40 research outputs found

    Proposition d'une méthode basée sur la création et l'utilisation d'artéfacts afin de résoudre des problèmes dans les cours d'introduction à la programmation

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    Nous pouvons voir le développement d'un logiciel selon deux perspectives. La première concerne le développement, par un programmeur ou une petite équipe de programmeurs, d'un petit logiciel, avec un utilisateur et un seul ordinateur. C'est ce qu'on appelle de la programmation à petite échelle (programming in the small). Ce genre de développement s'enseigne dans les cours de programmation en informatique (computer science). La deuxième perspective consiste à faire de la programmation à grande échelle avec plusieurs équipes de programmeurs, plusieurs fonctionnalités, plusieurs utilisateurs et même, parfois, plusieurs ordinateurs et serveurs. C'est ce qu'on appelle le génie logiciel (software engineering), qui s'enseigne dans des baccalauréats en génie logiciel. Même si beaucoup de progrès a été fait en génie logiciel, il reste qu'il existe encore des lacunes dans l'enseignement de cette discipline. Les difficultés se situent, entre autres, dans les cours d'introduction à la programmation. Il y a plusieurs façons d'enseigner le développement de logiciels. Cependant, peu importe celle qui est employée, la transition entre la programmation à petite échelle et la programmation à grande échelle n'est pas facile. Nous désirons donc créer une méthode qui favorise la résolution de problèmes, tout en facilitant la transition ultérieure vers les grands projets. Nous croyons également que la transition serait plus facile si ladite méthode de développement utilisait des principes de génie logiciel déjà utilisés et reconnus. C'est pourquoi nous avons tenu compte d'un corpus de connaissances en génie logiciel (Abran et aL, 2001) dans la construction de la méthode

    A comparison between nocturnal aural counts of passerines and radar reflectivity from a Canadian weather surveillance radar

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    Using a Canadian weather surveillance radar (CWSR), we assessed the relationship between aural passerine counts and radar reflectivity during autumn migration on 16 nights. Reflectivity was positively correlated on all but 1 night with the number of birds detected aurally, but the correlation strength varied between -0.58 and 0.93 among nights (mean ± SD = 0.69 ± 0.42). Using linear mixed-effects models with aural counts nested within nights, we found that the number of birds detected by observers increased with reflectivity. The slope of this relationship did not vary between observers, nor was it affected by time since sunset, but the number of birds detected aurally tended to be lower when ambient noise levels were high. We know that the radar was relatively sensitive to low bird densities, because the intercept was slightly positive and its 95% confidence interval marginally included zero. However, the relationship between the number of birds detected aurally and reflectivity varied significantly among nights. Such variation was likely caused by a combination of (interacting) factors, including bird species and behavior (e.g., calling rate, flight altitude), influencing bird detectability by the observers and the radar. The weather radar network of the United States (NEXRAD) is already used for bird migration studies, and we conclude that the use of CWSR can extend NEXRAD's coverage farther north by hundreds of kilometers, thereby increasing our understanding of how birds use the North American landscapes during migration. Nous avons étudié la relation entre un dénombrement auditif de passereaux et la réflectivité d'un radar de surveillance météorologique canadien (CWSR), durant la migration automnale, pendant 16 nuits. La réflectivité radar était positivement corrélée avec le nombre d'oiseaux détectés auditivement pour toutes les nuits, exception d'une, mais la puissance de cette relation variait de -0.58 à 0.93 (moyenne ± écart-type = 0.69 ± 0.42). En utilisant des modèles linéaires à effets mixtes où les dénombrements auditifs étaient nichés de manière intra-nuit, nous avons confirmé que le nombre d'oiseaux détectés par les observateurs s'accroissait avec la réflectivité. La pente de cette relation ne variait pas entre les observateurs comme elle n'était pas affectée par le temps écoulé depuis le coucher du soleil, mais le nombre d'oiseaux détectés auditivement tendait àdiminuer quand le bruit ambiant était plus élevé. Le radar s'est avéré être relativement sensible à une faible densité d'oiseaux, puisque la valeur de l'intercepte était légèrement positive et ses intervalles de confiance de 95% incluaient marginalement le zéro. Cependant, la relation entre le nombre d'oiseaux détectés auditivement et la réflectivité variait significativement entre les nuits. Une telle variation est vraisemblablement attribuable à la combinaison (ou l'interaction) de facteurs incluant les espèces d'oiseaux présentes et leurs comportements (e.g. taux de cris, altitude de vol), ce qui influence la détectabilité des oiseaux par les observateurs, mais aussi par le radar. Le réseau de radars météo (NEXRAD) des États-Unis est déjà utilisé dans des études de la migration des oiseaux et nous concluons que l'utilisation des CWSR pourrait permettent une extension vers le nord de plusieurs centaines de kilomètres de la couverture du réseau NEXRAD, permettant d'accroître la compréhension de l'utilisation des paysages nord américains par les oiseaux durant leur migration

