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Annexe 3 - Politique d'incitation des pouvoirs régionaux pour le développement du multimédia
SynthĂšse d'Ălisabeth FICHEZ La politique des pouvoirs publics dans le domaine du multimĂ©dia a connu une Ă©volution sur trois ou quatre ans : lors du premier appel d'offres lancĂ© en 1987-1988, peu de critĂšres pouvaient ĂȘtre utilisĂ©s pour sĂ©lectionner les projets ; et parmi ceux qui ont Ă©tĂ© retenus, un petit nombre seulement furent menĂ©s Ă bien. En 1990, s'est imposĂ©e la nĂ©cessitĂ© de fixer des « pĂŽles de compĂ©tence » rĂ©gionaux pour la poursuite du programme (prioritĂ© aux projets visant la format..
Annexe 3 - Politique d'incitation des pouvoirs régionaux pour le développement du multimédia: Contribution de Jean-Marie BASILIEN - 26 octobre 1991
International audienc
Le droit dâasile
Les Cahiers de la recherche sur les droits fondamentaux ont dĂ©cidĂ© de consacrer leur treiziĂšme numĂ©ro au droit dâasile, ce droit particulier qui doit tout Ă la fois protĂ©ger les droits de lâhomme et respecter les prĂ©rogatives des Ătats (François Julien-LaferriĂšre). Au cĆur des dĂ©bats se situe la complexe question de la protection juridique Ă accorder au demandeur dâasile qui doit, pour accĂ©der au statut de rĂ©fugiĂ© (en application de la Convention de GenĂšve du 28 juillet 1951), « crain[dre] avec raison » dâĂȘtre persĂ©cutĂ© « du fait de sa race, de sa religion, de sa nationalitĂ©, de son appartenance Ă un certain groupe social ou de ses opinions politiques ». Au-delĂ de son dossier thĂ©matique, ce numĂ©ro des Cahiers est enrichi par les deux rubriques habituelles de la revue que sont les « VariĂ©tĂ©s » et les « Chroniques »
Education, Formation : le temps de l'industrialisation ?
Comité scientifique de ce numéro : Pierre Achard, Patrick Charaudeau, Bernard MiÚge, Pierre Moeglin, Jean Mouchon, Eric Neveu, Roger Odin, Michael Palmer, Jean-François Tétu, Yves Winkin. Comité de rédaction de ce numéro : Olivier Chantraine, Pierre Delcambre, Bernard Delforce, Elisabeth Fichez, Martine Hédoux, Bernard Leconte, François Poulle, Christine Revuz
Contre la constitutionnalisation de la frénésie sécuritaire
International audienceEn quoi la modification de la Constitution envisagĂ©e dans lâurgence, sans rĂ©flexion vĂ©ritable, est-elle Ă mĂȘme de dissoudre la « menace terroriste » ?, sâinterroge un collectif de juristes universitaire
Contre la constitutionnalisation de la frénésie sécuritaire
International audienceEn quoi la modification de la Constitution envisagĂ©e dans lâurgence, sans rĂ©flexion vĂ©ritable, est-elle Ă mĂȘme de dissoudre la « menace terroriste » ?, sâinterroge un collectif de juristes universitaire
La laïcité dans la justice
LâenquĂȘte sur la laĂŻcitĂ© dans la justice, dont les rĂ©sultats sont prĂ©sentĂ©s dans ce rapport, confirme que les acteurs de la justice sont conduits Ă prendre en compte le fait religieux dans le cadre de leurs fonctions, et quâils se demandent alors comment respecter leur devoir dâimpartialitĂ©, et le droit applicable. Comme dans lâensemble de la sociĂ©tĂ© et des services publics, on retrouve dans la Justice les mĂȘmes questionnements, et parfois les mĂȘmes incertitudes ou controverses, quant Ă lâaffichage de signes et symboles dans les bĂątiments publics, ou bien le port de signes religieux par des personnes physiques, voire sur la