15 research outputs found

    Budget of methane emissions from soils, livestock and the river network at the regional scale of the Seine basin (France)

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    We used various approaches to establish a comprehensive budget of methane (CH4) emissions from the Seine basin, including direct emissions from livestock and soils as well as emissions from the drainage network. For the direct emissions from livestock, we used official livestock census numbers and emission factors (CH4 emitted by each animal species per head per year) available in the literature. For the emissions from soils, we based our estimates on experimental measurements in closed chambers installed on different agricultural plots, forest, and grasslands in 2008 and 2009. The results were extrapolated to the whole Seine basin, including grassland, cropland, and forest soil distributions in the Seine basin. The CH4 emissions from the Seine drainage network were also based on measurements of sampled waters in various rivers and streams (from headwaters to estuary) during different seasons in 2007, 2008, and 2010. After chemical analysis of CH4 concentrations in the water samples using a gas chromatographic technique and calculation of the CH4 supersaturation by stream order in rivers of the Seine basin (from 1 to 8) and by season we could estimate the CH4 emissions for the whole water surface area of the Seine drainage network. The livestock of the Seine basin produce CH4 emissions amounting to 166 × 106 kg C year−1, among which cattle are responsible for 85 %. The total CH4 emission from the Seine drainage network was estimated at 0.3 × 106 kg C year−1, large rivers being responsible for the largest proportion. Ebullition could account for an additional 0.2 × 106 kg C year−1. Soils of the Seine basin are a net sink for CH4 (9.4 × 106 kg C year−1). The water and soils fluxes are low with regard to emissions by livestock, but domestic waste, through landfills, could contribute an additional 40 × 106 kg C year−1

    Dynamique de l'azote et émission de N2O dans un versant agricole du bassin de l'Orgeval

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    PIREN-Seine. Phase V – Rapport de synthèse 2007-2010il s'agit d'un type de produit dont les métadonnées ne correspondent pas aux métadonnées attendues dans les autres types de produit : REPORTabsen

    Bilan des gaz à effet de serre d’origine agricole: oxyde nitreux et méthane

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    PIREN-Seine. Phase V – Rapport de synthèse 2007-2010il s'agit d'un type de produit dont les métadonnées ne correspondent pas aux métadonnées attendues dans les autres types de produit : REPORTLes bilans agricoles d’émissions de méthane (CH4) et de l’oxyde nitreux (N2O) ont été réalisés à l’échelle du bassin de la Seine, sur la base de mesures acquises sur les sols et dans le réseau hydrographique. Le réseau hydrographique émet environ 140 103 kg N-N2O et 170 103 kg C-CH4 auxquelles s’ajoutent les émissions par les zones humides estimées à 500 – 800 103 kg NN2O et 400 - 4000 103 kg C-CH4. Ces émissions indirectes représentent environ 10% et 1% des émissions directes par les sols agricoles pour le N2O et le CH4 respectivement. Les émissions directes sont en majorité celles des sols arables 10400 103 kg N-N2O pour le N2O, alors que les émissions directes du CH4 sont essentiellement liées à la digestion entéro-gastrique du cheptel, et en particulier des bovins, soit 194660 103 kg C-CH4. Les sols sont un puits pour le CH4 : - 10000 103 kg C-CH4.. Les émissions de N- N2O et de CCH4représentent 12.3 106 tonnes CO2 équivalent an-1. A ces émissions, il faut ajouter celles émises par le fuel pour les activités agricoles et celles liées à la fabrication des engrais synthétiques qui représentent respectivement 0.1% et 10%

    Campagnes de prélèvements multi-traceurs pour la caractérisation hydro-biogéochimique de la plaine alluviale de la Bassée

