18 research outputs found

    Lancet Glob Health

    Get PDF
    Background: Overall increases in the uptake of HIV testing in the past two decades might hide discrepancies across socioeconomic groups. We used data from population-based surveys done in sub-Saharan Africa to quantify socioeconomic inequalities in uptake of HIV testing, and to establish trends in testing uptake in the past two decades. Methods: We analysed data from 16 countries in sub-Saharan Africa where at least one Demographic and Health Survey was done before and after 2008. We assessed the country-specific and sex-specific proportions of participants who had undergone HIV testing in the previous 12 months across wealth and education groups, and quantified socioeconomic inequalities with both the relative and slope indices of inequalities. We assessed time trends in inequalities, and calculated mean results across countries with random-effects meta-analyses. Findings: We analysed data for 537 784 participants aged 15–59 years (most aged 15–49 years) from 32 surveys done between 2003 and 2016 (16 before 2008, and 16 after 2008) in Cameroon, Côte d'Ivoire, DR Congo, Ethiopia, Guinea, Kenya, Lesotho, Liberia, Malawi, Mali, Niger, Rwanda, Sierra Leone, Tanzania, Zambia, and Zimbabwe. A higher proportion of female participants than male participants reported uptake of HIV testing in the previous 12 months in five of 16 countries in the pre-2008 surveys, and in 14 of 16 countries in the post-2008 surveys. After 2008, in the overall sample, the wealthiest female participants were 2·77 (95% CI 1·42–5·40) times more likely to report HIV testing in the previous 12 months than were the poorest female participants, whereas the richest male participants were 3·55 (1·85–6·81) times more likely to report HIV testing than in the poorest male participants. The mean absolute difference in uptake of HIV testing between the richest and poorest participants was 11·1 (95% CI 4·6–17·5) percentage points in female participants and 15·1 (9·6–20·6) in male participants. Over time (ie, when pre-2008 and post-2008 data were compared), socioeconomic inequalities in the uptake of HIV testing in the previous 12 months decreased in male and female participants, whereas absolute inequalities remained similar in female participants and increased in male participants. Interpretation: Although relative socioeconomic inequalities in uptake of HIV testing in sub-Saharan Africa has decreased, absolute inequalities have persisted or increased. Greater priority should be given to socioeconomic equity in assessments of HIV-testing programmes

    Practices and Obstacles to Provider-Initiated HIV Testing and Counseling (PITC) Among Healthcare Providers in Côte d’Ivoire

    Get PDF
    Practices of Provider-Initiated HIV Testing and Counseling (PITC) remains suboptimal in Côte d'Ivoire. The aim of this survey was to identify the practices and obstacles to PITC among healthcare professionals in Côte d'Ivoire. A nationally representative cross-sectional survey was conducted in 2018 by telephone among three separate samples of midwives, nurses and physicians practicing in Côte d'Ivoire. The number of HIV tests proposed during consultation in the month preceding the survey was collected for each professional. Factors associated with the number of proposed tests were identified through ordinal logistic regression models. A total of 298 midwives, 308 nurses and 289 physicians were interviewed. Midwives proposed the test more frequently, followed by nurses and physicians. Among midwives, a higher number of proposed tests was associated with the perception that HIV testing does not require specific consent compared to other diseases (aOR 4.00 [95% CI 1.37-14.29]). Among nurses, having received HIV training and the presence of community HIV counselors were associated with a higher number of proposed tests (aOR 2.01 [1.31-3.09] and aOR 1.75 [1.14-2.70], respectively). For physicians, the presence of a voluntary testing center was associated with a higher number of proposed tests (aOR 1.69 [1.01-2.86]). PITC practices and barriers differed across professions. Beyond improving environmental opportunities such as dedicated staff or services, strengthening the motivations and capabilities of healthcare professionals to propose testing could improve PITC coverage

    Le Fonds mondial : un bailleur comme les autres ? L’exemple de la Côte d’Ivoire

    No full text
    International audienceDepuis une décennie, la Côte d’Ivoire est le théâtre d’une bataille rangée entre les principaux bailleurs internationaux de la lutte contre le sida pour déterminer la répartition des activités et des districts sanitaires. Depuis 2014, les deux bailleurs principaux de Côte d’Ivoire s’engagent dans une poursuite claire d’actions à « haut impact ». Sous l’impulsion de Deborah Birx, nouvelle ambassadrice du gouvernement américain en charge de la coordination des activités VIH/sida, le Pepfar (programme de coopération bilatérale américain) initie un processus d’optimisation de ses ressources et de recherche d’actions à « haut rendement ». De la même manière, avec l’adoption du « nouveau modèle de financement » (NMF), le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, s’engage fermement dans cette voie, bien que cette institution multilatérale continue d’affirmer son souci de promouvoir les démarches collaboratives et respectueuses des demandes nationales. Dans la pratique, cette course pour des actions à fort impact l’emporte bien souvent sur les objectifs de collaboration et d’alignement. Et si le Fonds mondial était devenu un bailleur comme les autres

