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    HISTORICAL AND NOMENCLATURAL REMARKS ON SOME MEGATOOTHED SHARK TEETH (ELASMOBRANCHII, OTODONTIDAE) FROM THE CENOZOIC OF NEW JERSEY (U.S.A.)

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    . In the second issue of Samuel Morton’s “Synopsis of the Organic Remains of the Cretaceous Group of the United States” published in June 1835, several otodontid shark teeth from Cenozoic formations of New Jersey are named with authorship of Louis Agassiz and meet the conditions of availability of the International Code of Zoological Nomenclatural. It has gone largely unnoticed that some of these names were introduced in this work before their publication in Agassiz’s masterpiece “Recherches sur les poissons fossiles”. The specimens presented by Morton were kept in the John Price Wetherill (1794-1853) collection that found its way into the paleontological collection of the Academy of Natural Sciences of Drexel University, Philadelphia, where most of them have been rediscovered. These teeth are part of the type series upon which Agassiz introduced Lamna obliqua Agassiz in Morton, 1835, Lamna lanceolata Agassiz in Morton, 1835, Carcharias lanceolatus Agassiz in Morton, 1835, Carcharias megalotis Agassiz, 1835 and Carcharias polygurus Agassiz in Morton, 1835, all of these species being referred to the genus Otodus in the present work. In order to secure the nomenclatural stability of the Otodontidae, it is established that Otodus lanceolatus is a junior synonym of Otodus obliquus, that “Carcharias” lanceolatus belongs to the genus Otodus Agassiz, 1838 and is invalid as a junior secondary homonym of Otodus lanceolatus, that Otodus megalotis is a junior synonym of Otodus auriculatus (Blainville, 1818), and that Otodus polygurus (Otodus polygyrus being an incorrect subsequent spelling) is a junior synonym of Otodus megalodon (Agassiz, 1835). Furthermore, it is shown that the date of publication of Otodus obliquus (Agassiz in Morton, 1835) is 1835 and not 1838 as previously thought

    Silicon photonics frequency shifter based on I&Q dual Mach-Zehnder modulator

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    We present a fully CMOS compatible frequency shifter device, in a I&Q dual Mach-Zehnder architecture. Frequency shift up to 410 MHz are obtained, with carrier and image sideband extinction from 27 to 51 dB

    Redécouverte des «

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    En 1808 puis en 1824, Georges Cuvier signala dans la rĂ©gion du Mans la prĂ©sence de restes de crocodiles fossiles Ă  partir desquels fut crĂ©Ă©e l’espĂšce Crocodilus maunyi GRAY, 1831. Il avait Ă©tĂ© informĂ© de ces dĂ©couvertes par le naturaliste manceau Louis Jean Charles Maulny (1758-1815) et par Jean Antoine Daudin (1749-1832), premier conservateur du MusĂ©um d’histoire naturelle du Mans. Faute de figures publiĂ©es, ce matĂ©riel est restĂ© Ă©nigmatique durant deux siĂšcles. Des aquarelles inĂ©dites conservĂ©es dans les archives de Georges Cuvier permettent de dĂ©voiler les spĂ©cimens qu’il avait dĂ©crits sous le nom de « crocodiles fossiles des environs du Mans ». Ils comprennent des dents, des vertĂšbres et des portions de mĂąchoires de crocodylomorphes marins et de plĂ©siosauriens dĂ©couvertes dans le MĂ©sozoĂŻque de la Sarthe (Bathonien, Callovien, CĂ©nomanien ?). Un de ces dessins prĂ©sente une dent de pliosaure du Bathonien de Ber- nay-en-Champagne qui serait la plus ancienne dĂ©couverte d’un reprĂ©sentant de ce groupe. Deux autres aquarelles montrent une portion de mandibule d’un crocodylomorphe marin (Thalattosuchia, Metriorhynchidae indĂ©terminĂ©) et une vertĂšbre de plĂ©siosaurien (Plesiosauria indĂ©terminĂ©) du Callovien moyen de Chaufour-Notre-Dame, toujours conservĂ©es au MusĂ©e Vert, le musĂ©um d’histoire naturelle du Mans. Ces deux spĂ©cimens furent dĂ©couverts en 1816 par un amateur local, le docteur EusĂšbe Marie Tendron (1778-1854). Crocodilus maunyi GRAY, 1831 reste nĂ©anmoins considĂ©rĂ© comme un nomen dubium au regard du manque de caractĂšres diagnostiques de l’ensemble de ses syntypes

