10 research outputs found

    Annexe 3 - Politique d'incitation des pouvoirs régionaux pour le développement du multimédia

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    SynthĂšse d'Élisabeth FICHEZ La politique des pouvoirs publics dans le domaine du multimĂ©dia a connu une Ă©volution sur trois ou quatre ans : lors du premier appel d'offres lancĂ© en 1987-1988, peu de critĂšres pouvaient ĂȘtre utilisĂ©s pour sĂ©lectionner les projets ; et parmi ceux qui ont Ă©tĂ© retenus, un petit nombre seulement furent menĂ©s Ă  bien. En 1990, s'est imposĂ©e la nĂ©cessitĂ© de fixer des « pĂŽles de compĂ©tence » rĂ©gionaux pour la poursuite du programme (prioritĂ© aux projets visant la format..

    Le droit d’asile

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    Les Cahiers de la recherche sur les droits fondamentaux ont dĂ©cidĂ© de consacrer leur treiziĂšme numĂ©ro au droit d’asile, ce droit particulier qui doit tout Ă  la fois protĂ©ger les droits de l’homme et respecter les prĂ©rogatives des États (François Julien-LaferriĂšre). Au cƓur des dĂ©bats se situe la complexe question de la protection juridique Ă  accorder au demandeur d’asile qui doit, pour accĂ©der au statut de rĂ©fugiĂ© (en application de la Convention de GenĂšve du 28 juillet 1951), « crain[dre] avec raison » d’ĂȘtre persĂ©cutĂ© « du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalitĂ©, de son appartenance Ă  un certain groupe social ou de ses opinions politiques ». Au-delĂ  de son dossier thĂ©matique, ce numĂ©ro des Cahiers est enrichi par les deux rubriques habituelles de la revue que sont les « VariĂ©tĂ©s » et les « Chroniques »

    Education, Formation : le temps de l'industrialisation ?

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    Comité scientifique de ce numéro : Pierre Achard, Patrick Charaudeau, Bernard MiÚge, Pierre Moeglin, Jean Mouchon, Eric Neveu, Roger Odin, Michael Palmer, Jean-François Tétu, Yves Winkin. Comité de rédaction de ce numéro : Olivier Chantraine, Pierre Delcambre, Bernard Delforce, Elisabeth Fichez, Martine Hédoux, Bernard Leconte, François Poulle, Christine Revuz

    La laïcité dans la justice

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    L’enquĂȘte sur la laĂŻcitĂ© dans la justice, dont les rĂ©sultats sont prĂ©sentĂ©s dans ce rapport, confirme que les acteurs de la justice sont conduits Ă  prendre en compte le fait religieux dans le cadre de leurs fonctions, et qu’ils se demandent alors comment respecter leur devoir d’impartialitĂ©, et le droit applicable. Comme dans l’ensemble de la sociĂ©tĂ© et des services publics, on retrouve dans la Justice les mĂȘmes questionnements, et parfois les mĂȘmes incertitudes ou controverses, quant Ă  l’affichage de signes et symboles dans les bĂątiments publics, ou bien le port de signes religieux par des personnes physiques, voire sur la radicalisation religieuse. Les interrogations sont communes aux sociĂ©tĂ©s pluralistes (comme le QuĂ©bec ou la Belgique qui sont aussi Ă©tudiĂ©s dans ce rapport), et sont d’autant plus vives qu’une symbolique religieuse imprĂšgne encore la Justice : robes de juge ou d’avocat, agencement des salles d’audience, principes moraux transcendant son fonctionnement, etc.Le point le plus surprenant rĂ©vĂ©lĂ© par cette enquĂȘte est le degrĂ© d’incertitude et le nombre d’erreurs sur la notion juridique de laĂŻcitĂ© qu’elle fait ressortir chez ses acteurs, de toutes fonctions et professions. Chez une large part des personnes interrogĂ©es, il existe d’ailleurs une tendance importante Ă  faire passer des opinions personnelles pour une rĂšgle de droit positif. Si les mĂ©connaissances rĂ©vĂ©lĂ©es par l’enquĂȘte et analysĂ©es dans ce rapport sont – encore une fois – les mĂȘmes que dans le reste de population française, elles surprennent chez ceux là‐mĂȘmes qui sont en charge d’appliquer le droit.Le rapport est divisĂ© en trois parties : - L’enquĂȘte sur les acteurs de la Justice - Les acteurs de la Justice et la neutralitĂ©, - Les acteurs de la Justice et la gestion du fait religieux. Chacune de ces parties rĂ©unit des analyses, des entretiens et des dĂ©bats sur les problĂ©matiques que l’enquĂȘte fait ressortir. Afin d’en faciliter la lecture, les diffĂ©rentes contributions sont toutes prĂ©cĂ©dĂ©es d’un rĂ©sumĂ©, ainsi que d’un encadrĂ© intitulĂ© « L’essentiel Pratique » qui donne une rĂ©ponse prĂ©cise Ă  l’une de ces grandes problĂ©matiques.Le rapport permettra Ă  ses lecteurs de mieux cerner la posture professionnelle que doit adopter tout acteur de la Justice soumis au principe de laĂŻcitĂ©, et il s’achĂšve sur une proposition pour amĂ©liorer encore la formation continue de ces acteurs

