898 research outputs found

    Renewal and perspectives in Iranian archaeology over the last two decades

    Full text link
    In memory of Olivier Lecomte. From Tureng Tepe to Ulug Depe a 45-year friendshipThese few pages provide a very schematic overview of archaeological research in Iran since the end of the 20th century. The recent evolution is sharply marked with the port-revolutionary period with a new policy and the emergence of new generations of numerous and well-trained archaeologists. Most of them are employed in the provinces and work on rescue excavations, which are increasingly organised upstream as preventive excavations, but also on multi-year programs to provide information on less known archaeological periods. The western half of the country is much better known and more studied than the eastern half, but the recent field research launched in the south, along the Persian Gulf, and in the northeast (Khorasan) is very promisingCes quelques pages offrent un tableau trĂšs schĂ©matique de la recherche archĂ©ologique en Iran depuis la fin du 20e siĂšcle. L’évolution est extrĂȘmement marquĂ©e avec la pĂ©riode post-rĂ©volutionnaire avec l’émergence de nouvelles gĂ©nĂ©rations d’archĂ©ologues nombreux et bien formĂ©s. La plupart sont employĂ©s dans les provinces et travaillent sur des fouilles de sauvetage de plus en plus organisĂ©es en amont en fouilles prĂ©ventives mais aussi sur des fouilles programmĂ©es pluriannuelles destinĂ©es Ă  informer sur les pĂ©riodes archĂ©ologiques moins bien connues. La moitiĂ© ouest du pays est mieux connue et plus Ă©tudiĂ©e que la moitiĂ© est, mais les recherches rĂ©centes impulsĂ©es dans le sud, le long du golfe Persique, et dans le nord-est (Khorasan) sont trĂšs prometteuse

    Alba-la-Romaine – CimetiĂšres mĂ©diĂ©vaux

    Get PDF
    Ce programme, lancĂ© avec le laboratoire d’anthropologie du Cra-CNRS (Valbonne), dans la foulĂ©e de la fouille de sauvetage du cimetiĂšre mĂ©diĂ©val de Saint-Philippe, a pour but, durant quatre annĂ©es, de rĂ©sorber le passif des Ă©tudes anthropologiques nĂ©cessaires Ă  Alba-la-Romaine. En effet, ni les fouilles de Saint-Pierre, ni celles de Saint-Martin n’avaient donnĂ© lieu Ă  des Ă©tudes de squelettes. L. Buchet et S. VattĂ©oni (Cra-CNRS) fourniront, Ă  la fin de l’annĂ©e 1993, une synthĂšse sur les popula..

    « Persepolis in the Post-Achaemenid Period: Some Reflections in the Origins of Istakhr ». Bāstānpazhuhi, vol. 2, N° 4, Autumn and Winter 2007, pp. 8-14.

    Get PDF
    L’A. rappelle utilement que l’hypothĂšse de la ville d’Istakhr succĂ©dant Ă  PersĂ©polis aprĂšs la destruction par Alexandre ne repose sur aucune donnĂ©e textuelle, mais seulement sur une suggestion de W. Tomaschek en 1883, commentant la Table de Peutinger. A noter qu’aucune fondation d’Alexandrie, de SĂ©leucie, d’Antioche n’est mentionnĂ©e dans la rĂ©gion. Quant aux donnĂ©es archĂ©ologiques, « the excavations have failed so far to identify an Achaemenian town deposit », Ă©crivait E. F. Schmidt en 1939, ..

    « Game Boards and other incised Graffiti at Persepolis », Iran, 37, (1999), pp. 45-48.

    Get PDF
    Cette note sur deux curieux jeux gravĂ©s sur les appuis de fenĂȘtre de la partie centrale du « Harem » Ă  PersĂ©polis vient utilement rappeler que des dĂ©tails restent Ă  dĂ©couvrir mĂȘme sur les parties visibles du site. Entre l’époque achĂ©mĂ©nide et, sans doute, le 20e s., grands et gens du peuple ont gravĂ©s une trace ; actuellement, les graffiti les plus connus sont ceux de l’époque sassanide

    « Alexandre et l’hĂ©ritage achĂ©mĂ©nide : quelques rĂ©flexions et perspectives », in : International Congress Alexander the Great: from Macedonia to the Oikoumene, Veroia 27-31/5/1998, Veroia 1999, pp. 209-217.

