426 research outputs found

    Are explicatures cancellable?

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    Explicatures are not cancellable. Theoretical considerations

    CHARACTERIZATION OF FIBER SUSPENSIONS IN ARCHETYPAL FLOWS BY MEANS OF STANDARD AND HIGH SPEED PARTICLE IMAGE VELOCIMETRY

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    Multiphase flows, i.e. flows in which one or more phases are dispersed within a carrier phase, are often encountered in environmental and engineering applications. The inherent di ffculty in studying these flows, due to the phases interactions, is further complicated when the carrier flow is turbulent. A speci c category of two-phase flows relevant for industrial applications is represented by flows where the shape of the dispersed phase is best approximated by rods or fibers, rather than spheres. In this thesis dilute fi ber suspensions in a turbulent pipe jet and in a channel with backward-facing step are characterized experimentally by means of standard and high-speed Particle Image Velocimetry. A full characterization of the near fi eld region of the single-phase, unladen jet is provided with a focus on entrainment rate. To this end, a simple model is presented to predict entrainment rate and tested against experimental data in the Reynolds number range [3200-28000]. The fiber-laden case is obtained by adding Nylon fi bers featuring an aspect ratio of 13.3 to the pipe jet at two diff erent concentrations at a Reynolds number equal to 10000. A phase discrimination technique is presented and validated to obtain simultaneous carrier flow and dispersed phase velocity data. Jet mean and RMS of velocity measurements, velocity correlations and spectral data are discussed with a focus on turbulence modulation induced by the dispersed bers. High spatial resolution measurements of fiber suspensions in a channel with a backward- facing step are presented and discussed. The high spatial resolution and the use of an object-fi tting technique allow the identi fication and measurement of single fibers orientation within the flow. Fibers orientation and concentration data are compared to carrier flow velocity statistics. The results hint at an important role played by bers orientation and orientation anisotropy in turbulent modulation on the carrier phase.Co supervisore: Giovanni Paolo Romano - Struttura di aggregazione: Dipartimento di Meccanica e Aeronautica dell'Università di Roma La SapienzaopenDottorato di ricerca in Tecnologie chimiche ed energeticheopenCapone, Alessandr

    INDIRECT REPORTS, SLURS, AND THE POLYPHONIC SPEAKER

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    A full view on the dynamics of an impurity coupled to two one-dimensional fermionic baths

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    We consider a model for the motion of an impurity interacting with two parallel, one-dimensional (bosonized) fermionic baths. The impurity is able to move along any of the baths, and to jump from one to the other. We provide a perturbative expression for the state evolution of the system when the impurity is injected in one of the baths, with a given wave packet. The nontrivial choice of the unperturbed dynamics makes the approximation formally infinite-order in the impurity-bath coupling, allowing us to reproduce the orthogonality catastrophe. We employ the result for the state evolution to observe the dynamics of the impurity and its effect on the baths, in particular in the case when the wave packet is Gaussian. We observe and characterize the propagation of the impurity along the baths and the hopping between them. We also analyze the dynamics of the bath density and momentum density (i.e. the particle current), and show that fits an intuitive semi-classical interpretation. We also quantify the correlation that is established between the baths by calculating the inter-bath, equal-time spatial correlation functions of both bath density and momentum, finding a complex pattern. We show that this pattern contains information on both the impurity motion and on the baths themselves, and that these can be unveiled by taking appropriate "slices" of the time evolution.Comment: 26 pages, 14 figure

    La protection française des États pontificaux. Occupation militaire et souveraineté partagée dans l’Italie du Risorgimento (1849-1870)