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    International audienceLa Bassée est un secteur de la plaine alluviale de la Seine situé en amont de Paris, entreles confluences Seine-Aube et Seine-Yonne. Il s’agit d’un territoire caractérisé par lanécessité de concilier des usages différents, mais dont le fonctionnement hydro-biogéochimique complexe reste largement méconnu. Cinq campagnes multi-traceurs ontainsi été organisées entre 2017 et 2021 afin de mesurer différentes variablesbiogéochimiques dans les eaux de surface (Seine, Aube, Yonne, gravières, bras morts) etsouterraines (nappes des alluvions et de la craie). Ces données ponctuelles permettentd’intégrer les données physiques acquises en continu depuis 2015 par les stationsMOLONARI. Les campagnes ont été réalisées en conditions hydrologiques contrastées :deux campagnes en période de hautes eaux (mars 2017 et 2021) et trois en basses eaux(novembre 2017, octobre 2020 et septembre 2021). L’objectif de ce rapport est deprésenter les résultats de ces campagnes de manière intégrée et de caractériser le contextehydrologique et biogéochimique dans lequel s’est déroulée chaque campagne. Ce travaila montré que le critère hydrologique, basé sur le débit en rivière, n’est pas suffisant pourclasser les campagnes et interpréter leurs résultats. Un deuxième critère, basé sur latempérature de l’air, a été proposé pour représenter le potentiel d’activité biologique dusystème caractéristique de chaque campagne. L’analyse préliminaire des résultats descampagnes a montré que les eaux souterraines dans la Bassée seraient le siège d’uneactivité de dénitrification permettant l’abattement des nitrates accumulés à l’amont de laplain

    Campagnes de prélèvements multi-traceurs pour la caractérisation hydro-biogéochimique de la plaine alluviale de la Bassée

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    International audienceLa Bassée est un secteur de la plaine alluviale de la Seine situé en amont de Paris, entreles confluences Seine-Aube et Seine-Yonne. Il s’agit d’un territoire caractérisé par lanécessité de concilier des usages différents, mais dont le fonctionnement hydro-biogéochimique complexe reste largement méconnu. Cinq campagnes multi-traceurs ontainsi été organisées entre 2017 et 2021 afin de mesurer différentes variablesbiogéochimiques dans les eaux de surface (Seine, Aube, Yonne, gravières, bras morts) etsouterraines (nappes des alluvions et de la craie). Ces données ponctuelles permettentd’intégrer les données physiques acquises en continu depuis 2015 par les stationsMOLONARI. Les campagnes ont été réalisées en conditions hydrologiques contrastées :deux campagnes en période de hautes eaux (mars 2017 et 2021) et trois en basses eaux(novembre 2017, octobre 2020 et septembre 2021). L’objectif de ce rapport est deprésenter les résultats de ces campagnes de manière intégrée et de caractériser le contextehydrologique et biogéochimique dans lequel s’est déroulée chaque campagne. Ce travaila montré que le critère hydrologique, basé sur le débit en rivière, n’est pas suffisant pourclasser les campagnes et interpréter leurs résultats. Un deuxième critère, basé sur latempérature de l’air, a été proposé pour représenter le potentiel d’activité biologique dusystème caractéristique de chaque campagne. L’analyse préliminaire des résultats descampagnes a montré que les eaux souterraines dans la Bassée seraient le siège d’uneactivité de dénitrification permettant l’abattement des nitrates accumulés à l’amont de laplain

    Campagnes de prélèvements multi-traceurs pour la caractérisation hydro-biogéochimique de la plaine alluviale de la Bassée

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    International audienceLa Bassée est un secteur de la plaine alluviale de la Seine situé en amont de Paris, entreles confluences Seine-Aube et Seine-Yonne. Il s’agit d’un territoire caractérisé par lanécessité de concilier des usages différents, mais dont le fonctionnement hydro-biogéochimique complexe reste largement méconnu. Cinq campagnes multi-traceurs ontainsi été organisées entre 2017 et 2021 afin de mesurer différentes variablesbiogéochimiques dans les eaux de surface (Seine, Aube, Yonne, gravières, bras morts) etsouterraines (nappes des alluvions et de la craie). Ces données ponctuelles permettentd’intégrer les données physiques acquises en continu depuis 2015 par les stationsMOLONARI. Les campagnes ont été réalisées en conditions hydrologiques contrastées :deux campagnes en période de hautes eaux (mars 2017 et 2021) et trois en basses eaux(novembre 2017, octobre 2020 et septembre 2021). L’objectif de ce rapport est deprésenter les résultats de ces campagnes de manière intégrée et de caractériser le contextehydrologique et biogéochimique dans lequel s’est déroulée chaque campagne. Ce travaila montré que le critère hydrologique, basé sur le débit en rivière, n’est pas suffisant pourclasser les campagnes et interpréter leurs résultats. Un deuxième critère, basé sur latempérature de l’air, a été proposé pour représenter le potentiel d’activité biologique dusystème caractéristique de chaque campagne. L’analyse préliminaire des résultats descampagnes a montré que les eaux souterraines dans la Bassée seraient le siège d’uneactivité de dénitrification permettant l’abattement des nitrates accumulés à l’amont de laplain

