Determination of the reliability of the URCI and MTC methodology in the evaluation of the condition state of an unpaved road located in the District of Olleros - Huaraz - Ancash. Section: Puente Bedoya - San Pedro de Huancha

Esta tesis consideró el efecto en la Red Vial Peruana de las carreteras no pavimentadas, que comprende 143,402.40 km evaluado hasta año 2022, según las estadísticas del Ministerio de Transporte y Comunicaciones, MTC. El propósito principal de este estudio fue determinar la confiabilidad de las metodologías de diagnóstico del estado de carreteras no pavimentadas mediante los procedimientos URCI y MTC en la vía Puente Bedoya - San Pedro de Huancha, ubicada en el distrito de Olleros – Huaraz – Ancash. La metodología empleada fue de tipo aplicada, con un enfoque cuantitativo, un nivel descriptivo transversal y un diseño no experimental de campo. La población estudiada fue la ruta AN-788 / AN-740, de 5 km de longitud, y la muestra se conformó por 10 tramos de 0.50 km para el método MTC y 2 secciones de 1 km con una sección de 81 m para el método URCI. Se utilizaron técnicas de revisión documental y observación directa, se emplearon fichas de registro como instrumentos, y los datos fueron analizados mediante estadística descriptiva e inferencial. De los resultados de ambas metodologías propuestas se obtiene que la clasificación de condición promedio con el método MTC fue de 103.92, lo que corresponde a un nivel malo, mientras que con el método URCI fue de 69.50, lo que representa un nivel bueno. Al contrastar ambos resultados de los tramos evaluados, se obtiene una significancia de 0.000, lo que demuestra una diferencia significativa. Se infiere que el estado de la carretera es malo según el método MTC y bueno según el método URCI, siendo este último el más confiable para definir el tipo de intervención necesario en las vías no pavimentadas.This thesis considered the effect of unpaved roads on the Peruvian Road Network, which comprises 143,402.40 km as of 2022, according to the statistics of the Ministry of Transport and Communications, MTC. The main purpose of this study was to determine the reliability of the diagnostic methodologies of the condition of unpaved roads using the URCI and MTC procedures on the Puente Bedoya - San Pedro de Huancha road, located in the district of Olleros, province of Huaraz, region Ancash. The methodology used was of applied type, with a quantitative approach, a cross-sectional descriptive level, and a non-experimental field design. The population studied was the AN-788 / AN-740 route, 5 km long, and the sample consisted of ten sections of 0.50 km for the MTC method and two sections of 1 km with a section of 81 m for the URCI method. Document review and direct observation techniques were used, registration forms were used as instruments, and the data were analyzed using descriptive and inferential statistics. From the results of both proposed methodologies, it was obtained that the average condition index with the MTC method was 103.92, which corresponds to a bad level, while with the URCI method it was 69.50, which represents a good level. When contrasting both results of the evaluated sections, a significance of 0.000 was obtained, which shows a significant difference. It is inferred that the condition of the road is bad according to the MTC method and good according to the URCI method, being the latter the most reliable to define the type of intervention needed on unpaved roads.Tesi

Les capoieras au prisme des trajectoires des exploitations agricoles : cas de Paragominas, État du Para, Amazonie brésilienne

National audienceEn Amazonie brésilienne les forêts secondaires ou capoieras, présentent un nouvel intérêt pour les gestionnaires de l’environnement et des institutions locales. Le maintien et le développement de ces forêts régénérées après déforestation représentent une des options majeures pour la restauration, un des engagements forts du Brésil lors de la COP 21. Le devenir des forêts secondaires dépend des agriculteurs. Or très peu d’études se sont intéressées aux raisons sociotechniques qui conduisent les agriculteurs à maintenir, voire à développer les capoieras. Sont-elles le produit de stratégies des agriculteurs ? Ou se sont-elles imposées ? Les auteurs analysent les trajectoires des exploitations afin d’identifier et de comprendre ces raisons sociotechniques qui sont à la croisée des dynamiques écologiques et humaines. La zone d’étude est la commune de Paragominas, citée en modèle pour avoir mis en place l’initiative « Municipe Vert », fondée sur l’arrêt de la déforestation et la mise en place de bonnes pratiques de production et de restauration forestière. Une méthode d’analyse systémique sur le temps long a été adoptée sur un échantillon de 25 agriculteurs familiaux. La diversité des trajectoires d’exploitation selon les pratiques des agriculteurs, l’histoire de la famille et l’évolution du système de production se traduit par trois profils d’agriculteurs. Le profil « émergent » regroupe des agroforestiers qui conservent une capoeira ancienne sur 50 % minimum de la surface de l’exploitation. Le profil « pionnier » regroupe des agriculteurs pratiquant l’abattis-brûlis avec une capoiera plus jeune et moins étendue. Enfin, le type « incertain » regroupe des producteurs dont la situation économique est fragile avec des arrêts temporaires de l’activité agricole. Leur usage des capoieras à moyen terme reste flou. Cette étude a montré le rôle primordial de la pluriactivité et de l’émergence d’activités pérennes et de systèmes agroforestiers pour expliquer la présence et le maintien de capoieras