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    Le 4 juillet 1849, au bout d’un siège duré plusieurs semaines, un corps expéditionnaire d’environ 30 000 soldats français, commandés par le général Oudinot, fit son entrée à Rome, renversant la république démocratique qu’y avaient installée les démocrates italiens après la déchéance du pouvoir temporel, et restaurant ainsi Pie IX sur son trône. L’événement marque la début d’une occupation d’abord pensée comme provisoire, mais qui sera destinée à se prolonger jusqu’à 1866, pour reprendre, sous des formes différentes, en 1867-1870. Par le moyen d’un large corpus de sources manuscrites inédites, consultées, entre autre, aux Archives diplomatiques de Nantes et La Courneuve, aux Archives nationales, au Service Historique de la Défense, à l’Archivio segreto vaticano et à l’Archivio di Stato di Roma, cette thèse renouvelle l’historiographie d’un épisode souvent considéré comme marginal, montrant qu’il fut, en revanche, un moment important de l’histoire impériale d’une France qui était en train de repenser son rôle de puissance après la Restauration et les révolutions de 1830 et de 1848. La thèse est composée par trois parties, précédées par une introduction et par un prologue, et suivies par une conclusion. Il ne s’agissait pas seulement de restaurer l’ordre dans la péninsule italienne en rétablissant le pouvoir temporel du pape. Il fallait aussi éviter que la restauration du pouvoir temporel n’entraîne le naufrage des tentatives de modernisation administrative faites pendant les deux années réformatrices du règne de Pie IX. Une question longtemps débattue par l’historiographie résulte ainsi clarifiée : l’expédition trouva son origine dans la convergence de forces politiques et culturelles très différentes, dans la perspective – partagée également par certains secteurs du libéralisme italien – selon laquelle il appartenait à la France, en vertu de sa propre tradition, de procéder à la stabilisation de l’Europe postrévolutionnaire en lui donnant une organisation où la religion était la base pour un développement modéré des libertés civiles. La première partie souligne que, pour le gouvernement français, la protection de ses intérêts impériaux (et la volonté conséquente de soutenir le poids financier de l’occupation) se lia avec la naissance, dans les États pontificaux, d’une classe dirigeante libéral-bourgeoise capable d’assurer la gestion des affaires publiques, favorisant le développement économique et civil du pays. Ce faisant – en particulier au moment où l’objectif est d’empêcher la persécution de ceux qui avaient précédemment exprimé des opinions en faveur de la République – les autorités d’occupation, à travers le partage des pouvoirs souverains, notamment dans le domaine de la police, expérimentent des formes de protection des droits individuels qui deviennent l’instrument des politiques d’influence. La deuxième partie de la thèse aborde la deuxième phase de la présence française dans les États pontificaux, qui suit le coup d’État de Napoléon en décembre 1851. Un élément de nouveauté par rapport à la période précédente est l’intention des autorités occupantes de « civiliser » une population considérée comme arriérée. Cet élément s’inscrit, certes, dans la continuité avec l’objectif de moderniser les structures des États pontificaux, objectif qui se manifeste notamment dans le secteur militaire, mais aussi dans l’administration de l’hygiène publique et dans l’organisation de la police pour réprimer la criminalité. Cependant, dans la deuxième phase de l’occupation, estimant ainsi que le pouvoir temporel ne peut pas se passer des formes absolutistes, les responsables français considèrent la poursuite de la modernisation administrative comme nécessaire pour doter le gouvernement papal d’instruments efficaces pour l’exercice de son autorité. Cette nouvelle inflexion de la politique française dans les États pontificaux, qui passe d’une ingérence conflictuelle à une stratégie d’influence informelle, permet une convergence entre les instances de la diplomatie française et les dirigeants du Saint-Siège. Ces derniers identifièrent la possibilité d’un modèle de modernisation catholique qui chercherait à assimiler des aspects de l’État moderne, en les intégrant à la conservation des structures de l’Ancien régime. Des exemples significatifs de cette tendance sont la tentative d’organiser une armée professionnelle composée de volontaires, plutôt que basée sur la conscription, et la tentative d’adopter un code civil consacrant la primauté de la loi divine sur les ordres humains. La troisième phase coïncide avec la crise des États pontificaux au lendemain des annexions des Légations, des Marches et de l’Ombrie au Royaume d’Italie, en 1859-1860. La tendance française à justifier l’occupation militaire comme une œuvre de « civilisation » s’accentue dans le parallèle entre la lutte contre le brigandage (d’abord lié au légitimisme bourbonien, puis alimenté par les conditions socio-économiques des populations du Midi de l’Italie) et la conquête coloniale en Afrique. Cette lutte amène les troupes françaises à établir, à la frontière italo-pontificale, un système de surveillance visant à garantir le respect de la neutralité papale, violée tant par l’armée italienne qui empiète sur le territoire romain pour saisir les brigands, tant pour les autorités papales qui soutiennent en cachette ces derniers. La formation d’un bataillon de volontaires (la Légion d’Antibes), puis le retour des unités militaires françaises dans les États pontificaux après la bataille de Mentana en 1867 sont insérés dans le cadre des nouveaux équilibres politiques européens résultant de la victoire prussienne à Sadowa et du déclin de l’Autriche comme concurrent des ambitions impériales françaises. La renonciation à toute intervention modernisatrice des États pontificaux marque une réorganisation dans le partage de la souveraineté. Cela n’empêche cependant pas la présence française de continuer d’influencer l’élaboration de questions générales qui vont bien au-delà du territoire du Latium : au niveau de la politique intérieure, on procéda à redéfinir les limites dans lesquelles une autorité occupante pouvait se cantonner pour combattre une violence armée que l’autorité formellement souveraine n’arrivait pas à endiguer ; au niveau de la politique internationale, les modalités de protection de la neutralité des petits États sont expérimentées dans un système basé sur la compétition entre les empires, tandis que se perfectionne l’application du principe de non-intervention en politique internationale. L’occupation française des États pontificaux ouvra la voie à l’élaboration d’outils de limitation de la souveraineté qui allaient influencer la doctrine juridique des protectorats officiels à la fin du siècle. Alors que les historiens impériaux considèrent généralement la souveraineté partagée comme une conséquence de l’expansion coloniale européenne, cette recherche permet de comprendre la souveraineté partagée comme un résultat des processus de construction de l’État qui étaient liés aux projets d’influence impériale en Europe au milieu du XIXe siècle