    Statut nomenclatural de Palaeothrissum inaequilobum Blainville, 1818, P. parvum Blainville, 1818, et Aeduella blainvillei (Agassiz, 1833) (Aeduelliformes, Aeduellidae)

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    It is shown that the species names Palaeothrissum inaequilobum Blainville, 1818, and P. parvum Blainville, 1818, from the Lower Permian (Asselian) of Muse, near Autun (SaÎne-et-Loire department, France) are senior synonyms of the widely used species name, Aeduella blainvillei (Agassiz, 1833). In the interest of nomenclatural stability, conditions exist which allow reversal of precedence as stated in Article 23.9.1 of the International Code of Zoological Nomenclature. Thus the species name Aeduella blainvillei (Agassiz, 1833) is regarded as valid, qualifying as a nomen protectum, whereas Palaeothrissum inaequilobum Blainville, 1818, and P. parvum Blainville, 1818, are invalid, qualifying as nomina oblita. Some of the specimens from the type series upon which P. inaequilobum, P. parvum and Aeduella blainvillei were erected, are identified.Il est montré que les noms spécifiques Palaeothrissum inaequilobum Blainville, 1818, et P. parvum Blainville, 1818, du Permien inférieur (Assélien) de Muse, prÚs d'Autun (SaÎne-et-Loire, France) sont des synonymes plus anciens de l'espÚce largement utilisée, Aeduella blainvillei (Agassiz, 1833). Afin de maintenir la stabilité nomenclaturale, les conditions sont cependant réunies pour une inversion de préséance en accord avec l'article 23.9.1 du Code International de Nomenclature Zoologique. Le nom spécifique Aeduella blainvillei est ainsi considéré comme valide et est qualifié de nomen protectum, alors que Palaeothrissum inaequilobum Blainville, 1818, et P. parvum Blainville, 1818, sont invalides et qualifiés de nomina oblita. Quelques specimens des séries types sur lesquelles furent créées les espÚces P. inaequilobum, P. parvum et Aeduella blainvillei, sont identifiés

    Les « ichtyolites » (Actinopterygii) de la collection Jean-Baptiste Beurard (1745–1835) : intĂ©rĂȘt historique et redĂ©couverte de la sĂ©rie type d’

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    Cet article souligne le rĂŽle Jean-Baptiste Beurard dans l’histoire de la palĂ©oichtyologie. Ancien chanoine de la cathĂ©drale de Toul, il trouva aprĂšs les affres des dĂ©buts de la RĂ©volution un emploi d’agent du gouvernement attachĂ© Ă  l’administration des mines entre 1794 et 1815. ChargĂ© de la surveillance des mines de mercure dans les nouveaux dĂ©partements annexĂ©s par la France sur la rive gauche du Rhin, il redĂ©couvrit en juillet 1799 le fameux gisement d’« ichtyolites » (poissons fossiles) imprĂ©gnĂ©s de cinabre de MĂŒnsterappel datĂ© du Permien infĂ©rieur. Il envoya plusieurs spĂ©cimens dans des collections institutionnelles parisiennes. Des reprĂ©sentants de l’espĂšce Paramblypterus duvernoy (Agassiz, 183

    Nouvelles données historiques sur les premiers dinosaures trouvés en France

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    Cet article passe en revue les premiĂšres dĂ©couvertes de dinosaures faites en France avant que le terme Dinosauria n’ait Ă©tĂ© introduit par Richard Owen en 1842. En mettant Ă  part les premiĂšres dĂ©couvertes du thĂ©ropode Streptospondylus altdorfensis faites au XVII