radicalisation religieuse. Les interrogations sont communes aux sociĂ©tĂ©s pluralistes (comme le QuĂ©bec ou la Belgique qui sont aussi Ă©tudiĂ©s dans ce rapport), et sont dâautant plus vives quâune symbolique religieuse imprĂšgne encore la Justice : robes de juge ou dâavocat, agencement des salles dâaudience, principes moraux transcendant son fonctionnement, etc.Le point le plus surprenant rĂ©vĂ©lĂ© par cette enquĂȘte est le degrĂ© dâincertitude et le nombre dâerreurs sur la notion juridique de laĂŻcitĂ© quâelle fait ressortir chez ses acteurs, de toutes fonctions et professions. Chez une large part des personnes interrogĂ©es, il existe dâailleurs une tendance importante Ă faire passer des opinions personnelles pour une rĂšgle de droit positif. Si les mĂ©connaissances rĂ©vĂ©lĂ©es par lâenquĂȘte et analysĂ©es dans ce rapport sont â encore une fois â les mĂȘmes que dans le reste de population française, elles surprennent chez ceux lĂ âmĂȘmes qui sont en charge dâappliquer le droit.Le rapport est divisĂ© en trois parties : - LâenquĂȘte sur les acteurs de la Justice - Les acteurs de la Justice et la neutralitĂ©, - Les acteurs de la Justice et la gestion du fait religieux. Chacune de ces parties rĂ©unit des analyses, des entretiens et des dĂ©bats sur les problĂ©matiques que lâenquĂȘte fait ressortir. Afin dâen faciliter la lecture, les diffĂ©rentes contributions sont toutes prĂ©cĂ©dĂ©es dâun rĂ©sumĂ©, ainsi que dâun encadrĂ© intitulĂ© « Lâessentiel Pratique » qui donne une rĂ©ponse prĂ©cise Ă lâune de ces grandes problĂ©matiques.Le rapport permettra Ă ses lecteurs de mieux cerner la posture professionnelle que doit adopter tout acteur de la Justice soumis au principe de laĂŻcitĂ©, et il sâachĂšve sur une proposition pour amĂ©liorer encore la formation continue de ces acteurs
La laïcité dans la justice
LâenquĂȘte sur la laĂŻcitĂ© dans la justice, dont les rĂ©sultats sont prĂ©sentĂ©s dans ce rapport, confirme que les acteurs de la justice sont conduits Ă prendre en compte le fait religieux dans le cadre de leurs fonctions, et quâils se demandent alors comment respecter leur devoir dâimpartialitĂ©, et le droit applicable. Comme dans lâensemble de la sociĂ©tĂ© et des services publics, on retrouve dans la Justice les mĂȘmes questionnements, et parfois les mĂȘmes incertitudes ou controverses, quant Ă lâaffichage de signes et symboles dans les bĂątiments publics, ou bien le port de signes religieux par des personnes physiques, voire sur la radicalisation religieuse. Les interrogations sont communes aux sociĂ©tĂ©s pluralistes (comme le QuĂ©bec ou la Belgique qui sont aussi Ă©tudiĂ©s dans ce rapport), et sont dâautant plus vives quâune symbolique religieuse imprĂšgne encore la Justice : robes de juge ou dâavocat, agencement des salles dâaudience, principes moraux transcendant son fonctionnement, etc.Le point le plus surprenant rĂ©vĂ©lĂ© par cette enquĂȘte est le degrĂ© dâincertitude et le nombre dâerreurs sur la notion juridique de laĂŻcitĂ© quâelle fait ressortir chez ses acteurs, de toutes fonctions et professions. Chez une large part des personnes interrogĂ©es, il existe dâailleurs une tendance importante Ă faire passer des opinions personnelles pour une rĂšgle de droit positif. Si les mĂ©connaissances rĂ©vĂ©lĂ©es par lâenquĂȘte et analysĂ©es dans ce rapport sont â encore une fois â les mĂȘmes que dans le reste de population