    Reazione e brigantaggio in Capitanata (1860-1864). Pratiche e linguaggi del ribellismo antiunitario

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    Facendo ricorso a un ampio corpus di fonti giudiziarie, prefettizie e militari conservate dagli archivi di Foggia e Lucera, dall'Archivio centrale dello Stato e da quello dello Stato maggiore dell'Esercito, il presente lavoro ricostruisce le vicende del «Grande brigantaggio» postunitario in Capitanata. La tesi discute le interpretazioni avanzate dagli osservatori ottocenteschi e in larga parte confluite nelle opere degli iniziatori della storiografia novecentesca sul brigantaggio, Antonio Lucarelli e soprattutto Franco Molfese, autore della prima e ancora oggi fondamentale trattazione d'insieme del fenomeno. Molfese, servendosi delle categorie analitiche marxiste e gramsciane, sistematizzò la lettura meridionalistica del brigantaggio come espressione del malcontento delle classi contadine del Mezzogiorno, desiderose di ottenere la ripartizione delle terre demaniali, promessa dai governanti sin dalla soppressione della feudalità nel 1806 e mai concretamente attuata. Per Molfese, i motivi politici ravvisabili soprattutto nella prima fase del brigantaggio sarebbero dovuti a una mera opera di strumentalizzazione messa in atto dai maggiorenti della reazione borbonico-clericale nei confronti della protesta sociale contadina, sulla quale, però, il linguaggio della controrivoluzione si sarebbe mostrato incapace di fare presa. Il brigantaggio si sarebbe dunque rivelato nella sua genuina natura di forma primitiva di lotta di classe, destinata a fallire a causa della mancanza di quadri dirigenti rivoluzionari in grado di conferire unità di azione alla violenza distruttrice delle bande armate. Raccogliendo sollecitazioni provenienti dalla storiografia più recente, queste pagine cercano, invece, di dimostrare l'incompatibilità tra le motivazioni, le forme e i linguaggi delle insurrezioni reazionarie e quelli delle proteste demaniali. Il primo capitolo, analizzando il comportamento delle folle in un campione di moti reazionari verificatisi in Capitanata tra l'estate del 1860 e quella del 1861 e confrontando questi tumulti con quelli aventi per oggetto l'accesso alle risorse terriere, mette in risalto la specificità simbolica e rituale delle reazioni, leggibili come riti di passaggio attraverso i quali le folle operano la restaurazione dell'ordine politico tradizionale sovvertito dalle trasformazioni in senso liberale che hanno riguardato le istituzioni meridionali, prima con la concessione della costituzione da parte di Francesco II, poi con l'annessione al nuovo Regno d'Italia. Gli insorti che prendono parte alle reazioni appaiono mossi non dall'intento di conseguire la proprietà delle terre demaniali, ma da un legittimismo popolare nell'ambito del quale elementi politici e sociali si mescolano e il sovrano borbonico, sostenuto dalle gerarchie ecclesiastiche, appare il garante dei giusti equilibri economici minacciati dall'ordinamento liberale, associato agli interessi dei ceti borghesi. La constatazione delle analogie formali tra le diverse insurrezioni reazionarie non esime, peraltro, dal tentativo di valutare in che modo le logiche degli schieramenti e le violenze che marcano questi moti fossero condizionate dagli annosi contrasti che laceravano le élite municipali in competizione per la gestione del potere locale. Il secondo capitolo riguarda la composizione e le operazioni delle bande armate che si formarono in seguito alle reazioni del 1860-1861, alimentandosi di coloro che, dopo aver partecipato a tali tumulti, si diedero alla macchia per sfuggire alle ricerche, di ex soldati dell'esercito borbonico che si rifiutavano di servire sotto le armi del nuovo Stato, di renitenti alla leva e disertori, ma anche di gente comune e banditi di lungo corso, alcuni dei quali furono tra i principali capi del brigantaggio foggiano. Il capitolo distingue tre aree di brigantaggio, ricostruendo le azioni delle bande che operano in ciascuna di esse: il Gargano, la Valle del Fortore e il Basso Tavoliere. L'esame condotto in questa sezione mostra come alla pluralità di attori