16 research outputs found

    Phénoménologie de la schizophrénie, de l'espace à l'identité

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocSudocFranceF

    Le syndrÎme [i.e. syndrome] prémenstruel (controverses autour d'une entité psychiatrique)

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Approche phénoménologique et expérimentale du corps en psychiatrie

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocSudocFranceF

    Stimulation transcrĂąnienne par courant continu (tDCS) (quels enjeux pour la neurostimulation en psychiatrie?)

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    Contexte : La tDCS consiste en l application d un courant électrique continu de faible intensité à travers le cerveau grùce à deux électrodes de polarité opposée placées sur le scalp. Cette technique de neurostimulation non-invasive permet d augmenter l excitabilité de la zone corticale stimulée par l anode et de diminuer l excitabilité de la zone du cortex stimulée par la cathode. Méthode : Au moyen d une revue de la littérature, nous vous proposons d exposer les données actuelles sur l utilisation de la tDCS dans le traitement des troubles mentaux. Ainsi, les principaux domaines d application en psychiatrie sont actuellement la dépression, la schizophrénie, la catatonie et les conduites addictives. Résultats : Au regard des données actuelles, la tDCS montre une efficacité convaincante dans le traitement de la dépression. Malgré des résultats prometteurs dans l amélioration des symptÎmes de patients souffrant de schizophrénie et de catatonie ainsi que dans la diminution du craving, des investigations complémentaires sont nécessaires afin d affirmer l efficacité de cette technique dans ces derniÚres indications. Son caractÚre non-invasif, sa facilité d utilisation et son faible coût font néanmoins de la tDCS une thérapeutique d avenir dans ses applications en psychiatrie.LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocSudocFranceF

    Pernicious anemia presenting as catatonia: correlating vitamin B12 levels and catatonic symptoms

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    International audiencePernicious anemia has been associated with various psychiatric manifestations, such as depression, mania and psychosis. Psychiatric symptoms can sometimes occur without hematological and neurological abnormalities and can be prodromal of vitamin B12 deficiency. We report a case of autoimmune B12 deficiency presenting as catatonia without signs of anemia or macrocytosis, in which a correlation was found between the patient's B12 blood levels and catatonic symptoms over time. This catatonic episode was successfully treated with only lorazepam and adequate doses of cyanocobalamin

    Soins psychiatriques sans consentement pour les personnes détenues : une étude descriptive de 73 mainlevées consécutives en unité hospitaliÚre spécialement aménagée

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    International audienceIntroductionThe procedure of involuntary psychiatric hospitalization has been recently modified in France. Indeed, since 2011, a liberty and custody judge is appointed for each measure, to guarantee the rights of psychiatric inpatients and to prevent abusive hospitalizations. As a result, if procedural errors are noted, the liberty and custody judge may order the immediate ending of the psychiatric hospitalization. To date, only two studies described the reasons for judiciary discharge from involuntary psychiatric hospitalizations, but no study has been conducted in forensic psychiatric units for incarcerated people. The objective of the current study was to describe the main reasons judges use to decide on the irregularity of the hospitalization (against the opinion of psychiatrists) for detained patients, and to compare these reasons with those for patients in the community psychiatric unit.MethodsWe included all the discharges ordered between 2011 and 2018 in two units of the same hospital: a forensic psychiatric unit for incarcerated people and a community involuntary psychiatric unit. We extracted sociodemographic characteristics and judiciary information such as date of discharge, resason fordischarge, presence of the patient at the hearing. We analyzed the judge-ordered discharge rate (corresponding to the number of discharges divided by the number of involuntary psychiatric hospitalizations) for each year. Then, we examined the reason of discharge for each measure.ResultsOne hundred and forty-seven discharges were analyzed: 73 in the psychiatric forensic unit and 73 in the community psychiatric unit. Rates of discharges were 6.7% and 8.8% for the forensic unit and the general psychiatric unit, respectively. Several reasons for the discharges were common for the two units (failure to inform the patient, lack of physical examination), but others were specific to the forensic unit, such as the impossibility for the patients to communicate with their lawyer, or the lack of immediate dangerousness for the person or for the others.ConclusionThis study highlights the specific aspects of involuntary psychiatric hospitalizations for people in prison in France. Future studies are needed to assess the impact of these judge-ordered discharge on patient's mental health, particularly for incarcerated patients.IntroductionDepuis la promulgation de la loi du 5 juillet 2011, les hospitalisations en soins psychiatrique sans consentement (SPSC) sont systĂ©matiquement contrĂŽlĂ©es par le juge des libertĂ©s et de la dĂ©tention (JLD). En cas d’irrĂ©gularitĂ© constatĂ©e dans la procĂ©dure, le JLD peut ordonner la mainlevĂ©e de la mesure. À notre connaissance, aucune Ă©tude ne s’est intĂ©ressĂ©e aux mainlevĂ©es des mesures de soins dĂ©cidĂ©es pour les patients dĂ©tenus hospitalisĂ©s sans leur consentement en unitĂ©s hospitaliĂšres spĂ©cialement amĂ©nagĂ©es (UHSA). L’objectif de cette Ă©tude est de dĂ©crire les motifs de mainlevĂ©e des mesures de SPSC en UHSA, et de les comparer Ă  ceux observĂ©s dans un service de psychiatrie gĂ©nĂ©rale.MĂ©thodeNous avons effectuĂ© une analyse rĂ©trospective des motifs de mainlevĂ©es des mesures de SPSC prononcĂ©es entre 2011 et 2018 dans deux unitĂ©s du mĂȘme hĂŽpital : une unitĂ© de soins pour les patients dĂ©tenus et une unitĂ© de soins de psychiatrie gĂ©nĂ©rale). Nous avons extrait les caractĂ©ristiques sociodĂ©mographiques et les informations judiciaires telles que la date et le motif de mainlevĂ©e, la prĂ©sence du patient Ă  l'audience. Nous avons Ă©valuĂ© les taux de mainlevĂ©e en rapportant leur nombre au nombre total d’admission en SPSC de l’unitĂ© pour chaque annĂ©e. Nous avons ensuite examinĂ© les motifs retenus par les JLD pour l’ensemble des mainlevĂ©es.RĂ©sultatsCent quarante-six mainlevĂ©es ont Ă©tĂ© examinĂ©es entre 2011 et 2018, 73 concernaient les patients de l’unitĂ© de psychiatrie gĂ©nĂ©rale et 73 les patients de l’UHSA. Certains motifs ont Ă©tĂ© observĂ©s de maniĂšre Ă©quivalente en UHSA et en psychiatrie gĂ©nĂ©rale (absence de notification des droits aux patients, absence de publication de la dĂ©lĂ©gation de signature, non-respect de la rĂ©daction du certificat mĂ©dical, absence d’examen somatique), alors que d’autres ont Ă©tĂ© spĂ©cifiquement retrouvĂ©s pour les patients de l’UHSA, comme l’impossibilitĂ© pour le patient de communiquer avec son avocat ou l’absence de dangerositĂ© immĂ©diate pour le patient ou pour autrui.ConclusionCette Ă©tude de 73 mainlevĂ©es consĂ©cutives en UHSA met en Ă©vidence certaines spĂ©cificitĂ©s pour les SPSC en milieu pĂ©nitentiaire. Les futurs travaux devront rĂ©pliquer ce type d’étude au niveau national, mais Ă©galement envisager finement les consĂ©quences des mainlevĂ©es sur la santĂ© mentale des personnes concernĂ©es et sur l’évolution des soins qui leur sont proposĂ©s
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