy spectra with beam sizes, a dosimeter with high resolution, tissue-equivalence and high precision is required. The new radiochromic film EBT2, which meets these criteria, was fully characterized in Institut de Radioprotection et Sûreté Nucléaire (IRSN) for this application. This type of film was tested with the reading system EPSON Dual Lens Perfection V700 flatbed scanner in transmission mode. Warm-up effects of the scanner were studied as well as the influence of the scanner light. Uniformity of unirradiated and irradiated EBT2 films in terms of pixel value was found to be respectively 0.3% (1 SD) and 0.5% (1 SD). An original, accurate and efficient radiochromic film dosimetry protocol was established. The overall uncertainty for dose measurement with EBT2 films using this protocol was estimated at less than 2% (1 SD). Encouraging measurements of output factors were performed on a Novalis system. © 2011 Elsevier Ltd. All rights reserved

    P26 - Risque de poussée après vaccination contre le COVID-19 chez les patients atteints de sclérose en plaques en France utilisant un design « self-controlled case series »

    No full text
    International audienceIntroductionLes patients avec sclérose en plaques (SEP) ont eu un accès prioritaire à la vaccination contre le SARS-CoV-2. De nombreux cas de poussées subséquents à la vaccination ont été reportés dans la littérature, décourageant les patients à recevoir la dose de rappel, dans cette population parfois déjà réticente. L'objectif de cette étude était d’évaluer le risque de poussée suivant la vaccination contre le COVID-19 dans la population de patients avec SEP en France.MéthodesL’étude a été réalisée en utilisant les données du Système national des données de santé (SNDS). Les patients avec SEP ont été identifiés sur la base d'une affection de longue durée (ALD) pour SEP via un code CIM-10 ou traitement spécifique et suivis jusqu'en mars 2022. Les poussées nécessitant des corticoïdes à hautes doses ont été identifiées en utilisant un algorithme précédemment publié. Un design de type « self-controlled case series » (SCCS) a été utilisé pour évaluer le risque de poussée dans les 45 jours suivant la vaccination (analyse de sensibilité avec 90 jours). Le risque a été évalué pour la première, deuxième et troisième (rappel) dose et exprimé sous la forme d'un ratio du taux d'incidence (IRR), en prenant en compte les potentiels biais liés à des critères variants dans le temps tels que la saisonnalité et les traitements de fond de la SEP.RésultatsAu total, 124.545 patients avec SEP ont été identifiés au 1er janvier 2021, dont 82,3 % (n=102 524) ont reçu au moins une dose de vaccin contre le COVID-19 au 31 décembre 2021, pour un total de 259 880 doses. Aucune majoration du risque de poussée n'a été constatée pour les 1e, 2e et 3e doses, pour un effet combiné donnant un IRR=0,97 [0,91–1,03], p=0,30. Cette absence de risque était aussi valable pour les sous-groupes (âge <50ans, ancienneté de la SEP <10 ans, patients utilisant des traitements de fond de la maladie). Une légère augmentation du risque de poussée a été remarquée après la dose de rappel pour les patients fortement inflammatoires (au moins deux poussées sur les deux années précédentes), principalement portée par les patients non traités, là où les traités n'avaient pas d'augmentation significative du risque.ConclusionDans cette étude d'envergure nationale sur plus de 100 000 patients avec SEP, nous n'avons pas trouvé d'augmentation du risque de poussée nécessitant l'utilisation de corticothérapie, suivant une vaccination contre le COVID-19. La vaccination contre le COVID-19 peut donc être recommandée chez les patients vivant avec une SEP les plus à risque d'infection sévère, avec une prudence toutefois pour les patients avec une forte activité inflammatoire et qui devraient être traités

    Search for a low mass neutral Higgs boson in Z0 decay

    Get PDF
    Contains fulltext : 27571.PDF (publisher's version ) (Open Access
    corecore