    Weather effects on autumn nocturnal migration of passerines on opposite shores of the St. Lawrence estuary

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    We modeled migration intensity as a function of weather, using nightly migration measurements from Doppler surveillance weather radar during autumn migration on the north (Côte-Nord) and south (Gaspésie) shores of the St. Lawrence estuary, Québec, Canada. The radar had negative elevation angles, an uncommon characteristic among weather radars, which allowed simultaneous low-altitude monitoring of bird migration on each side of the estuary. Precipitation and wind both had strong effects on the intensity of migration. Very few birds migrated when >40% of the area had precipitation, especially when winds were strong. Light winds were associated with the strongest migration intensity, regardless of wind direction; in stronger winds, migration was likely only when winds were predominantly from the north. Days immediately after adverse weather events, which are assumed to lead to an accumulation of migrants, were associated with an increase in the intensity of migration in Côte-Nord, but not in Gaspésie. Time since the passage of a cold front had no effect in either region. Bird flight direction and behavior in relation to wind differed on each side of the estuary. On Côte-Nord, birds tended to migrate in a southwesterly direction along the St. Lawrence north coast, in a direction relatively unaffected by wind direction; they compensated or overcompensated for wind drift by following the coast. By contrast, birds in Gaspésie tended to fly in a more southerly direction. They migrated partially or almost fully downwind with only limited compensation, their flight direction often changing with wind direction. Nous avons modélisé l'intensité migratoire automnale en fonction de la météo, en utilisant des mesures de la migration nocturne prises à la fois sur la rive nord (Côte-Nord) et la rive sud (Gaspésie) de l'estuaire du Saint-Laurent, Québec, Canada, à l'aide d'un radar Doppler de surveillance météorologique. Ce radar effectue des balayages à des angles négatifs, une caractéristique rare chez les radars météo qui permet entre autres, de relever des données de migration d'oiseaux à basse altitude et simultanément de chaque côté de l'estuaire. Nos résultats montrent que les précipitations et le vent avaient de forts effets sur l'intensité migratoire. Peu d'oiseaux migraient quand 40% ou plus du territoire était affecté par des précipitations, particulièrement en combinaison avec des vents forts. Les plus fortes intensités migratoires étaient associés avec des vents légers, peu importe la direction du vent; par vents forts, la migration était plus probable quand les vents avaient une composante nord. Un événement de conditions météo adverses à la migration s'ensuivait d'une augmentation de l'intensité migratoire sur la Côte-Nord, mais pas en Gaspésie. Le passage d'un front froid n'avait aucun effet sur la migration dans l'une ou l'autre des deux régions. La direction de vol des oiseaux et leur comportement relativement au vent différaient de chaque côté de l'estuaire. Sur la Côte-Nord, les oiseaux avaient tendance à migrer vers Ie sud-ouest, Ie long de la rive nord du Saint-Laurent; cette direction de vol était peu affectée par la direction du vent et les oiseaux suivaient la côte en compensant ou surcompensant pour la dérive par les vents. En opposition, les oiseaux en Gaspésie avaient tendance à voler vers Ie sud; leur migration se faisait en suivant partiellement ou pleinement le vent avec peu de compensation et avec une direction de vol qui changeait souvent avec la direction du vent

    Sur la critique de Jean-Pierre Richard

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    Critique et oeuvre

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    Réel, réalisme littéraire et connaissance

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    La personne mythique du comte de Lautreamont.

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    Ewen, Gagnon, Gaucher, Hurtubise, McEwen : A propos d'une peinture des années soixante

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    Paul-Émile Borduas

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