    Get PDF
    L’A. rĂ©sume ici plusieurs de ses thĂšses : le gĂ©nie militaire d’Alexandre, indĂ©niable, ne suffit pas Ă  expliquer ses succĂšs en Orient : le MacĂ©donien avait un projet politique longuement mĂ»ri, fondĂ© sur une bonne connaissance de l’Empire achĂ©mĂ©nide. Son attitude et sa stratĂ©gie de conquĂ©rant puis de souverain sont faites de sĂ©duction auprĂšs des Grands de l’Empire et de souci de continuitĂ© des AchĂ©mĂ©nides. Deux siĂšcles d’administration achĂ©mĂ©nide ont forgĂ© un espace gĂ©opolitique qui n’existait ..

    « CitĂ©s et satrapes dans l’Empire achĂ©mĂ©nide : Xanthos et PixĂŽdaros », CRAI, janvier-mars 1998 (1999), pp. 305-347.

    Get PDF
    L’annĂ©e 1973 avait vu la dĂ©couverte de trois documents inscrits d’époque perse d’importance majeure : la statue de Darius Ă  Suse, quadrilingue, la stĂšle de DraophernĂšs Ă  Sardes, en grec, et l’inscription trilingue de Xanthos (en lycien, grec et aramĂ©en). Tous les trois n’ont pas fini de rĂ©vĂ©ler leurs richesses, malgrĂ© plusieurs publications et articles pour chacun. P.B. Ă©tudie celle de Xanthos qui, schĂ©matiquement, marque la dĂ©cision d’organiser un nouveau culte Ă  Xanthos en Lycie et mentionn..

    « Nouvelles propositions et problĂšmes relatifs Ă  l’identification des dĂ©lĂ©gations de l’escalier est de l’Apadana (PersĂ©polis) ». AMIT 33, 2001, pp. 219-256.

    Get PDF
    Depuis Sarre et Herzfeld au dĂ©but du 20e s., de grands noms se sont attaquĂ©s Ă  la question de l’identification des groupes reprĂ©sentĂ©s sur les reliefs de PersĂ©polis, Ă©tudiant l’iconographie et en mettant Ă  profit les reprĂ©sentations « signĂ©es » de ces personnages sur la tombe de Darius Ă  Naqsh-i Rustam. Avant de mettre des noms sur des personnages (selon leur visage, leur vĂȘtement et les objets et animaux qui leur sont associĂ©s), il faudrait pouvoir rĂ©pondre Ă  la question : qui le roi a-t-il ..

    Ernst Herzfeld and the Development of Near Eastern Studies, 1900-1950. Leiden-Boston, Brill, 2005, xviii+638 p., bibliographie de E. Herzfeld, index, ill.

    Get PDF
    Les Ă©diteurs ont organisĂ© un symposium Ă  Washington en 2001 avec pour objectifs l’histoire de la recherche ainsi que l’étude de la personnalitĂ© hors du commun et de l’Ɠuvre de cet Allemand, architecte, qui suivit des cours d’assyriologie, de philosophie et d’histoire de l’art Ă  Berlin. Entre 1903 et 1934, il participa Ă  des fouilles ou en conduisit lui-mĂȘme en Iraq, oĂč il releva des monuments islamiques ainsi qu’en Syrie, fit de fructueuses reconnaissances en Iran, relevant et Ă©tudiant monume..

    « The Bilingual Stela of Rusa I from Movana (West-Azerbaijan, Iran) ». Studi Micenei ed Egeo-Anatolici, Fasc. XLIV/1, 2002, pp. 1-66.

    Get PDF
    Richement illustrĂ© de 10 figures de copies autographiques et de 26 photos de l’inscription, voici l’édition complĂšte d’une inscription bilingue (urartĂ©enne et assyrienne) du roi d’Urartu Rusa I (730-714 avant J.-C.) rĂ©cemment dĂ©couverte entre Urmiya et la frontiĂšre turque. Elle reproduit un texte dĂ©jĂ  connu par deux autres stĂšles qui prĂ©sentaient d’importantes lacunes. Celle de Movana est plus complĂšte et permet de confirmer ou de corriger certaines restitutions et interprĂ©tations. C’est un d..
    • 

    corecore