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Local Trade:Supporting Local Economic Resilience in the Digital Age
This paper discusses the importance of economic resilience in times of financial turmoil and presents the preliminary results of a study on a new approach to supporting regional and local economies by incentivising locally beneficial consuming and sourcing behaviours
Action trypanocide du chlorhydrate de chlorure d'Isométamidium (+) sur Trypanosoma evansi et essai de traitement de la trypanosomiase du dromadaire
Le chlorhydrate de chlorure d'Isométamidium est doué de peu d'activité à l'égard de Trypanosoma evansi. En l'absence de produits plus actifs, son utilisation chez le dromadaire par injection intraveineuse ou intramusculaire à des doses comprises entre 0,50 et 1 mg/kg, permet d'attendre durant 2 à 3 semaines une thérapeutique réellement curativ
Note sur la présence de Thyridanthrax argentifrons Austen (Dip. Bombylidae), parasite des pupes de Glossina tachinoides W dans la région du bas Chari, environs de Fort-Lamy
Les Bombylides du genre Thyridanthrax sont les seuls Diptères connus parasites pupes de Glossines. Le parasitisme des pupes de Gl. tachnoïdes W. est déjà connu au Ghana et en Nigeria. Un essai d'élevage de Gl. tachinoïdes W., au Laboratoire de Farcha, à partir de pupes sauvages, a mis en évidence l'existence de ce parasitisme. Sept pupes parmi celles récoltées de fin mars à fin avril, ont donné des Thryridanthrax argentifrons A. C'est la première fois que ce parasitisme est signalé dans le bassin du Chari où Glossina tachinoïdes abonde. Bibliographie: 13 référence
Essai d'élevage de Glossina tachinoides W. au laboratoire
Après un rappel des principaux élevages de glossines en laboratoire, les auteurs exposent les résultats d'un élevage de Glossina tachinoides W. réalisé au laboratoire de Farcha, Fort-Lamy (Tchad). Cette espèce n'avait été élevée jusqu'à présent qu'une seule fois en 1934 par BUXTON et LEWIS. L'origine de l'élevage réalisé à Farcha a été constitué par des pupes récoltées près de Fort-Lamy, de février à avril 1963. Les pupes ont été placées en tubes individuels, à 25¼C et 40 p. 100 d'H. R. Les mouches écloses ont été élevées également en tubes individuels, dans les mêmes conditions. Les accouplements, réalisés à l'âge de 2 jours, après un repas de sang, ont permis d'obtenir 4 larves, dont deux ont donné des mâles. Les durées de pupaison ont été de 27 et 37 jours. Les observations faites au cours de cet élevage permettront la mise en route d'un élevage à meilleur rendement. L'influence de certains facteurs: lumière, degré hygrométrique, source et rythme des repas, doit être précisé
Variabilité et antigénicité de Dermatophilus congolensis
Les auteurs étudient plusieurs souches de Dermatophilus congolensis en provenance des différents territoires d'Afrique Occidentale, Centrale et de Madagascar. Ils concluent que ces souches à leur isolement sont comparables du point de vue des caractères morphologiques et biochimiques. Elles présentent de plus une structure antigénique très voisine, sinon identique. Toutefois de nombreuses mutations peuvent survenir, mutations s'accompagnant de variations morphologiques et biochimiques ainsi que d'une dégradation antigénique du germ
La trypanosomiase à Trypanosoma evansi chez le dromadaire au Tchad et ses principaux vecteurs
Au Tchad, la trypanosomose sévit dans toute la zone d'élevage du dromadaire. Les régions les plus touchées sont le Kanem, le Batha et surtout l'Ouaddaï. Les animaux de transport sont les plus atteints (10 à 30 p. 100 contre 0,12 p. 100 pour les sédentaires du Nord Kanem). La maladie se développe chaque année à la saison des pluies (surtout à la fin). 11 Tabanidae sont inventorié
Optical and geometrical characteristics of cirrus clouds over a mid-latitude lidar station
International audienceOptical and geometrical characteristics of cirrus clouds over Thessaloniki, Greece (40.6°, 22.9°) have been determined from the analysis of lidar and radiosonde measurements performed during the period from 2000 to 2006. Cirrus clouds are generally observed in a mid altitude region ranging from 7 to 12 km, with mid-cloud temperatures in the range from ?65° to ?25°C. A seasonality of cirrus geometrical and temperature properties is found. The cloud thickness ranges from 0.85 to 5 km and 37% of our cases have thickness between 2 and 3 km. The retrieval of cloud's optical depth and lidar ratio is performed using three different methods, taking into account multiple scattering effects. The mean optical depth is found to be 0.3±0.24 and the corresponding mean lidar ratio is 28±17 sr. Sub-visual, thin and opaque cirrus clouds are observed at 7.5%, 51% and 42.5% of the measured cases respectively. The multiple scattering errors of the measured effective extinction coefficients range from 20% to 60% depending on cloud optical depth. A comparison of the results between the three methods shows good agreement. In addition we present the advantages and limitations of each method applied. The temperature and thickness dependencies on optical properties have also been studied in detail. A maximum mid-cloud depth of ~3 km is found at temperatures around ~?45°C while there is an indication that optical depth increases with increasing thickness and mid-cloud temperature. No clear dependence of the lidar ratio values on the cloud temperature and thickness was found
Description de Rhipicephalus bergeoni n. sp. (Acariens, Ixodida) des montagnes d'Ethiopie
Rhipicephalus bergeoni n. sp., dont les adultes sont parasites du bétail dans les communautés forestières de montagne et dans les zones d'altitude des prairies subtropicales d'Ethiopie, appartient au groupe de Rh. sanguineus, quoique certaines particularités morphologiques puissent le faire confondre avec Rh. appendiculatus, qui semble à ce jour absent de ce pays. (Résumé d'auteur
Characteristics of episodes with extremely low ozone values in the northern middle latitudes 1957?2000
International audienceA number of episodes are observed when the total ozone for 2 to 3 days has fallen below 220 matm-cm in the northern mid- and polar latitudes in autumn. The occurrences of such episodes represent ozone deviations of about one-third from the pre-1976 Oct-Nov-Dec monthly mean! By using primarily quality checked Dobson data, a clear identification was made of more than three dozen short spells with extremely low ozone in the 1957?1978 period. In the following twenty-two years (1979?2000), using mainly TOMS data, one can identify ~ 46 cases with ozone values falling below 220 matm-cm for longer than 1 day, with each time over an area greater than 500,000 km2 . The Ozone Mass Deficiency (O3MD) from the pre-1976 average ozone values over the affected area was ~2.8 Mt per day, i.e. four to seven times greater than it would be, assuming only a long-term trend in the Oct-Nov-Dec period. The Extremely Low Ozone (ELO3) events on the day of their appearance over the N. Atlantic/European region contribute to the O3MD by representing 16% of the deficiency due to the Oct-Nov trend in the entire 40?65° N latitudinal belt. The O3MD of the greater pool with low ozone (here taken as 3 events cause a significant deficiency above the tropopause where, in general, the subtropical air is injected. In fact, the overall amount of ozone is not depleted, but redistributed on the hemispheric scale. Review of low ozone events, defined as days with negative deviations from the pre-1976 averages greater than 25% show, in general, similar origin. The seasonally averaged area with ELO3 and the associated O3MD, as well as for the cases with deviations > ?25%, has increased during the 1990s, which could be an indication of stronger and/or more frequent subtropical air intrusions. Their occurrences could contribute noticeably to the ozone deficiency of the middle latitude ozone during the days of ELO3 appearances; however, their contribution to the long-term trend of the ozone seasonal decline is of the order of ~10%
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