    Campagnes de prélèvements multi-traceurs pour la caractérisation hydro-biogéochimique de la plaine alluviale de la Bassée

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    International audienceLa Bassée est un secteur de la plaine alluviale de la Seine situé en amont de Paris, entreles confluences Seine-Aube et Seine-Yonne. Il s’agit d’un territoire caractérisé par lanécessité de concilier des usages différents, mais dont le fonctionnement hydro-biogéochimique complexe reste largement méconnu. Cinq campagnes multi-traceurs ontainsi été organisées entre 2017 et 2021 afin de mesurer différentes variablesbiogéochimiques dans les eaux de surface (Seine, Aube, Yonne, gravières, bras morts) etsouterraines (nappes des alluvions et de la craie). Ces données ponctuelles permettentd’intégrer les données physiques acquises en continu depuis 2015 par les stationsMOLONARI. Les campagnes ont été réalisées en conditions hydrologiques contrastées :deux campagnes en période de hautes eaux (mars 2017 et 2021) et trois en basses eaux(novembre 2017, octobre 2020 et septembre 2021). L’objectif de ce rapport est deprésenter les résultats de ces campagnes de manière intégrée et de caractériser le contextehydrologique et biogéochimique dans lequel s’est déroulée chaque campagne. Ce travaila montré que le critère hydrologique, basé sur le débit en rivière, n’est pas suffisant pourclasser les campagnes et interpréter leurs résultats. Un deuxième critère, basé sur latempérature de l’air, a été proposé pour représenter le potentiel d’activité biologique dusystème caractéristique de chaque campagne. L’analyse préliminaire des résultats descampagnes a montré que les eaux souterraines dans la Bassée seraient le siège d’uneactivité de dénitrification permettant l’abattement des nitrates accumulés à l’amont de laplain

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    International audienceLa Bassée est un secteur de la plaine alluviale de la Seine situé en amont de Paris, entreles confluences Seine-Aube et Seine-Yonne. Il s’agit d’un territoire caractérisé par lanécessité de concilier des usages différents, mais dont le fonctionnement hydro-biogéochimique complexe reste largement méconnu. Cinq campagnes multi-traceurs ontainsi été organisées entre 2017 et 2021 afin de mesurer différentes variablesbiogéochimiques dans les eaux de surface (Seine, Aube, Yonne, gravières, bras morts) etsouterraines (nappes des alluvions et de la craie). Ces données ponctuelles permettentd’intégrer les données physiques acquises en continu depuis 2015 par les stationsMOLONARI. Les campagnes ont été réalisées en conditions hydrologiques contrastées :deux campagnes en période de hautes eaux (mars 2017 et 2021) et trois en basses eaux(novembre 2017, octobre 2020 et septembre 2021). L’objectif de ce rapport est deprésenter les résultats de ces campagnes de manière intégrée et de caractériser le contextehydrologique et biogéochimique dans lequel s’est déroulée chaque campagne. Ce travaila montré que le critère hydrologique, basé sur le débit en rivière, n’est pas suffisant pourclasser les campagnes et interpréter leurs résultats. Un deuxième critère, basé sur latempérature de l’air, a été proposé pour représenter le potentiel d’activité biologique dusystème caractéristique de chaque campagne. L’analyse préliminaire des résultats descampagnes a montré que les eaux souterraines dans la Bassée seraient le siège d’uneactivité de dénitrification permettant l’abattement des nitrates accumulés à l’amont de laplain
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