coinvolti nel brigantaggio corrispondesse, secondo dinamiche tipiche delle guerre civili, una pluralità di motivazioni individuali. Nella medesima banda potevano militare convinti partigiani della monarchia borbonica, che conferivano alle proprie violenze un significato esclusivamente politico, ma anche personaggi che nella guerriglia reazionaria potevano scorgere l'occasione di compiere vendette private e arricchirsi facilmente. La debolezza del regime unitario e le concrete possibilità che, come in passato, il sovrano napoletano ritornasse sul trono dispiegavano di fronte a non pochi meridionali orizzonti d'attesa che facevano balenare l'opportunità di sostenere la causa reazionaria per ottenere onori, ricchezze e riconoscimenti in virtù della gratitudine di Francesco II verso coloro che lo avessero appoggiato nella sua lotta per riconquistare il trono delle Due Sicilie. Vecchi banditi come Angelo Maria Del Sambro e Carmine Crocco potevano, allora, mettersi alla testa della reazione nella speranza di riabilitarsi dopo la restaurazione. L'esistenza di un fondo di legittimismo popolare diffuso in alcuni settori della popolazione rurale, oltre a indurre la corte napoletana in esilio a Roma e i circoli borbonici localmente diffusi a progettare piani controrivoluzionari, rendeva possibile ai membri non politicizzati delle bande servirsi del linguaggio reazionario per guadagnare consensi. La collaborazione dei rurali non era acquisita solo in questo modo, ma attraverso una gamma di azioni che comprendevano la distribuzione di generi alimentari ai propri sostenitori e, a scopo deterrente, l'uso della violenza punitiva contro i presunti traditori e gli individui che avevano scelto di aiutare le autorità nella caccia ai briganti. Nel terzo capitolo lo sguardo si sposta sul ruolo dei prefetti e dei comandi dell'esercito nell'elaborazione della strategia repressiva che, unendo misure amministrative e poliziesche al rafforzamento della presenza militare nel Mezzogiorno, portò alla sconfitta del grande brigantaggio. Particolare attenzione è dedicata alle figure dei prefetti, al loro ruolo di mediatori verso il centro delle richieste – provenienti dai ceti dirigenti locali – di maggior energia nella lotta contro le bande, al non sempre sereno svolgimento dei rapporti tra l'autorità civile e l'autorità militare. Questo esame indica che le esigenze della guerra alle bande armate influirono molto sullo State-building nell'Italia meridionale, favorendo la sedimentazione di pratiche operative che avrebbero per lungo tempo caratterizzato il volto assunto dall'istituto prefettizio e la funzione delle forze armate. La stabilizzazione delle istituzioni unitarie e il miglior controllo da esse conseguito sul territorio, la stanchezza per i danni economici provocati dal prolungato stato d'insicurezza delle campagne, il timore della repressione e le varie forme di gratificazione create dal governo per chi avesse combattuto i briganti finirono per indurre le popolazioni rurali a collaborare con il nuovo Stato. Già attorno alla metà del 1862, prima della proclamazione dello stato d'assedio nel Mezzogiorno e del varo della legislazione eccezionale, le bande armate si trovarono in una condizione di crescente isolamento, rivelata anche dall'aumento della violenza deterrente e punitiva da loro diretta contro esponenti delle fasce più umili della popolazione. Come si evince dai dati quantitativi sulla repressione presentati nella parte finale del capitolo, la gran parte dei briganti della Capitanata venne eliminata prima dell'estate del 1862. Ciò contribuisce a spiegare la relativa mitezza e la breve durata dell'applicazione della legge Pica nella provincia di Foggia. Adottata il 15 agosto 1863, in Capitanata, a differenza di quanto accadde in altre province, la legislazione eccezionale non venne prorogata dopo la sua originaria scadenza del febbraio 1864. A quella data, il brigantaggio appariva ormai gravemente in declino sul Gargano, lungo il corso del Fortore e nelle piane del Tavoliere. Di lì a poco, le ultime grandi bande a cavallo avrebbero lasciato il posto a modesti manipoli di uomini dediti a piccoli atti di criminalità comune

