126 research outputs found
Treatment received and treatment adequacy of depressive disorders among young adults in Finland
Peer reviewe
A História da Alimentação: balizas historiográficas
Os M. pretenderam traçar um quadro da História da Alimentação, não como um novo ramo epistemológico da disciplina, mas como um campo em desenvolvimento de práticas e atividades especializadas, incluindo pesquisa, formação, publicações, associações, encontros acadêmicos, etc. Um breve relato das condições em que tal campo se assentou faz-se preceder de um panorama dos estudos de alimentação e temas correia tos, em geral, segundo cinco abardagens Ia biológica, a econômica, a social, a cultural e a filosófica!, assim como da identificação das contribuições mais relevantes da Antropologia, Arqueologia, Sociologia e Geografia. A fim de comentar a multiforme e volumosa bibliografia histórica, foi ela organizada segundo critérios morfológicos. A seguir, alguns tópicos importantes mereceram tratamento à parte: a fome, o alimento e o domÃnio religioso, as descobertas européias e a difusão mundial de alimentos, gosto e gastronomia. O artigo se encerra com um rápido balanço crÃtico da historiografia brasileira sobre o tema
Mesure de l’épisode dépressif majeur en population générale : apports et limites des outils
International audienceLes prévalences d’épisodes dépressifs majeurs (EDM) en population générale diffèrent selon les enquêtes. La version courte du « Composite International Diagnostic Interview » (CIDI-SF) a été utilisée à moins d’un an d’intervalle dans deux enquêtes représentatives de la population française de 15 à 75 ans (2004-2005). La méthodologie était identique sauf pour la construction de la prévalence de l’EDM des 12 derniers mois. Les objectifs de cet article sont d’étudier les effets de cette différence méthodologique sur l’estimation de la prévalence et les facteurs associés à l’EDM. Matériel et Méthode – Les enquêtes Baromètre santé et Anadep sont réalisées par sondage à deux degrés. Des foyers sont tirés au sort à partir de l’annuaire téléphonique, puis un individu est sélectionné. Les échantillons étaient respectivement de 16 883 et 6 498 personnes. L’enquête Baromètre s’intéressait aux troubles au cours de l’année, tandis qu’Anadep interrogeait sur la vie et ensuite sur l’année, utilisant dans les deux cas le CIDI-SF. Résultats – Les estimations de prévalences de l’EDM étaient différentes : 7,8 % dans le Baromètre et 5,0 % dans Anadep. La différence était marquée pour les épisodes légers ou modérés alors que la prévalence des épisodes sévères était plus proche, respectivement 3,2 % et 2,6 %. Cependant, les profils restaient équivalents. Dans les deux enquêtes, les femmes, le veuvage, le divorce, le chômage, l’invalidité ou le congé maladie étaient les situations qui présentaient des associations les plus importantes avec l’EDM. Discussion – Cette différence dans les estimations de prévalences reflète les difficultés méthodologiques de la mesure de la dépression. Malgré ces différences, les facteurs associés à l’épisode dépressif majeur restent sensiblement les mêmes dans les deux enquêtes, permettant de cibler les politiques de prévention
Mesure de l’épisode dépressif majeur en population générale : apports et limites des outils
International audienceLes prévalences d’épisodes dépressifs majeurs (EDM) en population générale diffèrent selon les enquêtes. La version courte du « Composite International Diagnostic Interview » (CIDI-SF) a été utilisée à moins d’un an d’intervalle dans deux enquêtes représentatives de la population française de 15 à 75 ans (2004-2005). La méthodologie était identique sauf pour la construction de la prévalence de l’EDM des 12 derniers mois. Les objectifs de cet article sont d’étudier les effets de cette différence méthodologique sur l’estimation de la prévalence et les facteurs associés à l’EDM. Matériel et Méthode – Les enquêtes Baromètre santé et Anadep sont réalisées par sondage à deux degrés. Des foyers sont tirés au sort à partir de l’annuaire téléphonique, puis un individu est sélectionné. Les échantillons étaient respectivement de 16 883 et 6 498 personnes. L’enquête Baromètre s’intéressait aux troubles au cours de l’année, tandis qu’Anadep interrogeait sur la vie et ensuite sur l’année, utilisant dans les deux cas le CIDI-SF. Résultats – Les estimations de prévalences de l’EDM étaient différentes : 7,8 % dans le Baromètre et 5,0 % dans Anadep. La différence était marquée pour les épisodes légers ou modérés alors que la prévalence des épisodes sévères était plus proche, respectivement 3,2 % et 2,6 %. Cependant, les profils restaient équivalents. Dans les deux enquêtes, les femmes, le veuvage, le divorce, le chômage, l’invalidité ou le congé maladie étaient les situations qui présentaient des associations les plus importantes avec l’EDM. Discussion – Cette différence dans les estimations de prévalences reflète les difficultés méthodologiques de la mesure de la dépression. Malgré ces différences, les facteurs associés à l’épisode dépressif majeur restent sensiblement les mêmes dans les deux enquêtes, permettant de cibler les politiques de prévention
Religion and spiritual advice as surrogate care provision for mental health problems in the ESEMED survey
International audienceObjective To complete missing information on the influence of spiritual and religious advisors as informal providers for mental health problems in Europe. Methods Recourse to religious practice or belief when coping with mental health problems was evaluated using data from the ESEMED survey. This was a stratified, multistage, clustered-area probability sample survey of mental health carried out in six European countries which included 8796 subjects. Between countries differences in sociodemographic characteristics, religious affiliation, and prevalence of mental disorders and management of mental disorders were evaluated. Results Religion appears to play a limited role in coping with mental health problems in Europe. Only 7.9% of individuals seeking help for such problems turned to a religious advisor. This proportion differed between countries from 13% in Italy, 12.5% in Germany, 10.5% in the Netherlands, 5.8% in France, 4.7% in Belgium to 4% in Spain. In addition, seeking help exclusively from religion was reported by only 1.3% of subjects. Practicing religion at least once a week and considering religion as important in daily life were predictors of using religion versus conventional health care only. Use of religion was not influenced by gender and age. Non-Christian respondents and individuals with alcohol disorders were more likely to use religion. In Spain, the use of religion is much lower than average. Conclusions Unlike the situation in the United States, organised religion does not provide alternative informal mental health care in Europe. At best, it could be considered as an adjunct to conventional care
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