    Le Fonds mondial : un bailleur comme les autres ? L’exemple de la Côte d’Ivoire

    No full text
    International audienceDepuis une décennie, la Côte d’Ivoire est le théâtre d’une bataille rangée entre les principaux bailleurs internationaux de la lutte contre le sida pour déterminer la répartition des activités et des districts sanitaires. Depuis 2014, les deux bailleurs principaux de Côte d’Ivoire s’engagent dans une poursuite claire d’actions à « haut impact ». Sous l’impulsion de Deborah Birx, nouvelle ambassadrice du gouvernement américain en charge de la coordination des activités VIH/sida, le Pepfar (programme de coopération bilatérale américain) initie un processus d’optimisation de ses ressources et de recherche d’actions à « haut rendement ». De la même manière, avec l’adoption du « nouveau modèle de financement » (NMF), le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, s’engage fermement dans cette voie, bien que cette institution multilatérale continue d’affirmer son souci de promouvoir les démarches collaboratives et respectueuses des demandes nationales. Dans la pratique, cette course pour des actions à fort impact l’emporte bien souvent sur les objectifs de collaboration et d’alignement. Et si le Fonds mondial était devenu un bailleur comme les autres

    Le Fonds mondial : un bailleur comme les autres ? L'exemple de la Côte d'Ivoire

    No full text
    International audienceDepuis une décennie, la Côte d’Ivoire est le théâtre d’une bataille rangée entre les principaux bailleurs internationaux de la lutte contre le sida pour déterminer la répartition des activités et des districts sanitaires. Depuis 2014, les deux bailleurs principaux de Côte d’Ivoire s’engagent dans une poursuite claire d’actions à « haut impact ». Sous l’impulsion de Deborah Birx, nouvelle ambassadrice du gouvernement américain en charge de la coordination des activités VIH/sida, le Pepfar (programme de coopération bilatérale américain) initie un processus d’optimisation de ses ressources et de recherche d’actions à « haut rendement ». De la même manière, avec l’adoption du « nouveau modèle de financement » (NMF), le Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme, s’engage fermement dans cette voie, bien que cette institution multilatérale continue d’affirmer son souci de promouvoir les démarches collaboratives et respectueuses des demandes nationales. Dans la pratique, cette course pour des actions à fort impact l’emporte bien souvent sur les objectifs de collaboration et d’alignement. Et si le Fonds mondial était devenu un bailleur comme les autres

    Petite(s) histoire(s) de la recherche communautaire

    No full text
    International audienc

    Organisation du financement du dépistage du VIH à base communautaire en Côte d'Ivoire : une recherche d'efficience potentiellement contre-productive ?

    No full text
    Objectif : Depuis le début des années 2010, le President's Emergency Plan for AIDS Relief (Pepfar) et le Fonds mondial de lutte contre le VIH/ sida, la tuberculose et le paludisme ont accentué leurs stratégies de gestion axée sur les résultats (GAR). Les conditions de décaissements sont de plus en plus exigeantes pour les organisations non gouvernementales (ONG) financés (atteinte d'objectifs chiffrés, réalisation de compte rendu et de contrôles des activités fréquents) et leur rémunération dépend des résultats atteints. Cet article vise à analyser les effets de ce renforcement des politiques fondées sur le new public management sur la mise en oeuvre locale des activités, à travers l'exemple du dépistage du VIH à base communautaire. Méthodes : Dans trois districts sanitaires de la Côte d'Ivoire, nous avons réalisé, en 2015 et 2016, une cartographie des acteurs impliqués dans le dépistage communautaire et des entretiens semi-directifs auprès de membres des ONG dites "communautaires" (n = 18). Résultats : Le financement des organisations en charge du dépistage au niveau local transite par des organisations intermédiaires selon un système pyramidal complexe. Combiné à la lourdeur des comptes rendus d'activité et de la validation des données, cela génère des retards dans le décaissement des fonds et réduit fortement le temps effectif de mise en oeuvre des activités, soit moins de la moitié du temps prévu à cet effet. Conclusion : Cette managérialisation aussi bien du Pepfar que du Fonds mondial produit ainsi des effets contre-productifs contre lesquels elle était censée lutter
    corecore