    La laïcité dans la justice

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    L’enquĂȘte sur la laĂŻcitĂ© dans la justice, dont les rĂ©sultats sont prĂ©sentĂ©s dans ce rapport, confirme que les acteurs de la justice sont conduits Ă  prendre en compte le fait religieux dans le cadre de leurs fonctions, et qu’ils se demandent alors comment respecter leur devoir d’impartialitĂ©, et le droit applicable. Comme dans l’ensemble de la sociĂ©tĂ© et des services publics, on retrouve dans la Justice les mĂȘmes questionnements, et parfois les mĂȘmes incertitudes ou controverses, quant Ă  l’affichage de signes et symboles dans les bĂątiments publics, ou bien le port de signes religieux par des personnes physiques, voire sur la radicalisation religieuse. Les interrogations sont communes aux sociĂ©tĂ©s pluralistes (comme le QuĂ©bec ou la Belgique qui sont aussi Ă©tudiĂ©s dans ce rapport), et sont d’autant plus vives qu’une symbolique religieuse imprĂšgne encore la Justice : robes de juge ou d’avocat, agencement des salles d’audience, principes moraux transcendant son fonctionnement, etc.Le point le plus surprenant rĂ©vĂ©lĂ© par cette enquĂȘte est le degrĂ© d’incertitude et le nombre d’erreurs sur la notion juridique de laĂŻcitĂ© qu’elle fait ressortir chez ses acteurs, de toutes fonctions et professions. Chez une large part des personnes interrogĂ©es, il existe d’ailleurs une tendance importante Ă  faire passer des opinions personnelles pour une rĂšgle de droit positif. Si les mĂ©connaissances rĂ©vĂ©lĂ©es par l’enquĂȘte et analysĂ©es dans ce rapport sont – encore une fois – les mĂȘmes que dans le reste de population française, elles surprennent chez ceux là‐mĂȘmes qui sont en charge d’appliquer le droit.Le rapport est divisĂ© en trois parties : - L’enquĂȘte sur les acteurs de la Justice - Les acteurs de la Justice et la neutralitĂ©, - Les acteurs de la Justice et la gestion du fait religieux. Chacune de ces parties rĂ©unit des analyses, des entretiens et des dĂ©bats sur les problĂ©matiques que l’enquĂȘte fait ressortir. Afin d’en faciliter la lecture, les diffĂ©rentes contributions sont toutes prĂ©cĂ©dĂ©es d’un rĂ©sumĂ©, ainsi que d’un encadrĂ© intitulĂ© « L’essentiel Pratique » qui donne une rĂ©ponse prĂ©cise Ă  l’une de ces grandes problĂ©matiques.Le rapport permettra Ă  ses lecteurs de mieux cerner la posture professionnelle que doit adopter tout acteur de la Justice soumis au principe de laĂŻcitĂ©, et il s’achĂšve sur une proposition pour amĂ©liorer encore la formation continue de ces acteurs

    La laïcité dans la justice

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    L’enquĂȘte sur la laĂŻcitĂ© dans la justice, dont les rĂ©sultats sont prĂ©sentĂ©s dans ce rapport, confirme que les acteurs de la justice sont conduits Ă  prendre en compte le fait religieux dans le cadre de leurs fonctions, et qu’ils se demandent alors comment respecter leur devoir d’impartialitĂ©, et le droit applicable. Comme dans l’ensemble de la sociĂ©tĂ© et des services publics, on retrouve dans la Justice les mĂȘmes questionnements, et parfois les mĂȘmes incertitudes ou controverses, quant Ă  l’affichage de signes et symboles dans les bĂątiments publics, ou bien le port de signes religieux par des personnes physiques, voire sur la radicalisation religieuse. Les interrogations sont communes aux sociĂ©tĂ©s pluralistes (comme le QuĂ©bec ou la Belgique qui sont aussi Ă©tudiĂ©s dans ce rapport), et sont d’autant plus vives qu’une symbolique religieuse imprĂšgne encore la Justice : robes de juge ou d’avocat, agencement des salles d’audience, principes moraux transcendant son fonctionnement, etc.Le point le plus surprenant rĂ©vĂ©lĂ© par cette enquĂȘte est le degrĂ© d’incertitude et le nombre d’erreurs sur la notion juridique de laĂŻcitĂ© qu’elle fait ressortir chez ses acteurs, de toutes fonctions et professions. Chez une large part des personnes interrogĂ©es, il existe d’ailleurs une tendance importante Ă  faire passer des opinions personnelles pour une rĂšgle de droit positif. Si les mĂ©connaissances rĂ©vĂ©lĂ©es par l’enquĂȘte et analysĂ©es dans ce rapport sont – encore une fois – les mĂȘmes que dans le reste de population française, elles surprennent chez ceux là‐mĂȘmes qui sont en charge d’appliquer le droit.Le rapport est divisĂ© en trois parties : - L’enquĂȘte sur les acteurs de la Justice - Les acteurs de la Justice et la neutralitĂ©, - Les acteurs de la Justice et la gestion du fait religieux. Chacune de ces parties rĂ©unit des analyses, des entretiens et des dĂ©bats sur les problĂ©matiques que l’enquĂȘte fait ressortir. Afin d’en faciliter la lecture, les diffĂ©rentes contributions sont toutes prĂ©cĂ©dĂ©es d’un rĂ©sumĂ©, ainsi que d’un encadrĂ© intitulĂ© « L’essentiel Pratique » qui donne une rĂ©ponse prĂ©cise Ă  l’une de ces grandes problĂ©matiques.Le rapport permettra Ă  ses lecteurs de mieux cerner la posture professionnelle que doit adopter tout acteur de la Justice soumis au principe de laĂŻcitĂ©, et il s’achĂšve sur une proposition pour amĂ©liorer encore la formation continue de ces acteurs
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