française, elles surprennent chez ceux lĂ âmĂȘmes qui sont en charge dâappliquer le droit.Le rapport est divisĂ© en trois parties : - LâenquĂȘte sur les acteurs de la Justice - Les acteurs de la Justice et la neutralitĂ©, - Les acteurs de la Justice et la gestion du fait religieux. Chacune de ces parties rĂ©unit des analyses, des entretiens et des dĂ©bats sur les problĂ©matiques que lâenquĂȘte fait ressortir. Afin dâen faciliter la lecture, les diffĂ©rentes contributions sont toutes prĂ©cĂ©dĂ©es dâun rĂ©sumĂ©, ainsi que dâun encadrĂ© intitulĂ© « Lâessentiel Pratique » qui donne une rĂ©ponse prĂ©cise Ă lâune de ces grandes problĂ©matiques.Le rapport permettra Ă ses lecteurs de mieux cerner la posture professionnelle que doit adopter tout acteur de la Justice soumis au principe de laĂŻcitĂ©, et il sâachĂšve sur une proposition pour amĂ©liorer encore la formation continue de ces acteurs
La laïcité dans la justice
LâenquĂȘte sur la laĂŻcitĂ© dans la justice, dont les rĂ©sultats sont prĂ©sentĂ©s dans ce rapport, confirme que les acteurs de la justice sont conduits Ă prendre en compte le fait religieux dans le cadre de leurs fonctions, et quâils se demandent alors comment respecter leur devoir dâimpartialitĂ©, et le droit applicable. Comme dans lâensemble de la sociĂ©tĂ© et des services publics, on retrouve dans la Justice les mĂȘmes questionnements, et parfois les mĂȘmes incertitudes ou controverses, quant Ă lâaffichage de signes et symboles dans les bĂątiments publics, ou bien le port de signes religieux par des personnes physiques, voire sur la radicalisation religieuse. Les interrogations sont communes aux sociĂ©tĂ©s pluralistes (comme le QuĂ©bec ou la Belgique qui sont aussi Ă©tudiĂ©s dans ce rapport), et sont dâautant plus vives quâune symbolique religieuse imprĂšgne encore la Justice : robes de juge ou dâavocat, agencement des salles dâaudience, principes moraux transcendant son fonctionnement, etc.Le point le plus surprenant rĂ©vĂ©lĂ© par cette enquĂȘte est le degrĂ© dâincertitude et le nombre dâerreurs sur la notion juridique de laĂŻcitĂ© quâelle fait ressortir chez ses acteurs, de toutes fonctions et professions. Chez une large part des personnes interrogĂ©es, il existe dâailleurs une tendance importante Ă faire passer des opinions personnelles pour une rĂšgle de droit positif. Si les mĂ©connaissances rĂ©vĂ©lĂ©es par lâenquĂȘte et analysĂ©es dans ce rapport sont â encore une fois â les mĂȘmes que dans le reste de population française, elles surprennent chez ceux lĂ âmĂȘmes qui sont en charge dâappliquer le droit.Le rapport est divisĂ© en trois parties : - LâenquĂȘte sur les acteurs de la Justice - Les acteurs de la Justice et la neutralitĂ©, - Les acteurs de la Justice et la gestion du fait religieux. Chacune de ces parties rĂ©unit des analyses, des entretiens et des dĂ©bats sur les problĂ©matiques que lâenquĂȘte fait ressortir. Afin dâen faciliter la lecture, les diffĂ©rentes contributions sont toutes prĂ©cĂ©dĂ©es dâun rĂ©sumĂ©, ainsi que dâun encadrĂ© intitulĂ© « Lâessentiel Pratique » qui donne une rĂ©ponse prĂ©cise Ă lâune de ces grandes problĂ©matiques.Le rapport permettra Ă ses lecteurs de mieux cerner la posture professionnelle que doit adopter tout acteur de la Justice soumis au principe de laĂŻcitĂ©, et il sâachĂšve sur une proposition pour amĂ©liorer encore la formation continue de ces acteurs