    Between Minds: representing one’s own and others’ minds (through explicatures).

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    In this dissertation, I show how promising pragmatic intrusion based on the notion of explicature can be in dealing with various topics belonging to epistemology and knowledge transmission, such as propositional attitude reports, attitudes ‘de se’, Immunity to Error through Misidentification, knowing how, quotation and indirect reports. The dissertation is divided into two parts. In the first part, I discuss theoretical problems pertaining to the notion of explicatures, the most important of which is ‘Are explicatures cancellable?’ . I argue that they are not. I support this position further through considerations on modularity of mind. I also discuss the picture of inferential pragmatics by pointing out connections between Relevance Theory and Default semantics. I apply notions of modularity of mind and non-cancellability of explicatures to definite descriptions. I also address basic problems pertaining to semantic minimalism and I argue that it is compatible with contextualism. In part 2, I deal with attitude reports and explain how to deal with failure of substitutivity of identicals in terms of pragmatic intrusion. I provide further evidence showing that pragmatic intrusion must be postulated in propositional attitude reports. The discussion on pragmatic intrusion continues with attitudes ‘de se’, which are discussed in terms of semantics and philosophy. I explore various cases of inferences in which ‘de se’ attitudes involve an explicature based on an Ego concept. I argue that Immunity to Error through Misidentification largely depends on semantico/pragmatic considerations and, in particular, on pragmatic intrusion. In this thesis I also explore analogies between propositional attitude reports and indirect reports, from the point of view of substitutivity of identicals. In connection with indirect reports, I expatiate on inferential processes that are non-reflective and independent of context and inferential processes which heavily depend on context (thus the connection between indirect reports and language games). Knowing how is discussed in terms of pragmatic intrusion. I show, in fact, that many problems relating to knowing-how cannot be understood without an application of the notion of explicature. Finally, I provide a view of quotation that is essentially pragmatic and radical, on the grounds that it is more parsimonious that a view which starts with semantics

    Oronzo Parlangèli e i poeti bizantini di Terra d’Otranto del XIII secolo

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    This article takes into consideration the studies of Oronzo Parlangèli on the Byzantine poets of Terra d’Otranto and presents some examples of the contributions he offered to the understanding of the historical period, of the authors and of the texts
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