6,109 research outputs found

    TwistBytes : hierarchical classification at GermEval 2019 : walking the fine line (of recall and precision)

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    We present here our approach to the GermEval 2019 Task 1 - Shared Task on hierarchical classification of German blurbs. We achieved the first place in the hierarchical subtask B and second place on the root node, flat classification subtask A. In subtask A, we applied a simple multi-feature TF-IDF extraction method using different n-gram range and stopword removal, on each feature extraction module. The classifier on top was a standard linear SVM. For the hierarchical classification, we used a local approach, which was more lightweighted but was similar to the one used in subtask A. The key point of our approach was the application of a post-processing to cope with the multi-label aspect of the task, increasing the recall but not surpassing the precision measure score

    Human Rights in Russia and the Former Soviet Republics: Repatriation of Ethnic Groups

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    From 1943 to 1949, almost 1.5 million ethnic minorities were deported from their homes in the southern USSR to Central Asia. Thousands died either during the trip or within the first few years after their arrival. For years, it was as if they had simply disappeared off the face of the earth. It was not until 1956 that the deportations were even acknowledged by the Soviet government, and only recently has repatriation begun. While some groups have had a relatively successful repatriation experience, others have experienced ethnic discrimination, making the return to their homelands difficult and in some cases impossible

    TwistBytes - identification of Cuneiform languages and German dialects at VarDial 2019

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    We describe our approaches for the German Dialect Identification (GDI) and the Cuneiform Language Identification (CLI) tasks at the VarDial Evaluation Campaign 2019. The goal was to identify dialects of Swiss German in GDI and Sumerian and Akkadian in CLI. In GDI, the system should distinguish four dialects from the German-speaking part of Switzerland. Our system for GDI achieved third place out of 6 teams, with a macro averaged F-1 of 74.6%. In CLI, the system should distinguish seven languages written in cuneiform script. Our system achieved third place out of 8 teams, with a macro averaged F-1 of 74.7%

    La grammaire de constructions : un atout pour la formation du traducteur?

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    Le présent article explore le potentiel d’une modélisation linguistique théorique, la Grammaire de Construction, pour la formation du traducteur. Développée par Charles. J. Fillmore et Paul Kay (Kay & Fillmore (1999)), elle décrit les systèmes linguistiques en termes de « constructions », c’est-à-dire de couples forme-sens, valables à tous les niveaux d’analyse : lexèmes, phrases, et même textes. Les constructions sont ici conçues comme des modèles à partir desquels seront générés les différents éléments linguistiques (mots, phrases etc.). Elles peuvent être plus ou moins spécifiées, leur degré ultime de spécificité correspondant à des « constructs ». En règle générale, on considère les mots comme des constructions lexicales. A l’heure actuelle, on trouve peu d’études sur le potentiel de la Grammaire de Construction pour la traductologie (hormis l’excellente contribution de Szymańska, 2011, qui expose clairement le potentiel traductologique de ce modèle) et encore moins dans un contexte didactique. Cette modélisation présente pourtant trois avantages majeurs pour la formation du traducteur : 1. Ce modèle non modulaire et non dérivatif abandonne la conception de la langue comme un noyau d’éléments « corrects » ou « normaux » autour duquel gravitent toutes sortes de variétés (sociolectes, xénolectes, idiolectes…) et de variations. Toutes les constructions sont donc incluses dans cette description, ce qui permet à l’enseignant en traduction d’aborder d’un point de vue systématisé des problèmes de traduction fréquents dans la pratique professionnelle, notamment pour la traduction de slogans (publicitaires…) ou, par exemple en traduction audio-visuelle ou de jeux vidéo, des constructions sociolectiques (langage enfantin, langue des jeunes...) 2. Il n’existe pas de constructions synonymes : toute différence dans la forme impliquera une différence sémantique ou pragmatique. Outre la portée inter-linguistique de ce postulat, qui balaye toute idée d’équivalences parfaites entre deux constructions de langues différentes et souligne ainsi l’essence même (et la difficulté) de la traduction, il devient aussi plus clair, pour le futur traducteur, que la recherche monolingue de « synonymes » ou de « paraphrases » dans ses efforts de (re)formulation ne peut s’arrêter à la simple consultation d’un dictionnaire des synonymes, qui ne donne bien souvent pas (ou pas assez précisément) les différences de sens ou d’usage entre les diverses propositions. 3. Découle de ce deuxième aspect un troisième, tout aussi important : la notion même de construction dissout le rapport souvent très présent chez l’étudiant-traducteur entre sens et catégorie grammaticale. Il s’agit ici de prendre du recul par rapport, par exemple, à une phrase, et d’en contempler non plus les divers mots mais les ou la construction(s), et par ce truchement, d’en accéder directement au sens. Ce sens étant partie intégrante des constructions à traduire, l’étudiant-traducteur devra alors chercher dans la langue d’arrivée des constructions dont ce même sens est également partie intégrante. Cette façon de procéder s’affranchit des catégories grammaticales traditionnelles présentes dans le texte de départ et dont l’étudiant-traducteur a, au début, tant de mal à se détacher. On voit donc qu’en incluant de façon systématisée l’aspect sémantique non seulement au niveau lexical, mais aussi syntaxique et textuel, la grammaire de construction constitue un fondement idéal aux enseignements et réflexions dans la formation d’un traducteur. Il convient ici toutefois de proposer une adaptation du concept de construction pour l’enseignement de la traduction, en ajoutant directement au couple forme-sens la troisième dimension fondamentale pour la traduction : l’aspect pragmatique

    “Vigilias, fatigas y peregrinaciones”: viaje, relato y desamparo en los confines del imperio

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    Este artículo tiene por finalidad compartir mis progresos e inquietudes sobre los alcances y limitaciones, en el Siglo XVI, de la categoría “relato de viajes”. Este recorrido concibe al relato de viaje en el Nuevo Mundo como un género en cuya realización confluyen diversos criterios que hacen a su heterogeneidad. El corpus, reunido bajo la denominación de “Escrituras imperiales de los confines” está integrado por los textos que refieren los viajes de descubrimiento, conquista y exploración de dos geografías indómitas y disímiles: El Estrecho de Magallanes y el Río Ama- zonas.This article is aimed at sharing my progress and concerns onthe scope and limitations of the “travel accounts” category in the sixteenthcentury. This journey conceives of “the travel account” in the New Worldas a genre for the making of which various criteria converge, building upits heterogeneity. The corpus –which has been put together under the nameof “Imperial writings of the confines”– is made up of a set of texts relatedto the journeys of exploration, discovery and conquest of two dissimilarand untamed geographies: the Strait of Magellan and the Amazon River.Fil: Benites, María Jesús. Consejo Nacional de Investigaciones Científicas y Técnicas. Centro Científico Tecnológico Conicet - Tucuman. Instituto de Investigaciones Sobre El Lenguaje y la Cultura. Universidad Nacional de Tucuman. Facultad de Filosofía y Letras. Cátedra de Literatura Argentina. Instituto de Investigaciones Sobre El Lenguaje y la Cultura; Argentin
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