    Charles de Gerville et les premiers restes de Plesiosauria signalés dans le Jurassique inférieur de France (Hettangien, région de Valognes, Manche)

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    L’historien, archĂ©ologue, et naturaliste Charles de Gerville (1769–1853) signala dĂšs janvier 1816 la prĂ©sence d’ossements dans les carriĂšres de la rĂ©gion de Valognes, dĂ©partement de la Manche. Ces carriĂšres exploitaient le « Calcaire de Valognes » et les « Argiles et Calcaires d’Huberville » sous-jacents, deux formations de l’Hettangien infĂ©rieur. De Gerville communiqua Ă  Jacques-Louis-Marin Defrance un dessin aquarellĂ© d’un de ces os fossiles, dĂ©couvert en juillet 1820, sur lequel il est possible de reconnaĂźtre un fĂ©mur de Plesiosauria. Ce fĂ©mur, ainsi qu’un fragment de cĂŽte et trois vertĂšbres de Plesiosauria de la collection de Gerville furent figurĂ©s, en 1825, dans une publication d’Arcisse de Caumont. Le fĂ©mur de Plesiosauria fut ensuite acquis par Pierre Tesson, qui possĂ©dait Ă  Caen une des plus importantes collections de fossiles de Normandie. La collection Tesson fut achetĂ©e en 1857 par le British Museum, aujourd’hui The Natural History Museum, London, oĂč le fĂ©mur a pu ĂȘtre redĂ©couvert. Ce spĂ©cimen est, de maniĂšre attestĂ©e, le premier reste de Plesiosauria du Jurassique infĂ©rieur dĂ©couvert en France, avant la crĂ©ation du genre Plesiosaurus fondĂ© sur un matĂ©riel du Jurassique infĂ©rieur du Sud-Ouest de l’Angleterre. Une des vertĂšbres figurĂ©es par de Caumont a Ă©galement pu ĂȘtre localisĂ©e au MusĂ©um Emmanuel-Liais (Cherbourg-en-Cotentin), qui avait acquis une partie de la collection de Gerville. L’interprĂ©tation des « ossements fossiles de Valognes » par Georges Cuvier, Henri Marie Ducrotay de Blainville, Arcisse de Caumont, Jacques-Amand Eudes-Deslongchamps et Constant DumĂ©ril est dĂ©voilĂ©e au travers de documents manuscrits inĂ©dits.The historian, archaeologist, and naturalist Charles de Gerville (1769–1853) reported as early as January 1816 the presence of fossil bones in the quarries of the region of Valognes, in the department of Manche. These quarries exploited the “Calcaire de Valognes” and the underlying “Argiles et Calcaires d’Huberville”, both formations dated as Lower Hettangian (Lower Jurassic). De Gerville communicated to Jacques-Louis-Marin Defrance a watercolour drawing of one of these fossil bones, discovered in July 1820, in which it is possible to recognize a plesiosaur femur. This femur, as well as a fragment of rib and three vertebrae of Plesiosauria from de Gerville\u27s collection, was then figured in a publication by Arcisse de Caumont, in 1825. The plesiosaur femur was later acquired by Pierre Tesson of Caen, who owned one of the most important collections of fossils in Normandy. The Tesson collection was later purchased in 1857 by the British Museum (now The Natural History Museum, London), where the femur has been rediscovered. This specimen is the first known plesiosaur specimen ever discovered in the Lower Jurassic of France, before the genus Plesiosaurus was established upon material from the Lias of southwestern England. One of the vertebrae figured by de Caumont has been rediscovered in the “MusĂ©um Emmanuel-Liais” (Cherbourg-en-Cotentin), which had acquired part of de Gerville\u27s collection. The interpretation of the “fossil bones of Valognes” by Georges Cuvier, Henri Marie Ducrotay de Blainville, Arcisse de Caumont, Jacques-Amand Eudes-Deslongchamps and Constant DumĂ©ril is revealed through unpublished documents.</p
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